Les excès de trop ou pas du tout nuisent, si on nourris trop une plante, elle se noie et mal ou pas du tout nourris elle meurt. Je pense qu'il est important de nous enseigner nos comportements, nos émotions depuis notre enfance cela éviterait bien des conséquences à l'âge adulte.
Un grand merci pour cette vidéo de très belle qualité. Je suis thérapeute en clinique psy, je cherche de plus en plus à me former aux thérapies des TOC
Top Helène 😃 Podcast d’intérêt : Que savez-vous sur la personalité ?La différence entre caractère et personnalité? #podcast #tcc ru-vid.com/video/%D0%B2%D0%B8%D0%B4%D0%B5%D0%BE-8D2AczfFods.html
En accord sur l'essentiel. Par contre, le trauma de l'enfance, est passé travaillons sur la synthèse et l'acceptation du réel, oui et non, le passé n'est pas passé, figé, nous pouvons changer sa représentation avec le recul, la maturité, l'analyse et les mots pour cicatriser.
Merci pour cette conférence. Étant formé aux pédagogies alternatives, communication bienveillante, Approche centrée sur la personne, je résumerai peut-être ma conception des choses en disant : tu es roi, roi en toi, mais je ne suis pas ton sujet !
Je puis témoigner que les objectifs sont très facile à détourner dans un régime autoritaire pour produire l'exact inverse de ce qui est ici vendu. Peut-être que cette approche est plus sécurisante dans des époques type post-guerre. Mais pré-guerre, ou pendant... Grave erreur. Pour ma part, mes soignants ont fait une confusion entre croyance et sciences sociale, et se sont évertués pendant 3 ans à inverser les rôles, en me précarisant par privation d'emploi et exclusion sociale, afin de mettre en oeuvre cette thérapie. Je l'ai vite identifié en menant mes propres recherches, et ils sont alors passé au gaslighting pour mener leur projet à terme... J'ai fini par éprouver des symptômes paranoïaques au bout d'un an. J'ai du fuir la ville pour que cela cesse, et m'en remet doucement. Je n'en ressort que d'avantage fragilisée et inapte à l'emploi, à l'autonomie. Si de telles pratiques existent, je pense que j'ai plus de chances de me remettre de mon burn out professionnel en embrassant mon extrême précarité infligée via l'administratif faisant loi au delà du réel. J'ai aussi acquis mon dossier médical, plein de faux : Il est possible qu'il fut piraté, ou encore que mes anciens patrons, de très mauvaises foi, m'ai inventé des propos extrêmes que je n'ai jamais eu pour me condamner à l'exclusion social et à toujoursmoins de libertés de choix de parcours. C'est le système qui doit changer, pas moi. J'ai toujours été une résitante quand l'état permettait d'avantage au réel de triompher. La responsabilité de changer a été mise sur mes épaules, et je n'en ressors que plus affaiblie. Pourtant, j'étais partie pour être dans le top 3 de la promo en alternance dont on m'a exclue pour mettre en oeuvre cette thérapie. Ce diplôme et ces 3 ans d'expérience professionnelle dans un métier de vocation m'auraient bien plus aidée à gagner de l'autonomie financière que cette thérapie inappropriée. J'ai été privée de 3 ans de vie, on m'a juste maintenue dans la précarité extrême. Une vraie peine quand on défend des idées, tout ça pour avoir défendu mes droits au travail avec courage tout mon parcours. La seule croyance que me laisse cette thérapie, c'est que la résistance face à cet état autoritaire doit passer aux méthodes violentes revenir vers un système plus juste. Nous avons franchi ce cap historique. "Nous sommes en guerre", disait l'autre... Je constate, oui...
Voici essais de quelques repères dans cette vidéo : 3:15 début ; au delà des approches processuelles, catégorielles dépassées ; 7:18 plan de présentation ; le trouble du spectre schizophrénique (aperçu bibliographie historique) ; 18:17 approche catégorielle vs processuelle ; 14:43 traitement antipsychotiques (cf méta-analyses ; efficacité relativement faible sur la rechute) ; 15:19 vs placebo (... aucune supériorité significative) ; 17:42 méta-analyses en TCC ; DSM-IV et 5, catégoriel, médical ; 20:35 approche processuelle vs catégorielle ; 26:40 approche causale interventionniste / symptômes psychotiques ; philosophie / nature des troubles mentaux + cibles interventions cliniques ; 31:48 causalité en psychologie clinique ; quel ingrédient efficace ; 33:28 TCC des symptômes psychotiques et idées de persécution : 1è vague ; 33:37 persécution modèle continuum de Freeman et al 2006 [différent de Mottron et al 2007 en comparaison SA], modèle issu de la dépression, Beck ; 35:45 cibler exactement ce qui marche ou pas ; 36:44 TCC des symptômes psychotiques et des idées de persécution, la 2è vague ; modèles et interventions cognitives ; variables causales non psychologiques ; ce n'est plus modèle ABC ; 37:03 ex. persécution ; 38:02 biais de saut aux conclusions, biais d'attribution, ... ; 41:30 lien inquiétude et idées de persécution ; 44:00 sommeil ; 45:34 solitude ; 46:01 Perspectives ; approche causale/expérimentale, intégrative ; les modèles doivent prendre en compte toutes les variables, psychologiques, biologiques, environnementales, solitude ; des processus sont des causes [boucles causales ?], dynamique temporelle ; 50:32 Questions.
Très bonne vidéo, j'aime bien le format dessiné, doux et bienveillant. Si seulement la TCC était la base de l'enseignement en psychologie et psychiatrie...
Grave leur psychologie freudienne de merde un mec égocentrique complètement tarer et obsédé sexuelle pffff on est tres en retard 40 ans de retard exactement
Je suis dans le centre de la France et Paris est plus proche de moi que Montpellier. Pourriez vous me donner des références du psychiatre Raphaël s'ils vous plaît.Merci beaucoup.
Le TOC du couple est un trouble obsessionnel compulsif particulier. Les spécialistes l’appellent en réalité le ROCD pour "Relationship Obsessive Compulsive Disorder", en français le trouble obsessionnel compulsif sur le couple. La reconnaissance de ce TOC est relativement récente, entre 10 et 15 ans tout au plus. Il n’est pas à prendre à la légère, car il impacte négativement le patient, son partenaire et le couple. Le TOC du couple regroupe en réalité trois types de troubles psychiques : L’obsession sur la relation de couple ; L’obsession sur le partenaire ; La phobie d’impulsion. Lire aussi - TOC : des innovations digitales pour soutenir les malades Le couple à l’épreuve du TOC Dans le TOC du couple, l’obsession sur la relation de couple et sur le partenaire concerne plusieurs aspects : Les doutes obsessionnels sur toutes les questions relatives au couple ; Des préoccupations intenses sur la relation de couple ; Des vérifications multiples et récurrentes. Chacun de ces aspects concerne à la fois les sentiments de la personne vis-à-vis de son partenaire et les sentiments réciproques du partenaire vis-à-vis de la personne. Mais la légitimité de la relation de couple fait également l’objet des obsessions. Toutes les dimensions du couple et des deux partenaires peuvent être concernées par le TOC du couple : L’apparence physique ; Les valeurs et la morale ; La sociabilité ; Les capacités intellectuelles ; Les émotions et les sentiments ; Les compétences dans tous les domaines, tant sur le plan privé que professionnel ou social. Les traitements efficaces sont les mêmes que dans les autres TOCs, avec la particularité qu'il est indispensable de prendre en charge en thérapie le partenaire (très affecté souvent) et/ou le couple (recevoir les deux partenaires (accommodation familiale à travailler).
Bonjour, Merci pour cette nouvelle vidéo ! Une petite question, j'ai lu que certains psychologues étaient contre les TCC parce qu'elles ne travaillaient que sur les symptômes et non sur l'origine du problème. J'ai du mal à saisir ces propos. Qu'en pensez-vous ?
Bonjour, Ma réponse de psychologue - psychothérapeute praticienne en TCC est simple : mes patient(e)s sont juste ravi(e)s une fois leur TCC terminée et leur qualité de vie revenue. Il est assez rare d'observer des "déplacements de symptômes" même si cela arrive parfois, et en quel cas, la TCC offre à ce jour de nombreuses possibilités afin d'explorer et traiter la racine de la souffrance. N'oublions pas non plus qu'aussi bien les inventeurs de la TCC que la plupart des praticiens en TCC actuels ont été formés à la psychanalyse et, partant du constat que ca ne résolvait pas les problèmes des personnes en souffrance qui les consultent, ont décidé de se tourner vers une autre méthode, reconnue scientifiquement comme efficace. Enfin, la TCC, comme toute jeune science, progresse chaque jour à déterminer des processus psychiques à l'œuvre dans le développement et le maintien de troubles psychiques, toujours plus finement et en profondeur afin d'accompagner nos patients vers le bien être de manière durable. Pour éclairer votre questionnement, je vous invite à lire cet extrait de "Faits et légendes des thérapies comportementales et cognitives 1" de Jacques Van Rillaer, Professeur émérite de psychologie à l’Université de Louvain (Louvain-la-Neuve), 1996. "Bon nombre d’analystes reconnaissent que les TCC permettent de changer des comportements, mais ’empressent d’ajouter que les changements sont superficiels, voire dangereux, parce qu’ils risquent de produire de nouveaux symptômes. C’est sans doute l’objection la plus fréquente, formulée dès l’apparition des TCC. Freud a bâti sa théorie sur un modèle médical : comme les signes visibles de la tuberculose sont causés par un bacille caché à l’intérieur du corps, ainsi les troubles psychologiques seraient causés par des souvenirs d’événements ou de fantasmes cachés dans l’Inconscient. Une métaphore qui accompagne et renforce ce schéma, tout au long de l’œuvre freudienne, est celle de la machine à vapeur, une invention qui a profondément marqué les hommes du XIXe siècle. Freud comparait l’appareil psychique à une marmite (« Kessel ») remplie de l’énergie émanant des pulsions. Pour lui, les troubles mentaux sont en quelque sorte de la vapeur qui s’échappe par une soupape. Modifier un comportement, sans réduire la tension à l’intérieur du système, c’est boucher une soupape, c’est augmenter la tension intérieure et provoquer illico l’émergence de « symptômes de substitution », de la vapeur qui sort par un autre trou. Aujourd’hui encore, la majorité des freudiens adhèrent au modèle marmitéen. La réponse à la question de la substitution automatique de symptômes relève essentiellement de recherches empiriques. Oui ou non, le fait d’apprendre à quelqu’un comment réduire un trouble en produit-il un autre ? Dans le cas des phobies, on observe tout au contraire un « effet boule de neige positif ». L’agoraphobe qui n’osait plus sortir de chez lui, qui déprimait et qui calmait son angoisse et son découragement par l’alcool ou des tranquillisants, découvre une autre vie et restaure l’estime de soi lorsqu’il parvient à nouveau à circuler sans faire d’attaque de panique. Pour d’autres troubles, la réalité est plus complexe. Chercher à supprimer une addiction, sans tenir compte de ses fonctions (l’obtention de plaisir et surtout la réduction de déplaisir) et de son contexte (matériel, relationnel, social), expose à des rechutes ou à d’autres formes de difficultés. Les comportementalistes l’ont compris depuis longtemps et agissent en conséquences."
@@christinefuvel5882 bah c'est des psychologues. Les psychologues cliniciens choisissent entre différentes approches, et les TCC sont l'une d'entre elles
Si je comprends bien la TCC agit sur notre manière de penser, interprèter un evenement pour changer l'emotion qui en résulte ? Donc en realite, c'est notre interprétation qui est le problème et qui est la cause de notre souffrance ?
belle vidéo, une idée en passant, une vidéo sur les différences entre TCC et ACT serait top. Les thérapeutes pratiquant l'ACT la présentent comme la TCC troisième génération, vous en pensez quoi ?
Bonjour, avec si peu d'éléments je vais avoir un peu de difficultés à répondre, mais cela reste un cauchemar si il y a des images/récits oniriques. Généralement en début de nuit, il s'agit plus de terreurs nocturnes et les cauchemars à proprement parler n'arrivent pas avant la première phase de sommeil paradoxal. Il existe cependant une phase que nous connaissons tous (ou presque) à l'endormissement que certains appellent l'hypnagogie durant laquelle nous ne sommes plus en veille mais dans un état de conscience modifié qui parfois peut être encore maîtrisé, qui parfois aux enregistrements montre des similarité avec le sommeil paradoxal. Durant cette phase nous avons parfois des clonies (ou myoclonies) d'endormissement, ces petits sursauts qui font bouger brusquement une partie de notre corps, qui peuvent nous réveiller et que nous associons souvent à quelque chose qui ressemble à un rêve (moi je rate toujours une marche d'escalier et l'une de mes jambes part en vrille). Toutefois, cette phase hypnagogique ne dure généralement que quelques minutes, à moins que vous n'ayez jouer à un jeu vidéo toute la journée et que durant cette phase vous en voyez toujours des images qui elles mêmes vont vous énerver et vous empêcher de vous endormir. Si c'est durant cette phase qu'apparaît un cauchemar il y a de fortes chances pour qu'il soit directement lié avec une anxiété chez la personne le faisant. Une anxiété "générale" ou un événement anxiogène de la journée qui reste vif à l'esprit. Si ce n'est pas le cas, je n'en sais rien. Ce que je sais c'est qu'il est assez facile de s'entrainer à maitriser les images que l'on voit à l'endormissement et que cela bien souvent le facilite et le rend plus serein. Il suffit, seul ou aider, de fermer les yeux quand on est bien fatigué et de se dire "un éléphant", "une voiture", "Céline Dion" et d'attendre que les images se forment.
Bonjour Quand je pense au comment je me sens souvent dépassée par les solutions à mettre en oeuvre même si les idées sont pertinentes ou réalisables, je peux sentir comme ne pas être à la hauteur ou de l'anxiété de ne jamais y parvenir. Comment faire 😅? Merci beaucoup pour votre présentation
Oui les couple va une grand violence conjugal nous evider que les famme manifester la tristest la depression pour une bon justificatiion de problem pas la resolution mais nadia kadiri fait une grand effort pout augmenter le pris consciont pour letude des couple
Bonjour, une formation aftcc nouvellement disponible sur Montpellier ? Je ne vois rien sur le site, pourriez-vous me le confirmer ? Très bonne présentation par ailleurs, très éclairante !
Efféctivement, la formation AFTCC ouvre à Montpellier. Le secretariat est en train de finaliser les dates. N'hésitez pas à vous renseigner directement après de Mme Julie Finlande.
