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À l’ADEME - l’Agence de la transition écologique -, nous sommes résolument engagés dans la lutte contre le réchauffement climatique et la dégradation des ressources.
Sur tous les fronts, nous mobilisons les citoyens, les acteurs économiques et les territoires, leur donnons les moyens de progresser vers une société économe en ressources, plus sobre en carbone, plus juste et harmonieuse.
Dans tous les domaines - énergie, économie circulaire, alimentation, mobilité, qualité de l’air, adaptation au changement climatique, sols… - nous conseillons, facilitons et aidons au financement de nombreux projets, de la recherche jusqu’au partage des solutions.
À tous les niveaux, nous mettons nos capacités d’expertise et de prospective au service des politiques publiques.

L’ADEME est un établissement public sous la tutelle du ministère de la Transition écologique et du ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation.
Комментарии
@gasparddesmontagnes3156
@gasparddesmontagnes3156 2 дня назад
A part la sobriété aucun de ces scénario n'est réaliste. Lamentable de la part d'un organisme gouvernemental. Ça prouve à quel points nos politiques sont à 10000 lieues des réalités. Triste
@romainmichaud1708
@romainmichaud1708 8 дней назад
Triste de voir que même l'Ademe n'a pas compris que le Co2 n'est qu'un symptôme du problème et non le problème en tant que tel... Décroissance voulue ou subie, à vous de choisir. Le déclic ou le déclin.
@ahmedbetidji7588
@ahmedbetidji7588 4 дня назад
Mais il n'y a aucun problème , le climat se refroidit légèrement depuis quinze ans. Mais cette vérité-là , personne ne veut en parler , et pour cause , car la fumistsrie du réchauffement rapporte beaucoup d'argent à ses concepteurs .
@TheNovembernovember
@TheNovembernovember 3 дня назад
@@ahmedbetidji7588 Est-ce que tu peux sourcer tes chiffres Ahmed ? D'après tous les relevés officiels (HadCRUT5, GISTEMP, NOAA, ECMWF, Berkeley Earth) la température moyenne s'est réchauffée de 1,4° depuis les années 50. Depuis 30 ans le record de température moyenne mondiale est battu à peu près tous les 2 ans. Les 15 années les plus chaudes jamais enregistrées datent toutes d'après 2000. Les prévisions à 2100 sont à +2,7°. Source : NCDC: Global Surface Temperature Anomalies Les conséquences c'est des sécheresses, la perte en masse de culture, de biodiversité, la montée des océans, l'augmentation de la puissance et la fréquence de catastrophes naturelles (feux, tempêtes etc.), des migrations climatiques massives... Ah oui, et à ça rajoute l'épuisement des ressources énergies fossiles (du pétrole)... Si tu as des chiffres qui prouvent le contraire, n'hésite pas à les partager ! Les scientifiques du monde entier t'en seront reconnaissant ! ps: je sais bien que tu es un troll (ou un patient d'HP) (ou les 2?) Ne change rien, ça nous encourage à partager des chiffres, que pourront aller vérifier les gens intéressés :)
@aldhanas8090
@aldhanas8090 2 дня назад
​@@ahmedbetidji7588 C'est du sarcasme ou t'es profondément attardé ?
@ahmedbetidji7588
@ahmedbetidji7588 2 дня назад
@@aldhanas8090 Entre le sarcasme et l'atardement , tu ne me laisse aucun choix salutaire . Ni l'un , ni l'autre , tous ce que je dis est la stricte vérité , le climat de la Terre se refroidit bien depuis quinze ans maintenant .... Tu as un rapport interne au sein du Giec , non publié , juste entre scientifique pour information interne diffusé en 2014 , Où il est écrit en conclusion du rapport ceci , "Le climat de la Terre ne se réchauffe plus depuis 1998 , nous sommes sur un plateau , mais la température n'augmente plus".
@ahmedbetidji7588
@ahmedbetidji7588 2 дня назад
​@@aldhanas8090 ...Tu peux si tu veux trouver ce rapport en question dans un documentaire de 35 minutes . QUI NE SERA JAMAIS DIFFUSÉ PAR LES MÉDIAS ET POUR CAUSE ....en tapant sure Y T , Climat : une histoire controversée du Giec . Le rapport ils en parlent à la 19 ème minute , mais je te conseils de regarder tout le documentaire , qui va te montrer l'envers du décors de cette FUMISTERIE du rérchauffement climatique anthropique ! "Pour transformer un gros mensonge en vérité , il suffit de le diffuser suffisament souvent durant des années , à la fin les gens croiront que c'est la vérité ". Joseph Goebbles . Parole d'expert !
@leonardsandeau9870
@leonardsandeau9870 9 дней назад
Vous êtes géniaux mais personne va jamais vous suivre malheureusement
@philipperigault4681
@philipperigault4681 10 дней назад
je ne voix pas comment les politiques peuvent agir sur le sujet quand on remarque l'arnaque gigantesque des dés pipés avec la loi sur la taxe carbone de l'Europe. des mafieux qui trichent avec les hommes et son environnement jusqu'à sa propre décadence, voilà l'occident face a ces démons; sa parole est en train de faire rire amèrement le reste du monde. pourtant elle peut faire encore de belles choses. on parle de CO2, mais il faut y ajouté l'humidité de l'air. nos climatisations fondent et on nous impose le nucléaire parfaitement sure alors que le marché de l'électricité à les dés tout aussi pipés, bravo les politiques pour la destruction toute couleurs confondu. quand on voie le discours d'un jeune ingénieurs qui de zinc les socialos, alors que la déréglementation des prix de 'l'énergie a était voté par les mouvement de droites je lui répondrai qu'ils ont des têtes de piafs; ceci dit l'Allemagne en profite pour financer tranquillement en achetant notre électricité a bon prix ! et sa reconversion sur les énergies vertes au frais EDF sacrifié par cette injustice Jancovici dit aussi des grosses conneries !!!!
@MargaySauvage
@MargaySauvage 10 дней назад
on voit sur un des graphiques que le plus risqué est le scénario 4, ça aurait été bien de le dire à l'oral plutôt que de mettre à l'équivalence le 4 "on fait tout comme avant mais on suppose on arrive à faire ça mieux" et le scénario 1 "booouh de la contrainte" Et peut-être changer de vocabulaire et arrêter de viser la neutralité carbone mais juste mettre en place un système qui s'adapte au réchauffement climatique (les 2 ont souvent les mêmes solutions). Ca permettrait d'arrêter d'avoir des climatoscpetiques qui râlent. On arrive à la fin de l'exploitation "simple" de l'énergie fossile, des ressources en eau en Europe plus hasardeuse avec des moments de pénuries, des vagues de chaleurs de pire en pire jusqu'à impacter réellement notre mode de vie (agriculture, capacité à travailler, résistance des infrastructures existante). Bref, la fin du mythe de l'abondance. On a loupé le virage d'empêcher la crise environnementale, il ne faut pas louper le virage de l'adaptation
@ahmedbetidji7588
@ahmedbetidji7588 4 дня назад
Mais y a pas de crise environnementale , ce n'est qu'un ignoble mensonge propagé depuis 40 ans par les gourous de l'écologisme et les politiciens , affamés d'argent . Avec la complicité des médias et des instituts scientifiques !
@ahmedbetidji7588
@ahmedbetidji7588 5 часов назад
Mais t'as pas compris qu'il n'y a aucune science dans ce catastrophisme environnemental et écologique Tous ces débat et scénarios de fin du monde ne sont que des simulacres . Cette "fausse écologie", a été inventée dans les années 70's par une oligarchie intélléctuèlle Pour faire main-basse sur l'argent public , afin de s'enrichir et bâtir des fortunes . Au nez et à la barbe des populations qui n'y voient que du feu .
@josephchauvin9731
@josephchauvin9731 10 дней назад
100/100 d'impôt et encore plus d'émigration , vaxx obligatoire pour les plus de 50 ans et suicide assisté pour tous mdr
@Domnik1968
@Domnik1968 11 дней назад
Un cinquième scénario de transition , lui très simple à mettre en place et avec de très grandes chances de réussite : business as usual avant que d'un coup, mais "comment aurions-nous pu prévoir ?", les services écosystémiques cessent de fonctionner : plus de bouffe, plus d'air respirable sans attraper un cancer, plus d'eau potable, et des canicules ou inondations meurtrières à tous les coins de rue et chaque année. Baisse de la population de 60% pour les raisons citées plus haut, à laquelle on ajoute 35% à cause des guerres civiles et militaires et des pandémies qui s'en suivront. En 1-2 ans l'objectif zéro Carbonne est atteint, voire même dépassé !
@olivierhuc9129
@olivierhuc9129 6 дней назад
Nice! Bon programme!
@ahmedbetidji7588
@ahmedbetidji7588 4 дня назад
Toi t'es un chatbot
@olivierhuc9129
@olivierhuc9129 4 дня назад
... moi? 😶
@ahmedbetidji7588
@ahmedbetidji7588 4 дня назад
@@olivierhuc9129 Non pas toi , je parle de Domnik . J'ai déjà été confronté à lui y a 3 ans Je suis sûr aujourd'hui qu'en fait , Il est un chatbot de l'IA . En fait j'ai été confronté depuis 5 ans maintenant à une trentaine de ces ordinateurs , que je prenais au début pour des scientifiques et des experts sur le climat . Ils m'ont ciblé parce que je dénonce cette fumisterie du réchauffement climatique anthropique , qui n'est qu'une sombre histoire de corruption
@olivierhuc9129
@olivierhuc9129 4 дня назад
@@ahmedbetidji7588 ah ok
@Marco-eo7vn
@Marco-eo7vn 12 дней назад
Si je résume 4 scénarios mais aucun de réellement valables. Aucun choix n'est fait. J'avoue ça ce voyait quand même un petit peu , c'est bien continuer
@ahmedbetidji7588
@ahmedbetidji7588 5 часов назад
Je peux t'expliquer le vrai scénario , si tu veux . Cette "fausse écologie", basée sur le catastrophisme , a été inventée dans les années 70's par une oligarchie intélléctuèlle Pour faire main-basse sur l'argent public , afin de vivre dans l'opulence , s'enrichir , et bâtir des fortunes . Et tout ça au nez et à la barbe des populations qui n'y voient que du feu , trop occupés à proposer des sollutions pour "sauver le monde". Ça serait rigolo , si s'était pas dramatique , car la CORRUPTION des élites est un terrible cancer qui ronge nos sociétés !
@fontaineabraham3674
@fontaineabraham3674 13 дней назад
Dommage qu'il n'y ait pas de scénario où le PIB baisse...
@jumo108
@jumo108 9 дней назад
Bonjour, Pourquoi faudrait-il prendre en compte une baisse du PIB, sachant qu'aucun scénario ne prédit de récession? Je suis personnellement post-croissant, donc je pense que le PIB n'est juste pas un critère pertinent, qu'il croisse ou décroisse.
@adrienjouan1594
@adrienjouan1594 13 дней назад
Pourquoi pas prevoir un scénario où le PIB descend ? Je suis perplexe de voir que cette hypothèse hautement probable n'ait pas été prise en compte.
@jumo108
@jumo108 9 дней назад
Bonjour, Pourquoi faudrait-il prendre en compte une baisse du PIB, sachant qu'aucun scénario ne prédit de récession? Je suis personnellement post-croissant, donc je pense que le PIB n'est juste pas un critère pertinent, qu'il croisse ou décroisse.
@reines-des-truffieres-46
@reines-des-truffieres-46 13 дней назад
Blablabla !...et toujours rien pour simplifier l'installation des jeunes dans des habitats légers
@gillesjpgoy3943
@gillesjpgoy3943 14 дней назад
J’ai un 5eme scénario et c’est celui là qui va apparaître par la force des choses: la transition est d’abord spirituelle : nous sommes des vagues qui rejoignons l’océan de la vie ( comment détruire l’environnement si c’est notre propre vie) Ensuite politique : véritable démocratie ( dialogue pour s’entendre) et souveraineté humaine ( America first ou human first) Enfin économique : de la concurrence économique à l’économie humaine en symbiose avec l’environnement ( de faire pour le profit à faire pour la vie)
@mahelmazaniello-chezol904
@mahelmazaniello-chezol904 19 дней назад
Sois fière de toi Laurence ❤
@JeremAl
@JeremAl 26 дней назад
Magnifique bravo 🇫🇷🇫🇷🇫🇷🚀🚀🚀
@desdechetsetdeshommes
@desdechetsetdeshommes 27 дней назад
Vous soulevez des points très pertinents sur le problème du sur-emballage et de la gestion des déchets. En effet, le sur-emballage est un enjeu majeur qui contribue considérablement à la pollution et à l'accumulation de déchets non recyclables. Il est essentiel de sensibiliser les entreprises à adopter des pratiques d'emballage plus durables et de privilégier des matériaux recyclables. Concernant les consignes de tri, l'harmonisation à l'échelle nationale pourrait grandement faciliter la tâche des citoyens et améliorer les taux de recyclage. Actuellement, la confusion engendrée par des règles différentes dans chaque commune peut décourager les efforts de tri. Une uniformisation des consignes de tri permettrait non seulement d'améliorer l'efficacité du recyclage, mais également d'éduquer le public de manière cohérente. De plus, la collecte sélective à domicile, régulée de manière uniforme, pourrait encourager davantage de personnes à participer à des efforts de recyclage. Le retour à une collecte des encombrants plus fréquente, comme c'était le cas auparavant, soulagerait également de nombreuses personnes qui ne savent pas quoi faire de leurs objets volumineux. Ces propositions nécessitent une mobilisation des collectivités locales, des gouvernements et des citoyens pour qu'ensemble, nous puissions faire évoluer notre approche face à la gestion des déchets. La coopération entre tous les acteurs est cruciale pour parvenir à un système plus durable et efficace.
@Minayoulove
@Minayoulove 28 дней назад
♻️♻️♻️♻️♻️♻️♻️🚮🚮🚮🚮🚮🚮🚮🗑🗑🗑🗑🗑🗑🗑trions nos déchets 🗑.ensembles protégeons l’environnement.
@Daimyofullpics
@Daimyofullpics Месяц назад
Il a les moyens le monsieur !
@clementhostache4070
@clementhostache4070 Месяц назад
et au passage, SHAREATHLON permet de se prêter du matériel sportif entre voisins, et la FRESQUE DU PARTAGE est top pour creuser le sujet :-)
@alhamdoulilah2528
@alhamdoulilah2528 Месяц назад
ru-vid.com249Y-Rt0qmo?si=FaOD1eVomqOMXJgq
@EPCVStagiaire
@EPCVStagiaire Месяц назад
Bonjour, Il à été dit que 25 tonnes de matière organique sont recyclées par les êtres de profondeur... Avez vous davantage d'informations s'il vous plait ? est-ce à l'année ? au metre carré ? Merci !
@citron7023
@citron7023 Месяц назад
Un update en 2024 svp
@MimoSimu-yc5cq
@MimoSimu-yc5cq Месяц назад
Le commandant feldzer le hondelatte de l aviation civile 😊 Merci beaucoup Monsieur feldzer 🙏🏻🙂
@lunelie7724
@lunelie7724 Месяц назад
Réfléchissez un peu, en quoi est ce écologique de faire venir 10 millions de personnes en France pour voir des jeux ? Vous aurez beau dire, on a fait ceci ou cela, vous n'auriez pas fait ces jeux, l'écologie vous en remercierait.
@Matchat31
@Matchat31 Месяц назад
Je me demande comment sont calculés les 137 litres d'eau de conso quotidienne, car ça fait beaucoup ! Pour ma part je consomme beaucoup moins que ça.
@freeman3275
@freeman3275 Месяц назад
C'est de la connerie, Toyota est deja au moteur a eay😂
@shaddouida3447
@shaddouida3447 Месяц назад
La ville verte passera aussi par la terre En outre, des obstacles à la généralisation des fermes verticales subsistent. Aucune étude n’a encore été réalisée pour démontrer qu’elles sont plus rentables que les cultures conventionnelles. “Mais elles produisent aujourd’hui en trop petites quantités pour être compétitives”, constate André Torre, directeur de recherche à l’Inra AgroParisTech, dans Géo. Le coût des fermes verticales pourrait aussi se révéler prohibitif, à cause du prix très élevé du foncier, notamment à Paris ou New York. Et si construire du neuf coûte cher, il en est de même pour la transformation d’immeubles en fermes urbaines. “Le coût de mise en place d’une ferme verticale est élevé, et la technologie associée complexe. De plus, tous les végétaux ne peuvent être cultivés ainsi : exit les légumes trop encombrants ou au cycle trop long, qui ne seront pas rentables”, note PwC. Dans son étude sur les fermes verticales, le cabinet PwC indique que “l’agriculture urbaine peut venir combler les manques de l’agriculture traditionnelle”, mais que cette dernière “demeurera capitale”. Notamment parce que “les terres agricoles rendent bien des services écologiques et écosystémiques : drainage des eaux pluviales, maintien de la biodiversité, etc.” “Soyons honnêtes, cette juxtaposition de tours écologiquement remarquables et responsables ne transformera jamais Paris en une ville durable. C’est sans doute un petit peu plus bas qu’il faut d’abord regarder. Paris manque de verdure, c’est un fait, c’est une ville extrêmement concentrée, mais avant de se tourner vers le ciel, il s’agirait bien d’en renforcer durablement les racines”, écrit de son côté Édouard Malsch, urbaniste-géographe et cofondateur du site UrbaNews. Selon lui, attention à ne pas tomber dans le “greenwashing”. De nombreux experts en sont donc convaincus, en 2050, l’agriculture urbaine restera un complément de l’agriculture traditionnelle. Et les villes, loin d’être coupées de l’extérieur, seront plus que jamais liées aux campagnes. L’Inrae, qui a publié en 2018 une étude prospective sur l’avenir des villes et de la ruralité, imagine le scénario des “campagnes au service de la densification urbaine”, dans lequel les espaces ruraux à la périphérie des métropoles seraient “pour partie intégrés aux villes”, et où “ce qui est en dehors” deviendrait “une mosaïque de sites hyperspécialisés dans des fonctions logistiques, énergétiques ou écologiques au service des villes”. Ainsi, en parallèle des fermes verticales, l’on verrait se multiplier des zones agricoles protégées (ZAP) menant une “agriculture intensive à forte technologie et avec un impact environnemental maîtrisé”, qui “approvisionneraient les urbains en produits frais et en plantes ne pouvant pousser à l’air libre ou dans un substrat.” Mais quoi qu’il en soit, la ville verte, composée de tours végétales et de fermes verticales ou au sol semble bel et bien en marche. “Comment nous nourrirons-nous en 2050 ? L’Agriculture urbaine ne pourra fonctionner qu’en complémentarité avec celle des campagnes. Mais si je pense qu’actuellement, la production locale urbaine est anecdotique, je suis persuadé que demain, nous reviendrons à l’époque où, dans le passé, les villes nourrissaient les urbains”, conclut Jean-Philippe Vermette.🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️🏙🏙🏙🏙🏙🏙🏙🏙🏙🏙🏙🏞🏞🏞🏞🏞🏞🏞🏞🏠🏡🏢🏣🏤🏥🏬🏫🏪🏩🏨🏦🏭🏯💒⛲️⛰️🏔🗼🌐🌍🌏🌎🌳🌲🪴🌱⚘️🌷🌼🌻🌴🌵🍀🌿🍃🍃🍃🍃🍃🍃🍃🍃🍃
@shaddouida3447
@shaddouida3447 Месяц назад
Des villes autosuffisantes Certaines villes vont plus loin que la végétalisation, et construisent des “fermes verticales” ; destinées à capter le CO2, mais aussi à alimenter les citadins, tout en réduisant le coût énergétique du transport des denrées. “Aujourd’hui, la capacité des villes à nourrir leurs habitants est faible. Pourtant, c’est dans les centres urbains que les consommations sont les plus importantes. Mais il est parfaitement possible de nourrir tous les habitants de New-York ou de Paris en cultivant à l’intérieur de la ville, dans un rayon de 150 km”, indique Mitchell Joachim, éco-architecte américain. Selon lui, l’agriculture urbaine à étages permettra demain aux mégapoles de réduire le gaspillage alimentaire et de nourrir des dizaines de millions d’habitants. Jusqu’à l’auto-suffisance. Pour le microbiologiste Dickson Despommier, les fermes verticales sont la solution au manque de place dans les villes. Depuis 10 ans, l’agriculture urbaine se développe dans les friches industrielles et les jardins partagés, mais selon lui, la superficie totale de ces parcelles ne sera jamais suffisante pour couvrir les besoins alimentaires des citadins de 2050. Pour le théoricien de l’agriculture urbaine verticale, la production d’aliments “hors sol” permettrait de réduire la consommation d’énergies fossiles et leurs émissions de CO2, tout en diminuant de 70 % l’eau utilisée. Notamment via la culture en hydroponie, qui consiste à immerger les racines dans une solution à base d’eau et de nutriments. Selon lui, un bâtiment de 30 étages peut produire l’équivalent de 970 hectares et alimenter 50 000 personnes. Des centaines de fermes verticales ont vu le jour depuis 2012, partout dans le monde. Les exemples les plus aboutis se trouvent en Asie. C’est à Singapour que les toutes premières “tours maraîchères” sont apparues. Et pour cause : dans ce pays insulaire, le plus densément peuplé au monde, les terres agricoles sont inexistantes. L’agriculture verticale est ainsi apparue comme la solution à sa dépendance aux importations. En 2020, la cité-état compte 300 fermes verticales. Les centaines de tours construites par la société Sky Greens produisent 1 tonne de légumes verts par jour. De son côté, Wong Mun Summ mène un projet de fermes verticales destiné à faire de Singapour une ville auto-suffisante : “elles produiront de la nourriture, mais aussi de l’énergie grâce à des panneaux solaires”. L’objectif des concepteurs de fermes verticales est le même : permettre aux habitants de cultiver et consommer local, avec une empreinte carbone réduite. Ainsi, les tours ne se composent pas que de serres : les habitants peuvent cultiver leurs propres légumes, dans des potagers partagés hors sol. On retrouve ce genre de fermes verticales privées/publiques à Singapour, mais aussi à Tokyo, Paris, Montréal, Chicago, ou encore Atlanta… où le maire perçoit l’agriculture urbaine comme un “futur marché” porteur. Car si elles ne sont pas encore très rentables pour l’instant, de nombreuses fermes verticales sont appelées à faire partie des “smart cities” en développement, avec l’idée d’optimiser la production agricole, et donc de gagner de l’argent. Dans la banlieue de New-York, à New Ark, AeroFarms a créé en 2016 une ferme verticale “aéroponique” de 6 500 m2, dont l’objectif est de produire 1 000 tonnes de choux et de salade par an. Elle utilise pour cela des milliers de capteurs et des algorithmes pour savoir en temps réel si une plante a besoin ou non d’être alimentée en nutriments. Même l’éclairage est réglé pour apporter la longueur d’ondes optimale pour la croissance des légumes. Ces projets d’agriculture urbaine, verticaux ou non, permettent de “réhabiliter des quartiers, de revitaliser des zones défavorisées ou laissées à l’abandon, de mettre à profit des surfaces inutilisées”, observe le cabinet PwC. Mais le concept des fermes urbaines a aussi pour objectif de créer, dans les prochaines décennies, des “villes résilientes ». Capables demain de résister à une grande diversité de menaces, des catastrophes climatiques aux pandémies, selon la FAO. À noter que les projets de villes “auto-suffisantes” concernent aussi l’énergie. Ainsi, les fermes verticales contribueront également, pour la plupart, à en produire grâce à des panneaux solaires. Mais des villes comme Chicago et New-York vont plus loin et développent en parallèle des réseaux d’électricité “intelligents”, alimentés par les habitants eux-mêmes, grâce à la blockchain. Barcelone, de son côté, a créé sa propre compagnie d’électricité. Mais à terme, les projets visant à parvenir à l’auto-suffisance, en tout cas alimentaire, risquent selon certains de se retrouver face à un mur. “L’agriculture urbaine ne pourra jamais entièrement nourrir les villes. L’hydroponie est intéressante, mais elle est surtout utile là où la terre fait défaut, comme à Singapour. En Europe, l’auto-suffisance n’est pas un sujet : la ville n’a jamais été conçue comme un isolat, sans lien avec l’extérieur. Elle est, par nature, étroitement liée aux campagnes. Pour produire beaucoup, mieux vaut le faire dans le sol, donc pas dans les villes. Les fermes verticales peuvent avoir des fonctions productives, mais penser que l’on sera autonomes grâce à cela, c’est une utopie”, tranche Sylvain Grisot. Directeur intervention et politiques publiques au Laboratoire sur l’agriculture urbaine de Dunham, au Québec, Jean-Philippe Vermette souligne les limites de l’agriculture urbaine : “les fermes verticales produisent essentiellement des légumes verts, et ne représentent que 1 % de l’alimentation des citadins, qui consomment surtout des céréales, de la viande et des féculents… On serait loin de l’autosuffisance avec la seule agriculture verticale. Du moins tant que les gens ne mangeront pas autrement.” Si l’agriculture urbaine “répond aux attentes des consommateurs plus soucieux de la provenance et de la manière dont est produite leur alimentation, certains défis freinent encore son développement. Cette agriculture alternative a besoin d’être mieux soutenue, et cela passe par un plus grand investissement de nos gouvernements pour réduire l’écart des prix entre les produits issus d’une agriculture industrielle et ceux d’une agriculture raisonnée, qui restent encore chers”, ajoute-t-il. Pour Christine Aubry, ingénieure à l’Inra, les fermes verticales devront, demain, être utilisées pour répondre à des besoins précis, selon les pays. “À Singapour, c’est le gain de place. Mais en France, où l’on n’est pas en situation de pénurie, elles auront d’autres fonctions : créer du lien social, favoriser la biodiversité, stocker du carbone”.🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️🏙🏙🏙🏙🏙🏙🏙🏙🏙🏞🏞🏞🏞🏞🏞🏞🏞🏞🏞🏞🏠🏡🏢🏣🏤🏥🏬🏫🏪🏩🏨🏦🏭🏯💒⛲️⛰️🏔🗼🌐🌍🌏🌎🌳🌲🪴🌱⚘️🌷🌼🌻🌴🌵🍀🌿🍃🍃🍃🍃🍃🍃🍃
@shaddouida3447
@shaddouida3447 Месяц назад
En Europe, Copenhague est à la pointe des projets de “ville verte intelligente”. Ambitionnant de devenir la première ville au monde neutre en carbone d’ici à 2025, elle ne se contente pas de multiplier les éoliennes et les pistes cyclables. Elle dissémine aussi des milliers de capteurs dans son mobilier urbain. Des “poubelles connectées” permettant de mieux gérer les déchets, jusqu’aux feux rouges mesurant la qualité de l’air, afin de mieux adapter la circulation (notamment lors de pics de pollution). Mais ce qui ressemble le plus à la ville du futur “intelligente et verte” se trouve en Asie, à Singapour. Cette petite île où se massent 6 millions d’habitants a installé des centaines d’arbres artificiels, hauts de 18 à 50 mètres. Ils sont équipés de modérateurs de température, éclairent les rues grâce à l’énergie solaire, et collectent l’eau de pluie pour alimenter les fontaines et des “fermes urbaines”. Des villes végétales Mais les nouvelles technologies ne seront jamais aussi fortes que la nature pour rendre une ville réellement verte. La concentration exponentielle d’individus dans les “mégapoles” du futur amènera celles-ci à remodeler leurs paysages urbains, en laissant davantage de place à la nature. “Aujourd’hui, à Paris, plus de 50 % de l’espace public est dédié aux voitures, à la circulation, aux parkings ; ce qui veut dire que l’on dispose d’un potentiel phénoménal de végétalisation. Pas du végétal décoratif, mais du végétal massif. Des arbres et de la végétation, des corridors verts, des espaces naturels dans la ville qui auraient un impact positif sur la biodiversité, la qualité de l’air et la régulation des températures”, observe Sylvain Grisot. Les villes occidentales, de Lyon à Copenhague, commencent peu à peu à se “végétaliser”, afin d’éviter à ceux qui y vivront (d’ici à 2050) d’y suffoquer. Mais en raison d’un manque de foncier disponible, la création de grands parcs urbains n’est bien souvent pas à l’ordre du jour. Ainsi, les villes transforment-elles surtout les emplacements disponibles, notamment les friches industrielles, en jardins partagés et en “coulées vertes”. Face au réchauffement climatique, la végétation fournit aussi de l’ombre, absorbe le CO2 et refroidit l’air. C’est pourquoi, en Amérique du nord, les villes d’Austin, Seattle et Montréal tentent de planter des centaines de milliers d’arbres d’ici 2030. En France, Paris prévoit d’en faire sortir de terre 170 000 d’ici 2027, à la place des parkings et des voies sur berge. En Italie, Milan va plus loin, avec un programme de plantation de 3 millions d’arbres d’ici 2030. Mais plusieurs experts ne cachent pas leur scepticisme face aux “forêts urbaines”. “Sur une étude à la Défense, on avait calculé que les 70 premières années de vie des arbres serviraient à absorber le CO2 émis par le renforcement des infrastructures. Avec ces projets, on est plutôt dans un symbolisme de l’écologie. Au niveau du climat, ça ne fonctionne pas réellement”, explique Philippe Rahm, architecte suisse, dans Le Monde. Caroline Mollie, architecte paysagiste, rappelle qu’un arbre, “pour qu’il donne son maximum d’effet, doit avoir au moins une trentaine d’années. Voilà pourquoi mieux vaut planter moins, mais mieux, au bon endroit”. A Melbourne, par exemple, une programme de reforestation ne prévoit “que” 3 000 pieds pour 4,5 millions d’habitants. Des forêts verticales Planter ainsi des arbres en ville reste complexe, en raison d’une forte pression du foncier et d’un manque de place. C’est pourquoi des architectes et des urbanistes conçoivent aussi des forêts “verticales”. À Milan, les deux tours résidentielles du projet “Bosco Verticale” regroupent depuis 2017 plus de 20 000 plantes et arbres, soit l’équivalent de 2 hectares de forêt répartis en façade. Ce projet de reforestation verticale a pour objectif “d’augmenter la biodiversité, de réduire l’expansion urbaine et de contribuer à la régulation du microclimat.” À Singapour, où l’espace est très limité, les plantations d’arbres sur les toits et les terrasses se multiplient depuis 5 ans. Une “architecture verte” à l’origine du surnom de la cité : la “ville-jardin”. Les hôtels Parkroyal et Oasia, notamment, disposent d’une surface végétale 5 à 10 fois plus importante que leur surface au sol. “Ce qui veut dire que dans la ville de demain, la nature pourrait être 10 fois plus présente que si la ville n’existait pas”, estime l’architecte Wong Mun Summ. Reste le risque de voir naître une nouvelle forme d’inégalités, liées au cadre de vie plus agréable procuré par les tours végétalisées. À Milan, les gratte-ciel boisés de Bosco verticale sont surtout peuplés de personnes fortunées. Le complexe compte 131 appartements, dont le prix varie de 10 000 à 18 000 euros le mètre carré. En Corée du Sud, Songdo n’attire aussi que des familles aisées. Car cette “smart city verte” suit une logique immobilière, qui repose sur des partenariats public-privé, et donc le besoin d’attirer des populations CSP + pour être rentables. C’est sans doute pour éviter cela que les urbanistes de Singapour privilégient de plus en plus des projets d’immeubles végétalisés destinés à toutes les catégories sociales, avec un part importante de HLM.🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️🏙🏙🏙🏙🏙🏙🏞🏞🏞🏞🏞🏠🏡🏢🏣🏤🏥🏯🏭🏬🏫🏪🏩🏨🏦💒⛲️⛰️🏔🗼🌐🌍🌏🌎🌳🌲🪴🌱⚘️🌷🌼🌻🌴🌵🍀🌿🍃🦋🐌🐚🦑🦐🦞🦀🐙🦈🐡🐠🐟🦭🐬🐋🐳🦖🦕🐉🐲🐍🦎🐢🐊🐸🦜🦚🦩🪶🦤🦉🦢🦆🦅🕊🐧🐦🐥🐤🐣🐓🐔🦃🐾🦡🦘🦨🦦🦥🐼🐻‍❄️🐨🐻🦇🦔🦫🐿🐇🐰🐹🐀🐁🐭🦛🐿🦣🐘🦒🦙🐫🐪🐐🐑🐏🐗🐖🐷🐄🐃🐂🐮🦬🦌🦓🦄🐎🐴🐆🐅🐯🦁🐈‍⬛🐈🐱🦝🦊🐺🐩🐕‍🦺🦮🐕🐶🦧🦍🐒🐵
@laurentdenise9441
@laurentdenise9441 Месяц назад
il ne faut PLUS mélanger énergie climat et pollution ! les accords de Paris n'ont dangereusement pas pris en compte le principal Gaz à Effet de Serre qui est la vapeur d'eau (60% des effets source GIEC, contre 26% pour le CO2). L'eau de l’atmosphère régule les températures des continents depuis des millions d'années mais cette hypothèse a été écartée dès le début en pensant que les activités humaines n'avaient pas d'impact sur l'eau , or il est maintenant prouvé que la disparition de la couverture végétale des continents (déforestation) coupe le cycle de l'eau et provoque les phénomènes climatiques actuels : inondations, sécheresses, canicules et feux ! #pasdeclimatsanseau Depuis plus de 30 ans les climatologues disent bien, qu’avec le dérèglement climatique, il n’y aura pas moins d’eau mais une dégradation de la répartition annuelle des pluies : inondations l’hiver et sécheresse l’été, exactement le scénario qui s’installe durablement en France et partout dans le monde. Une pluie même forte n’est pas un raz de marée mais elle le devient automatiquement quand on ne régule pas les ruissellements en amont des bassins versants. Le bon sens aurait voulu qu’on anticipe en construisant des retenues en amont des villes pour maintenir un débit acceptable et plus régulier en aval tout au long de l’année, mais depuis quelques années l’administration ordonne la destruction des ouvrages sur les rivières au nom de la continuité écologique, ce qui a amplifié massivement un phénomène parfaitement prévisible : quand l’eau s’écoule plus vite elle s’écoule moins longtemps ! La France et l'Europe font systématiquement et méthodiquement l'inverse de ce qu'il faut faire, à commencer par détruire les barrages quand on manque d'eau et d'énergie ...
@AssociationAVEM
@AssociationAVEM Месяц назад
Merci à l'ADEME pour nous avoir donné cette belle opportunité.
@valentinpion2091
@valentinpion2091 Месяц назад
Merci l ademe 😊
@laurentdenise9441
@laurentdenise9441 2 месяца назад
80% des assainissements collectifs français ne sont pas aux normes et polluent massivement les rivières jusqu'à la mer en passant par les bassins ostréicoles ! On peut agir très vite puisque toutes les lois existent déjà, il suffit juste de les faire appliquer aux collectivités : tous les rejets (pluies et eaux usées) doivent être traités et infiltrés pour ne pas perturber le cycle de rechargement des nappes phréatiques, et quand les infiltrations ne sont pas possibles l'eau doit être recyclée pour des usages non domestiques comme l'arrosage. Les rivières sont le drainage naturel des sols et elles sont caractérisées uniquement par leurs sources, tous les apports supplémentaires (ruissellements, fossés et rejets de station d'épuration) amplifient le drainage naturel donc assèchent les nappes phréatiques et polluent. www.ouest-france.fr/medias/ouest-france/courrier-des-lecteurs/secheresse-en-ete-et-inondations-en-hiver-6961739
@user-sn6se9kk5r
@user-sn6se9kk5r 2 месяца назад
Sehr gut! Mehr Fahrzeug braucht man nicht. ❤
@catherinemorin6310
@catherinemorin6310 2 месяца назад
composteur de jardin = rats en ville et les rats rentrent dans la maison quand on laisse la porte ouverte en été : que faire ?
@pierrem4560
@pierrem4560 2 месяца назад
et en prime un bénéfice de mieux vivre !!
@annemartin2793
@annemartin2793 2 месяца назад
J' adore ❤❤❤
@Numide_Annabi
@Numide_Annabi 2 месяца назад
Super bonnes explications et tres vivantes merci et si on mangeait moins de viande pas de viandes rouges et si on privilegeait les transports en commun si on plantait des algues geantes …
@BakaaCorporation
@BakaaCorporation 2 месяца назад
Pov c pour un devoir 🥲
@Quiwi707
@Quiwi707 2 месяца назад
0:10 " on ne peut plus rester sur ce rythme la" Exactement 👍 La semaine de 4jours pour tous . On travail par trimestre et un mois de vacances
@Quiwi707
@Quiwi707 2 месяца назад
0:10 " on ne peut plus rester sur ce rythme la" Exactement 👍 La semaine de 4jours pour tous . On travail par trimestre et un mois de vacances
@me_9659
@me_9659 2 месяца назад
pluie acide! j'etais pas au courant, merci
@shaddouida3447
@shaddouida3447 2 месяца назад
La ville verte passera aussi par la terre En outre, des obstacles à la généralisation des fermes verticales subsistent. Aucune étude n’a encore été réalisée pour démontrer qu’elles sont plus rentables que les cultures conventionnelles. “Mais elles produisent aujourd’hui en trop petites quantités pour être compétitives”, constate André Torre, directeur de recherche à l’Inra AgroParisTech, dans Géo. Le coût des fermes verticales pourrait aussi se révéler prohibitif, à cause du prix très élevé du foncier, notamment à Paris ou New York. Et si construire du neuf coûte cher, il en est de même pour la transformation d’immeubles en fermes urbaines. “Le coût de mise en place d’une ferme verticale est élevé, et la technologie associée complexe. De plus, tous les végétaux ne peuvent être cultivés ainsi : exit les légumes trop encombrants ou au cycle trop long, qui ne seront pas rentables”, note PwC. Dans son étude sur les fermes verticales, le cabinet PwC indique que “l’agriculture urbaine peut venir combler les manques de l’agriculture traditionnelle”, mais que cette dernière “demeurera capitale”. Notamment parce que “les terres agricoles rendent bien des services écologiques et écosystémiques : drainage des eaux pluviales, maintien de la biodiversité, etc.” “Soyons honnêtes, cette juxtaposition de tours écologiquement remarquables et responsables ne transformera jamais Paris en une ville durable. C’est sans doute un petit peu plus bas qu’il faut d’abord regarder. Paris manque de verdure, c’est un fait, c’est une ville extrêmement concentrée, mais avant de se tourner vers le ciel, il s’agirait bien d’en renforcer durablement les racines”, écrit de son côté Édouard Malsch, urbaniste-géographe et cofondateur du site UrbaNews. Selon lui, attention à ne pas tomber dans le “greenwashing”. De nombreux experts en sont donc convaincus, en 2050, l’agriculture urbaine restera un complément de l’agriculture traditionnelle. Et les villes, loin d’être coupées de l’extérieur, seront plus que jamais liées aux campagnes. L’Inrae, qui a publié en 2018 une étude prospective sur l’avenir des villes et de la ruralité, imagine le scénario des “campagnes au service de la densification urbaine”, dans lequel les espaces ruraux à la périphérie des métropoles seraient “pour partie intégrés aux villes”, et où “ce qui est en dehors” deviendrait “une mosaïque de sites hyperspécialisés dans des fonctions logistiques, énergétiques ou écologiques au service des villes”. Ainsi, en parallèle des fermes verticales, l’on verrait se multiplier des zones agricoles protégées (ZAP) menant une “agriculture intensive à forte technologie et avec un impact environnemental maîtrisé”, qui “approvisionneraient les urbains en produits frais et en plantes ne pouvant pousser à l’air libre ou dans un substrat.” Mais quoi qu’il en soit, la ville verte, composée de tours végétales et de fermes verticales ou au sol semble bel et bien en marche. “Comment nous nourrirons-nous en 2050 ? L’Agriculture urbaine ne pourra fonctionner qu’en complémentarité avec celle des campagnes. Mais si je pense qu’actuellement, la production locale urbaine est anecdotique, je suis persuadé que demain, nous reviendrons à l’époque où, dans le passé, les villes nourrissaient les urbains”, conclut Jean-Philippe Vermette.🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️🏙🏙🏙🏙🏙🏙🏙🏙🏙🏙🏙🏞🏞🏞🏞🏞🏞🏞🏞🏠🏡🏢🏣🏤🏥🏬🏫🏪🏩🏨🏦🏭🏯💒⛲️⛰️🏔🗼🌐🌍🌏🌎🌹💐🌻🌼🌷⚘️🌱🪴🌲🌳🌴🌵🌿🍀
@shaddouida3447
@shaddouida3447 2 месяца назад
Des villes autosuffisantes Certaines villes vont plus loin que la végétalisation, et construisent des “fermes verticales” ; destinées à capter le CO2, mais aussi à alimenter les citadins, tout en réduisant le coût énergétique du transport des denrées. “Aujourd’hui, la capacité des villes à nourrir leurs habitants est faible. Pourtant, c’est dans les centres urbains que les consommations sont les plus importantes. Mais il est parfaitement possible de nourrir tous les habitants de New-York ou de Paris en cultivant à l’intérieur de la ville, dans un rayon de 150 km”, indique Mitchell Joachim, éco-architecte américain. Selon lui, l’agriculture urbaine à étages permettra demain aux mégapoles de réduire le gaspillage alimentaire et de nourrir des dizaines de millions d’habitants. Jusqu’à l’auto-suffisance. Pour le microbiologiste Dickson Despommier, les fermes verticales sont la solution au manque de place dans les villes. Depuis 10 ans, l’agriculture urbaine se développe dans les friches industrielles et les jardins partagés, mais selon lui, la superficie totale de ces parcelles ne sera jamais suffisante pour couvrir les besoins alimentaires des citadins de 2050. Pour le théoricien de l’agriculture urbaine verticale, la production d’aliments “hors sol” permettrait de réduire la consommation d’énergies fossiles et leurs émissions de CO2, tout en diminuant de 70 % l’eau utilisée. Notamment via la culture en hydroponie, qui consiste à immerger les racines dans une solution à base d’eau et de nutriments. Selon lui, un bâtiment de 30 étages peut produire l’équivalent de 970 hectares et alimenter 50 000 personnes. Des centaines de fermes verticales ont vu le jour depuis 2012, partout dans le monde. Les exemples les plus aboutis se trouvent en Asie. C’est à Singapour que les toutes premières “tours maraîchères” sont apparues. Et pour cause : dans ce pays insulaire, le plus densément peuplé au monde, les terres agricoles sont inexistantes. L’agriculture verticale est ainsi apparue comme la solution à sa dépendance aux importations. En 2020, la cité-état compte 300 fermes verticales. Les centaines de tours construites par la société Sky Greens produisent 1 tonne de légumes verts par jour. De son côté, Wong Mun Summ mène un projet de fermes verticales destiné à faire de Singapour une ville auto-suffisante : “elles produiront de la nourriture, mais aussi de l’énergie grâce à des panneaux solaires”. L’objectif des concepteurs de fermes verticales est le même : permettre aux habitants de cultiver et consommer local, avec une empreinte carbone réduite. Ainsi, les tours ne se composent pas que de serres : les habitants peuvent cultiver leurs propres légumes, dans des potagers partagés hors sol. On retrouve ce genre de fermes verticales privées/publiques à Singapour, mais aussi à Tokyo, Paris, Montréal, Chicago, ou encore Atlanta… où le maire perçoit l’agriculture urbaine comme un “futur marché” porteur. Car si elles ne sont pas encore très rentables pour l’instant, de nombreuses fermes verticales sont appelées à faire partie des “smart cities” en développement, avec l’idée d’optimiser la production agricole, et donc de gagner de l’argent. Dans la banlieue de New-York, à New Ark, AeroFarms a créé en 2016 une ferme verticale “aéroponique” de 6 500 m2, dont l’objectif est de produire 1 000 tonnes de choux et de salade par an. Elle utilise pour cela des milliers de capteurs et des algorithmes pour savoir en temps réel si une plante a besoin ou non d’être alimentée en nutriments. Même l’éclairage est réglé pour apporter la longueur d’ondes optimale pour la croissance des légumes. Ces projets d’agriculture urbaine, verticaux ou non, permettent de “réhabiliter des quartiers, de revitaliser des zones défavorisées ou laissées à l’abandon, de mettre à profit des surfaces inutilisées”, observe le cabinet PwC. Mais le concept des fermes urbaines a aussi pour objectif de créer, dans les prochaines décennies, des “villes résilientes ». Capables demain de résister à une grande diversité de menaces, des catastrophes climatiques aux pandémies, selon la FAO. À noter que les projets de villes “auto-suffisantes” concernent aussi l’énergie. Ainsi, les fermes verticales contribueront également, pour la plupart, à en produire grâce à des panneaux solaires. Mais des villes comme Chicago et New-York vont plus loin et développent en parallèle des réseaux d’électricité “intelligents”, alimentés par les habitants eux-mêmes, grâce à la blockchain. Barcelone, de son côté, a créé sa propre compagnie d’électricité. Mais à terme, les projets visant à parvenir à l’auto-suffisance, en tout cas alimentaire, risquent selon certains de se retrouver face à un mur. “L’agriculture urbaine ne pourra jamais entièrement nourrir les villes. L’hydroponie est intéressante, mais elle est surtout utile là où la terre fait défaut, comme à Singapour. En Europe, l’auto-suffisance n’est pas un sujet : la ville n’a jamais été conçue comme un isolat, sans lien avec l’extérieur. Elle est, par nature, étroitement liée aux campagnes. Pour produire beaucoup, mieux vaut le faire dans le sol, donc pas dans les villes. Les fermes verticales peuvent avoir des fonctions productives, mais penser que l’on sera autonomes grâce à cela, c’est une utopie”, tranche Sylvain Grisot. Directeur intervention et politiques publiques au Laboratoire sur l’agriculture urbaine de Dunham, au Québec, Jean-Philippe Vermette souligne les limites de l’agriculture urbaine : “les fermes verticales produisent essentiellement des légumes verts, et ne représentent que 1 % de l’alimentation des citadins, qui consomment surtout des céréales, de la viande et des féculents… On serait loin de l’autosuffisance avec la seule agriculture verticale. Du moins tant que les gens ne mangeront pas autrement.” Si l’agriculture urbaine “répond aux attentes des consommateurs plus soucieux de la provenance et de la manière dont est produite leur alimentation, certains défis freinent encore son développement. Cette agriculture alternative a besoin d’être mieux soutenue, et cela passe par un plus grand investissement de nos gouvernements pour réduire l’écart des prix entre les produits issus d’une agriculture industrielle et ceux d’une agriculture raisonnée, qui restent encore chers”, ajoute-t-il. Pour Christine Aubry, ingénieure à l’Inra, les fermes verticales devront, demain, être utilisées pour répondre à des besoins précis, selon les pays. “À Singapour, c’est le gain de place. Mais en France, où l’on n’est pas en situation de pénurie, elles auront d’autres fonctions : créer du lien social, favoriser la biodiversité, stocker du carbone”.🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️🏙🏙🏙🏙🏙🏙🏙🏙🏙🏞🏞🏞🏞🏞🏞🏞🏞🏞🏞🏞🏠🏡🏢🏣🏤🏥🏬🏫🏪🏩🏨🏦🏭🏯💒⛲️⛰️🏔🗼🌐🌍🌏🌎🌹💐🌻🌼🌷⚘️🌱🪴🌲🌳🌴🌵🌿🍀
@shaddouida3447
@shaddouida3447 2 месяца назад
En Europe, Copenhague est à la pointe des projets de “ville verte intelligente”. Ambitionnant de devenir la première ville au monde neutre en carbone d’ici à 2025, elle ne se contente pas de multiplier les éoliennes et les pistes cyclables. Elle dissémine aussi des milliers de capteurs dans son mobilier urbain. Des “poubelles connectées” permettant de mieux gérer les déchets, jusqu’aux feux rouges mesurant la qualité de l’air, afin de mieux adapter la circulation (notamment lors de pics de pollution). Mais ce qui ressemble le plus à la ville du futur “intelligente et verte” se trouve en Asie, à Singapour. Cette petite île où se massent 6 millions d’habitants a installé des centaines d’arbres artificiels, hauts de 18 à 50 mètres. Ils sont équipés de modérateurs de température, éclairent les rues grâce à l’énergie solaire, et collectent l’eau de pluie pour alimenter les fontaines et des “fermes urbaines”. Des villes végétales Mais les nouvelles technologies ne seront jamais aussi fortes que la nature pour rendre une ville réellement verte. La concentration exponentielle d’individus dans les “mégapoles” du futur amènera celles-ci à remodeler leurs paysages urbains, en laissant davantage de place à la nature. “Aujourd’hui, à Paris, plus de 50 % de l’espace public est dédié aux voitures, à la circulation, aux parkings ; ce qui veut dire que l’on dispose d’un potentiel phénoménal de végétalisation. Pas du végétal décoratif, mais du végétal massif. Des arbres et de la végétation, des corridors verts, des espaces naturels dans la ville qui auraient un impact positif sur la biodiversité, la qualité de l’air et la régulation des températures”, observe Sylvain Grisot. Les villes occidentales, de Lyon à Copenhague, commencent peu à peu à se “végétaliser”, afin d’éviter à ceux qui y vivront (d’ici à 2050) d’y suffoquer. Mais en raison d’un manque de foncier disponible, la création de grands parcs urbains n’est bien souvent pas à l’ordre du jour. Ainsi, les villes transforment-elles surtout les emplacements disponibles, notamment les friches industrielles, en jardins partagés et en “coulées vertes”. Face au réchauffement climatique, la végétation fournit aussi de l’ombre, absorbe le CO2 et refroidit l’air. C’est pourquoi, en Amérique du nord, les villes d’Austin, Seattle et Montréal tentent de planter des centaines de milliers d’arbres d’ici 2030. En France, Paris prévoit d’en faire sortir de terre 170 000 d’ici 2027, à la place des parkings et des voies sur berge. En Italie, Milan va plus loin, avec un programme de plantation de 3 millions d’arbres d’ici 2030. Mais plusieurs experts ne cachent pas leur scepticisme face aux “forêts urbaines”. “Sur une étude à la Défense, on avait calculé que les 70 premières années de vie des arbres serviraient à absorber le CO2 émis par le renforcement des infrastructures. Avec ces projets, on est plutôt dans un symbolisme de l’écologie. Au niveau du climat, ça ne fonctionne pas réellement”, explique Philippe Rahm, architecte suisse, dans Le Monde. Caroline Mollie, architecte paysagiste, rappelle qu’un arbre, “pour qu’il donne son maximum d’effet, doit avoir au moins une trentaine d’années. Voilà pourquoi mieux vaut planter moins, mais mieux, au bon endroit”. A Melbourne, par exemple, une programme de reforestation ne prévoit “que” 3 000 pieds pour 4,5 millions d’habitants. Des forêts verticales Planter ainsi des arbres en ville reste complexe, en raison d’une forte pression du foncier et d’un manque de place. C’est pourquoi des architectes et des urbanistes conçoivent aussi des forêts “verticales”. À Milan, les deux tours résidentielles du projet “Bosco Verticale” regroupent depuis 2017 plus de 20 000 plantes et arbres, soit l’équivalent de 2 hectares de forêt répartis en façade. Ce projet de reforestation verticale a pour objectif “d’augmenter la biodiversité, de réduire l’expansion urbaine et de contribuer à la régulation du microclimat.” À Singapour, où l’espace est très limité, les plantations d’arbres sur les toits et les terrasses se multiplient depuis 5 ans. Une “architecture verte” à l’origine du surnom de la cité : la “ville-jardin”. Les hôtels Parkroyal et Oasia, notamment, disposent d’une surface végétale 5 à 10 fois plus importante que leur surface au sol. “Ce qui veut dire que dans la ville de demain, la nature pourrait être 10 fois plus présente que si la ville n’existait pas”, estime l’architecte Wong Mun Summ. Reste le risque de voir naître une nouvelle forme d’inégalités, liées au cadre de vie plus agréable procuré par les tours végétalisées. À Milan, les gratte-ciel boisés de Bosco verticale sont surtout peuplés de personnes fortunées. Le complexe compte 131 appartements, dont le prix varie de 10 000 à 18 000 euros le mètre carré. En Corée du Sud, Songdo n’attire aussi que des familles aisées. Car cette “smart city verte” suit une logique immobilière, qui repose sur des partenariats public-privé, et donc le besoin d’attirer des populations CSP + pour être rentables. C’est sans doute pour éviter cela que les urbanistes de Singapour privilégient de plus en plus des projets d’immeubles végétalisés destinés à toutes les catégories sociales, avec un part importante de HLM.🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️🏙🏙🏙🏙🏙🏙🏞🏞🏞🏞🏞🏠🏡🏢🏣🏤🏥🏯🏭🏬🏫🏪🏩🏨🏦💒⛲️⛰️🏔🗼🌐🌍🌏🌎🌹💐🌻🌼🌷⚘️🌱🪴🌲🌳🌴🌵🌿🍀
@danto2314
@danto2314 2 месяца назад
Ne montré pas cet vidéo aux grand public... On vas être encore plus convaincue de l'hypocrisie des politiques et des industrielles. "On peut être fière", "le gouvernement fait ça part"... Enfin. Coup dur
@jihadkhalfi7830
@jihadkhalfi7830 2 месяца назад
Prq c drôle 😅
@michaelguy-il6qt
@michaelguy-il6qt 2 месяца назад
Les cours de techno lol
@gillesjpgoy3943
@gillesjpgoy3943 2 месяца назад
Jamais sans ma gourde
@yazidsaidi2156
@yazidsaidi2156 2 месяца назад
C'est bien une video promotion. Dans la réalité l'ADEME est juste un organisme pro bureaucratie. Leur reglementation n'est en rien compatible avec les enjeux environnementales d'aujourd'hui.
@elamineTakmoha
@elamineTakmoha 2 месяца назад
Wow c'est intéressant. J'ai savit pas