Qu'est ce que j' aime ce mec! Au moment de crever, c'est peut être à lui que je penserais pour pas partir avec une idée de merde concernant l'humanité. Soie bénie bonhomme.
Jusqu'à cette triste fin du mois de décembre 2006 où mourut mon papa, prénommé GEORGES lui aussi, et fervent admirateur du grand Monsieur Brassens (qu'il avait eu l'extrême bonheur de rencontrer à Marseille, dans les années 1950 ou 1955, je ne sais plus.....), il y avait DEUX POÈTES FRANÇAIS répondant au doux prénom de Georges : - Monsieur Brassens ; - mon papa, lui aussi grand poète et sensible à ses heures ! ❣ De fait, ils se ressemblaient beaucoup ! Physiquement ; et dans leurs têtes et dans leurs coeurs ! POURQUOI NOUS AVEZ-VOUS QUITTÉS ? 😢 Je me permets d'ajouter dans ce grand élan de tristesse le regret ÉNORME et le vide laissé par ma maman, décédée 7 mois après le départ de mon papa ! Tous les deux adoraient BRASSENS ; et mon enfance fut bercée par les vinyles du grand Brassens ! ⚘⚘⚘
Ces fils spirituel cabrel et le forestier chanteurs et passeur de chansons brassens un bonhomme comme on en fait plus sa simplicité à fait toute sa grandeur
@@kalicean c’est vrai qu’il composait au piano, mais le dernier jus, c’était à la guitare!....sur cet instrument il était très à l’aise, avec sa technique bien particulière et des morceaux pas faciles!
@@denislaroubine9451 je n’avais plus souvenance des lieux exacts, merci pour le rappel . je suis passé devant l’impasse Florimond dans les années 97/98. Grand moment d’émotion. Si je n’avais pas tâté à la guitare et au chant, je crois que je serais passé à côté du grand Georges. Si je passe par Sète, j’irai lui faire une amicale révérence.