J'imagine que le signe de la dérivée (variation de l'erreur) est prise en compte ? Si l'erreur croit, il faut que la variation de la correction soit positive ... Mais Quid d'une action PID (les 3 corrections) activée dès le début du proces ? La dérivée de l'erreur au démarrage sera positive et entrainera une correction "négative" ? Dans cet exemple, la correction "Dérivée" est activée alors que l'erreur est nulle ..........
De loin le meilleur cours, en français, sur le sujet. Merci Quel régal que de vous suivre 2 Remarques: a) Pour l'analyse fréquentielle, on remplace P (qui est un complexe) par jω qui est (je comprends peut-être mal ?) un Imaginaire pure Pourquoi ? Est-ce qu'il n'y a qu'à moi que ça pose problème ? Une âme charitable pour m'aiguiller ? b) Vous introduisez la notion de pulsation de coupure sans vraiment la justifier, puis utilisez cette valeur pour construire autour deux régimes asymptotiques (forcément discontinues). Puis, à 34:45 , vous reprenez le fait que les deux régimes sont discontinues autour de cette valeur pour la justifier ! J'espère que cette valeur se justifiera autrement.
Salut. Tu a dis que si on s'intéresse de la valeur de Ti c'est pas pour assurer que l'erreur statique est 0 car l'erreur statique sera zéro pour n'importe quelle valeur de Ti .mais l'étude de Ti c'est pour le régime dynamique.est ce que on le Ki intervient dans le régime dynamique normalement il intervient dans le régime statique pour assurer le zéro de l'erreur.
Bonjour et merci beaucoup pour ces explications trés claires et détaillées. J'étais depuis longtemps à la recherche d'un cas concret permettant d'identifier un 1er ordre. C'est top.
Bonjour grand, Je trouve votre vidéo ci très intéressante et crois résoudre mon problème que je cherche la solution plus de 2 semaines. En fait, je veux réaliser un modèle numérique de chauffage effet joule d'une éprouve. Ce chauffage je veux le faire en plusieurs étapes. 1) Chauffer la pièce rapidement avec une vitesse de chauffe de 40°C/s pour atteindre 1000°C. 2) Ensuite continuer la chauffe mais cette fois-ci avec une vitesse plus lente de 5°C/s pour atteindre 1200°C et maintenir pendant 4 minute pour homogénéiser la température et la microstructure de la pièce. 3) En fin lui faire subir un refroidissement de 10°C/s pour descendre à 900°C et passer à l'essai mécanique. Voilà en quelque sorte le procédé que je veux réaliser sur le logiciel Abaqus. Dans ce logiciel j'ai la possibilité de mesurer la température par un capteur placé à un nœud précis. Et c'est le courant (ou densité de courant) que je peux modifier à chaque incrément de temps via une subroutine agissant sur l'amplitude du courant. Mon souhait c'est d'avoir une évolution linéaire de la température pendant les deux premières étapes (autrement dit un courant plus ou moins constant) et pendant le temps où la chauffe est coupée la température reste constante. Pourriez vous m'aider à résoudre ce problème ??? Si je comprends bien le fonctionnement de régulation PID, dans ce problème la régulation doit s'appliquer au courant. Je ne connais pas le principe du PID. Merci pour votre aide.
Bonjour, oui le PID peut servir dans votre exemple d'application. Mais dans votre cas il faut programmer une consigne qui évolue sous forme de rampe. Il faut programmer SP (consigne) pour qu'elle évolue suivant les pas que vous avez choisis X°C/s. Le régulateur PID va doser la puissance à donner pour tenter d'atteindre vos valeurs de t° souhaitées. Il s'agit globalement d'une séquence puisque il y a des seuils avec différents incréments, un temps de maintien , des refroidissements. Je prendrais sans hésiter un automate programmable pour cela (et non un régulateur numérique seul).
Rebonjour grand, Merci pour votre aide. Il faut avouer que je suis débutant dans la programmation des subroutines sur Abaqus. J'ai essayé de programmer une UAMP qui essaie de calculer à chaque fois l'amplitude du courant mais je n'arrive pas à obtenir ce que je souhaite avoir. Pourrais-je vous envoyer ce que j'ai essayé de faire et le fichier inp afin que vous m'aidez à faire fonctionner ce code. Je vous assure que toute la semaine je n'ai pas pu dormir car je réfléchis sur ça. Je suis tombé sur votre chaîne ce matin et suivant vos cours je me rends compte que la solution à mon problème se trouverait là et je n'ai pas hésité à m'abonner sous peu à ladite chaîne et vous contacter immédiatement même comme je n'ai aucune base des PID. Aussi comme l'éprouvette est maintenue par les mors par lesquels le courant est transmis à l'éprouvette, on applique un refroidissement permanant sur les mors durant toute la période de l'essai(phase de chauffage et l'action mécanique), le contact entre l'éprouvette et les mors donne lieu aussi au phénomène de conduction entraînant ainsi une perte de chaleur. La température cible est celle du milieu de l'éprouvette. Pour le moment c'est l'étape de chauffe que je veux modéliser sur Abaqus. L'essai s'effectue sur la machine Gleeble. Pourriez-vous svp me communiquer votre adresse mail afin que je vous envoie le fichier inp et une image de l'évolution de température que j'ai obtenue ??? Désolé de trop vous demander. Pour présentation, je suis Pierre TIZE MHA, étudiant en thèse de doctorat à L'ENI de Tarbes en France.
@@pierretizemha899 rebonjour, j'ai bien peur d'avoir mal saisi votre besoin. Je pensais qu'il s'agissait d'un four industriel ou une production de type industrielle. Pour une modélisation détaillée, il faut effectivement trouver une fonction de transfert qui lie le courant à la puissance de chaleur dégagée puis une fonction de transfert entre la puissance dégagée et l'élévation de T° de votre pièce. Il y a aussi comme vous l'indiquez une perturbation dans le sens où il y a une perte de chaleur qui n'est pas constante mais dépend du delta T° entre la pièce et les éléments en contact . Il faut aussi arriver à trouver une fonction de transfert pour ce refroidissement. Elles peuvent se trouver à partir des équations différentielles si vous les possédez. Sinon on peut retrouver le modèle à partir d'un relevé de mesure (identification de procédé) mais tout cela n'est pas linéaire et je ne pense pas qu'un relevé de mesure global : T° pièce=f(t) suite à un échelon de courant puisse donner une fonction de transfert globale tout à fait correcte en tout cas pas si la T° varie autant. Elle sera valable autour d'un point de fonctionnement. Pour le logiciel de simulation, les plus connus sont Matlab, j'utilise Scilab dans les vidéos car il est gratuit. Je ne connais pas votre logiciel et ne saurai pas ouvrir le fichier.
@@pierretizemha899 @Pierre TIZE MHA C'est bien cela au niveau du PID la sortie du régulateur peut fournir un signal de commande 0 100% correspondant à 0 5 volts, 0 20mA, 0 -10 volts pour les régulateurs industriels . Dans votre cas, vous pouvez le programmer vous même ce PID les formules de calcul sont dans les vidéos. Si votre système est intégrateur (puissance de chauffe constante donne une montée linéaire (ou presque à la perte de chaleur près) un régulateur juste proportionnel devrait suffire.
Merci pour votre réponse et les détails. J'utilise Abaqus un logiciel de calcul élément finis. Sinon les fichiers que je voulais vous envoyer peuvent être ouverts par de simples éditeurs de texte puisque je lance les calculs en ligne de commande. Je vais peut être abuser de votre gentillesse en vous demandant si vous pourriez me donner un exemple d'un PID programmé afin pour la régulation de température afin que j'essaie de m'appuyer sur cela pour tenter de résoudre mon problème. Vraiment désolé de trop vous demander. Toute la journée je suis en train de suivre vos cours youtube. Med adresses mail sont tizemha@yahoo.com et ptizemha@enit.fr. Merci encore !!!
because I want to explain and I looked on youtube for all arabs, I didn't found an explanation and details like you although I am An Arab but I understood you
Donc si je comprends bien, on règle d'abord le gain proportionnel qu'on ne touche plus, puis le Ti pour annuler l'erreur statique et garder le même dépassement, on repasse en contrôleur PD en reglant le Td pour un dépassement quasi nul et enfin on re-regle le Ti pour re-obtenir le dépassement max et la vitesse du système sera donc améliorée
Cela marche bien en première approximation sur les systèmes d'ordre 1 ou bien quand le pôle domine nettement les autres. Essayez avec une fonction transfert de type Strejc avec un exposant et cela ne fonctionne pas du tout.
Bonjour merci beaucoup pour la vidéo s'il vous plaît puis_je avoir le lien pou télécharger le logiciel que vous utilisez. oumarouousseinimoubarak@gmail.com
Super, j’ai une question, si on était tombé sur un sytème instable et que la courbe du Depassge était à l’envers du coup, dépasse les -180 par le haut nous mènerais à un système stable ?
pourquoi mettre la courbe du déphasage à l'envers ? :) si la phase est inférieure à -180° pour la pulsation 0 dB, déjà à -180,01° le système est instable
Bonjour, lorsque l'on a un diagramme qui suit une fonction de transfert d'ordre 2, w0dB tend vers +l'infini, comment doit-on choisir ce w0dB ? Merci d'avance.
Dans l'exemple de la vidéo, la fonction de transfert est un 3ème ordre car la phase va vers -270° (3*-90°). Il n'est pas exact de dire que la pulsation w0 dB va vers + l'infini pour un 2ème ordre. Cette pulsation est comme son nom l'indique la pulsation pour laquelle l'amplitude vaut 0 dB (voir sur le graphique )
Dans ce cas là je prend la valeur limite de fonctionnement de ma sonde exemple 400 ainsi que mon point de consigne 200 j’entre celle ci en variable process l’une après l’autre et je vois comment réagit la sortie de mon régulateur puis je fait une mise à l’échelle ?
Bonjour Vincent. Un grand merci pour cette vidéo qui m'a permis de créer mon premier G7 dans un arduino MEGA ! Tip top ! Toutefois, à la ligne de code suivante: return this <- out; J'obtiens le warning suivant: "src\main.cpp:66:18: warning: ISO C++ forbids comparison between pointer and integer [-fpermissive] " return this <- out; Qu'est ce qu'il convient de faire pour régler cet avertissement ? Merci d'avance.