Bonsoir Vincent Bezault et votre invité Pierre-Yves Gauthier, je vous remercie, vos émissions sont toujours aussi pertinentes et instructives, même sur ce type de format clair, concis et avec cette marque d'esprit synthétique remarquable, à votre image Vincent.
Bonjour @brunoc8564, Merci infiniment, premièrement, d'avoir pris le temps de rédiger ces quelques lignes et, deuxièmement, pour leur teneur. Que vous jugiez que nos émissions vous procurent une matière digne d'intérêt et que vous nous le disiez est sincèrement gratifiant.
Le fond est excellent ! Quelques suggestions pour la forme: - proposer le format podcast. - travailler la qualité du son. Bonnes vacances et continuer, votre travail est très intéressant !
Toujours très intéressantes ces analyses. Concernant la chèreté, et si c’était la nouvelle normalité ? Avec l’arrivée de plus en plus d’investisseurs sur les marchés grâce à la démocratisation de l’investissement et des outils qui le simplifie, n’assiste t on pas à un déplacement de la moyenne/normalité sur les PER de marché ?
Bonjour @youperspective. Merci pour ce commentaire. Votre question est très bonne. L'arrivée en masse des particuliers peut expliquer certains effets de foule sur des titres et, par conséquent, l'extension de leurs multiples de valorisation. Nous avons tous en mémoire l'exemple de GameStop où la foule a battu les professionnels (l'histoire est un peu plus complexe, mais vous voyez l'idée). D'après nous, la cherté tient surtout à la concentration extrême des indices du fait de l'écrasante domination de quelques mégacaps. Même aux Etats-Unis, où le marché est encore mieux valorisé qu'en Europe, on observe de très fortes disparités de valorisation entre les 7 magnifiques et le reste de la cote.
Merci @z4961 ! Cette émission est en fait un extrait du Live auquel participent nos abonnés. C'est pour cette raison que les graphiques sont affichés différemment. C'est vrai que le visionnage des courbes sur téléphone en est rendu plus difficile.
Bonjour @TinoLolita, Nous verrons si le pronostic d'Olivier Delamarche s'avère juste dans deux ans. Pour notre part, n'ayant pas de boule de cristal, nous n'en savons rien. Il peut se produire énormément de choses en 24 mois. Des risques existent comme toujours et celui d'un problème sur l'euro qu'évoque Olivier n'est pas nul. Toutefois, les risques ne se matérialisent pas à coup sûr. Pour l'heure, la fin de l'euro se fait attendre. Elle est peut-être en gestation, je vous l'accorde bien volontiers. Mais pour faire exploser le baril de poudre, il faudra une allumette. Aujourd'hui, le risque que suscitait la situation politique française paraît (du point de vue des marchés) sous contrôle, et il le demeurera sans doute jusqu'au jour où commenceront à sortir les premières infos sur le projet de loi de finances en septembre. Là, nous pourrions avoir quelques remous liés à l'euro et à la France. A moins naturellement que les choses ne se précipitent avec un nouveau coup de théâtre politique qui ébranlerait la sérénité des marchés. En ce qui concerne l'idée de sortir de l'euro, difficile quand on vit au quotidien... en euros. En revanche, oui, réduire son exposition à l'euro et à la France dans les portefeuilles, c'est indéniablement une chose qu'il fallait faire depuis le 9 juin, et qu'il faut sans doute continuer à faire. A une nuance près lorsque l'on parle de la France, toutes les grandes valeurs françaises ne nous paraissent pas forcément à sacrifier, même dans l'hypothèse ou les marchés se défieraient durablement de tout ce qui est français. Beaucoup de poids lourds réalisent la majeure partie de leurs bénéfices à l'international. C'est à prendre en considération. Ça, c'est pour la petite touche de "positive attitude". Jouons maintenant les pisse-froid : le plus important à garder en tête est d'après nous que l'explosion de la zone euro n'est pas la seule menace pour les marchés. Et c'est peut-être là le véritable problème en ce moment. Les risques pullulent, ce qui veut dire que la ligne de crête sur laquelle repose la confiance des investisseurs est étroite. Ceux qui prennent le risque de rester en bourse (et dont nous faisons partie) seraient sans doute avisés de conserver une bonne dose de cash (pour moyenner et se renforcer en temps voulu) et miser, s'ils sont des stock-pickers, prioritairement sur la qualité des modèles économiques. Etre plus que jamais disciplinés dans sa politique d'achat et de vente dans un contexte fourmillant d'autant d'incertitudes semble également impératif. Ce n'est évidemment que notre humble opinion. Chacun fait comme il l'entend, en fonction de ses convictions et de ses priorités. Très bonne soirée.
@@Trobam ça fait deux ou trois mois sur la chaine de Sylvain Tiger, le duo a beaucoup de vidéos, difficile de dire quelle était celle oú il tient les propos que j'ai mentionné.