Si j’avais su que mon destin était de côtoyer toute ma vie des narcissiques, d’être leur bouc émissaire allant jusqu’à accepter l’inacceptable et de me retrouver seule, sans plus aucune capacité à créer car je n’obéissais pas à leurs règles, je me serais foutue en l’air à l’adolescence. Je regrette que l’anorexie ne m’ait pas été fatale.