Tribal Art magazine est une publication trimestrielle dédiée aux arts et à la culture des sociétés traditionnelles d’Afrique, d’Océanie, d’Asie et des Amériques, disponible en deux éditions distinctes : français et anglais.
Fondé en 1994, Tribal Art magazine compte à ce jour 80 numéros, dont chacune de ses 150 pages environ affirme un engagement sans égal dans la promotion de la connaissance dans le domaine de l’art tribal. Signés par des spécialistes internationaux, articles de fonds, chroniques d’exposition, entretiens avec des acteurs clé du monde de l’art tribal, histoire d’objets et de collections et nouvelles de l’actualité du marché de l’art, composent des numéros vibrants, toujours servis par une iconographie de choix exaltant les qualités esthétiques des cultures matérielles à l’honneur.
Depuis 2010, des hors-série viennent complémenter les découvertes proposées par les numéros réguliers. Ces publications spéciales portent sur des expositions appelées à faire date et sont ré
Well done Crispin, good to see you are well.. amazing collection. The back drop of Peckforton Castle would just top off the visual aesthetics of the art. Dont you think?
J'ai suivi tous les intervenants. Dommage, Tous abondent dans le même sens. Il aurait fallu d'autres interventions en faveur des restitutions pour plus d'objectivité.
Je regrette infiniment le décès de Monsieur Pierre Dartevelle car je lui vraiment aidé avec des objets du Congo RDC, je aimerais si il y a une continuité je pourrais continuer à collaborer .
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Dommage, ceci ne m'apprend rien, un "teaser" pour un évènement qui est derrière le dos c'est stupide. J'aimerais que comme avec le discours intéressant de Marc Léo Félix à Bruxelles lors de la Bruneaf auquel j'ai assisté en personne, je puisse le ré-écouter autant que je veux et pour pour le plus grand nombre, ces conversations deviennent publique, ce n'est pas les trente personnes présente dans la salle qui sont importantes, c'est transmettre l’enthousiasme de cette dame au plus grand nombre afin de créer une nouvelle génération de collectionneurs, plutôt qu'un domaine uniquement réservé au "happy few in the know" comme cela est de plus en plus le cas.