De ce procès pour l'instant je tire 3 leçons : Primo: c'est que les guinéens sont profondément divisés. Rien qu'en regardant les avocats des deux parties, on se rend compte que chacundéfend son parent: les accusés qui sont majoritairement de la forêt dont défendus essentiellement par des avocats de la foret et les victimes majoritairement peuls sont défendus par des avocats. C'est pas un hasard. Secondo: c'est qu'en Guinée tout le monde est ethno si en tout cas être ethno c'est préféré les siens aux autres. Je savais que le cercle de Dadis renfermait beaucoup de forestiers, mais pas à ce point quand même. Vu les sorties et discours qu'il faisait. Et malheureusement tous les pouvoirs en Guinée ont fonctionné comme ça de 58 à nos jours. Que personne ne vienne dire tel parti politique est ethnique ou machin, on l'est tous. Tertio: C'est qu'il faut faire très attention avec le pouvoir. Hier Toumba, Dadis et cie montaient et descendaient ensemble. Ils ne montraient aucun signe de désaccord et pour défendre leur pouvoir, ils n'ont pas hésité à garder leur supposé désaccord pour aller tuer, violer et torturer ceux qui voulaient que leur pouvoir finisse. Aujourd'hui chacun cherche à se sauver en enfonçant l'autre alors qu'ils savent qui a fait quoi. Ça nous enseigne qu'il faut faire attention quand on est devant les autres, car tôt ou tard on peut-être rattrapé par ses actes. Les putschistes actuels sont prévenus. Ils jouent aux sains aujourd'hui (récupération des domaines de l'état, CRIEF) alors que Dieu sait qu'ils sont entrain de s'enrichir honteusement pendant cette période et les tueries continuent de plus belle.
Bla bla bla ... Beaucoup de bêtise dans tout ton verbiage qui mélange le vrai et le faux et qui ne démontre qu'une seule chose : soit ta malhonnêteté intellectuelle soit ta stupidité crasse.
@@abdoulfataou776 on écrit vaurien de cette façon…cesse avec tes bêtises pathologiques et ta place serait auprès des psychiatres allemands pour des soins appropriés pcq tu es réellement malade et synonyme de rien du tout.
