Vivre avec la maladie à corps de Lewy 5/5 - Le Magazine de la Santé 

Je confirme ! Mon mari, atteint de cette maladie, était en Ehpad. La dégradation a été spectaculaire en 102 jours de séparation. Sentant un deuxième confinement arriver, et les conditions d'approche étant draconiennes, j'ai pris la décision de le ramener à la maison, avec des aides bien sûr. Il était déshydraté et dénutri, il ne l'était plus trois semaines après son retour à la maison et a repris du poids ! Ce n'est pas facile tous les jours (et surtout les nuits), mais nous sommes ensemble et je lui procure tous les soins dont il a besoin. Je ne regrette rien, bien au contraire !

@BRICHET MAULAVE BRIGITTE Je dis juste que qui dit confinement dit absence de kiné ( en tout cas en Belgique) et absence de visites ...donc de stimulations physiques et cognitives et donc dégringolade .... encore plus rapide...quelque soit la qualité de l’EPADH

@BRICHET MAULAVE BRIGITTE Je vous souhaite beaucoup de courage bien sûr! Je peux juste parler pour ma maman pour laquelle, de l’aveu même du personnel de l’EPADH, le confinement a été un accélérateur dans sa dégradation. Elle n’est plus là pour en témoigner depuis le 08 février ...

@BRICHET MAULAVE BRIGITTE un peu d'accord avec vous, on ne peut rien contre l'avancement de cette maladie. Mais être séparé de ceux qu'on aime accroît encore plus les effets de cette maladie en aggravant le côté dépressif. Ils se sentent alors complètement abandonnés. Alors, pourquoi continuer à vivre ? Et ils se "laissent glisser".

@@b.anne-marie6785 bravo à vous madame, Dieu vous préserve la santé, amin' .

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