Analyser la construction de son story telling : La promesse : il va nous révéler un secret. Le teasing : il explique en quoi connaitre ce secret c'est exceptionnel pour nous, à quel point ca peut être game changer... L'argument d'autorité : il prend l'exemple des grandes entreprises comme Apple pour illustrer et argumenter sur l'approche des affaires par le secret. En même temps il renforce sa promesse. La preuve par l'exemple : il nous raconte une histoire avec Francis Delmas.... et met en scène la manière de manier l'information secrète. Conclusion : tous ça pour annoncer que le secret c'est finalement ce qui nous a permis de regarder cela jusqu'au bout. Et oui vous êtes bien en présence d'un commercial qui vend du rêve, voir du vent.
C'est sont les techniques que j'utilise toujours dans mes activités commerciales professionnelles. Merci bien et ça marche toujours 😂. Michaël tu es un leader, merci pour tout 👌🇧🇫 depuis le Burkina Faso
Je vous serai éternellement reconnaissant, vous avez changé toute ma vie et je continuerai à prêcher en votre nom pour que le monde entier apprenne que vous m’avez sauvé d’une énorme dette financière avec juste un petit investissement, merci Susan Bennett
Comme je suis hypersensible, factuelle, simple et aimant l’humour subtil. Je préfère utiliser ceci : « Bonjour Monsieur MachPro, je vous ai adressé le XX ma lettre de mission. Elle a une date de validité de fin au XX. Sans réponse de votre part, je vais considérer notre collaboration comme une mission impossible et la lettre de mission s’autodétruira. Si toutefois, la mission vous convient rendez vous le XXX à XXh au téléphone. Je vous adresse par mail un rappel. Bonne journée.» Si ce client est absent au rendez-vous ou n’a pas signé et retourné le dit document, je le considère comme un agent double inactif. Paix à son âme.
Je trouve que la technique culpabilité manque d’agressivité pour le coup 😂 On m’avait conseillé de dire: « Avez vous abandonné toute piste de collaboration? » Qu’en pensez-vous? Est ce trop agressif?
@@Sitbonino Oui c'est une question fermée. Mais il y a une petite pirouette psychologique. En général sur une question fermé, on veut que la personne se "force" pour dire non, afin de maximiser la chance d'un oui. Mais dans ce cas, c'est comme si quelqu'un vous dit: "Etes-vous mal élévé?". Normalement, il faut se forcer à dire oui, plutôt que non. Il s'agit davantage de susciter une réaction chez le prospect que de l'agresser bien évidemment.
Bonjour Michaël, pourriez-vous faire une vidéo sur la vente en magasin. L'ameublement et décoration haut de gamme. Car je suis bloqué dans mes ventes. Je ne sais pas comment m'y prendre afin de persuader mes clients. D'avance merci 🙏 Olivier de Belgique
Excellent! Cela bien sûr nécessite d'avoir au départ une offre en béton, revue, peaufinée et en adéquation avec les attentes du Client. Le contraire pourrait alors "justifier" un silence de la part de celui-ci. L'humour tout à fait une fois passé le cap de la première commande ou alors lorsque le relationnel a été excellent avec l'acheteur potentiel.
Je n'ai pas regardé la vidéo et je le ferai plus tard. J'ai grandi de cette histoire de ghosting. Maintenant, je présente ma lettre de mission lors d'un deuxième rendez vous. Non négociable. L'expérience m'apprend chaque jour à avoir plus de respecter pour moi même.
La phrase de conclusion tombe comme une évidence mais c’est vraiment usant de se coltiner des interlocuteurs qui se mettent aux abonnés absents dés qu’ils ont eu leur offre. Les 3 stratégies expliquées sont pertinentes mais souvent le mur est infranchissable. Dans mon activité, nous avons décidé de ne plus répondre à ces spécialistes de la non relation et de le faire savoir. C’est fou le temps qu’on y gagne pour servir les clients qui passent réellement des commandes.
C'est notre lot quotidien depuis la pandémie. Les clients, PME et multinationales, ne répondent plus aux courriels et aux appels téléphoniques. Merci pour vos vidéos, toujours très brillantes.