« Vernon Subutex 3 » de Virginie Despentes 

Ća faisait 10 ans que je n ai pas ouvert un bouquin et on m a offert la trilogie subutex, j ai dévoré les 3 volumes en une semaine. Ça m a réconcilier avec les livres!

Ces livres sont trois pépites qui brillent encore dans mon esprit.

J'adore Virginie despentes elle est une femme lumineuse !

Et ben moi j'aimais pas les livres de Virginie Despentes puis j'ai lu Vernon Subutex... de loin cette trilogie est ce qu' elle a accouché de mieux. Et je la trouve plus apaisée, belle. Quand j'avais 20 ans, je l'avais rejetée et à 50 je la retrouve...j'avais rien compris.

Sympa l'image des bumpers

La partie immergée de la pauvreté à Paris dérange lorsqu'a une terrasse de café ou de restaurant, on ne peut plus prendre du plaisir sans culpabiliser. Et pourtant, au fond des cours crasseuses des immeubles parisiens des derniers décennies, elle existait déjà. Et elle existe, également, dans les chambres de service louées, souvent, par des grands bourgeois, à des étudiants ou un éventail de gens dans le besoin. C'est moins visible à Barcelone qui doit en faire la chasse.

Elle est iconic comme Vernon

J'tadores j'te kiff grave ééééééééééééé voilà!!!

J'ai fait une vidéo sur Vernon Subutex sur ma chaîne, n'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez ✌️

je pense aller voir

Ce pousse bleu et ce merci est pour Virginie Despentes et absolument pas pour le présentateur.

Faudrait lui parler de Charlie

Quand tu la lis, écoutes et la vois la première fois, t'as pigé que dans son couple punk à chiens , c'est les chiens qui bolossent la punk littéraire.

queen

de quoi tirer une série !…

J'ai pas encore lu Despentes ! Je devrais commencer par quoi?

Si ces 3 volumes donnent l'envie aux jeunes générations d'acheter et lire !!!! Ces jeunes arrêteraient les fautes d'orthographes et sms dignes d Aliens ils arreteraient aussi de parler avec des onomatopes.... sauf s'ils veulent rester illettrés et ne jamais se remettre en question 🤔

trés trés dur ce présentateur... trop pour moi en tous cas...

Virginie depente ⚘⚘⚘⚘⚘⚘⚘⚘⚘⚘⚘⚘⚘⚘⚘⚘

6:05 *transgenre

Cette dame a un parcours respectable mais les propos qu'elle partage sont assez banals. C'est la fin du monde depuis 3000 ans et la littérature nous transforme depuis le marketing des éditeurs et la propagande des ménagères du XIXème. La littérature n'est pas dans ces banalités mais dans celle intime de l'auteur qui à force de la triturer nous la fait exploser au visage (en pleine poire aurait dit Marcel et Ferdinand). Je ne l'ai pas vu dans cette émission. Je vais donc lire.

Série bourrée de clichés sur tout le monde, comme on aime en France.

le journaliste bobo parisien à la mode qui essaie de se mettre au niveau de l'ex punkette! c'est risible; il veut surfer surla vague à la mode! c'est devenu le vrp de tous les bouquins qui sortent, tout est génial à l'écouter( je suis au courant de ses émissions)!

Grosse camé

Cette dame a notamment écrit : « J’ai été Charlie, le balayeur et le flic à l’entrée. Et j’ai été aussi les gars qui entrent avec leurs armes. Ceux qui venaient de s’acheter une kalachnikov au marché noir et avaient décidé, à leur façon, la seule qui leur soit accessible, de mourir debout plutôt que vivre à genoux. J’ai aimé aussi ceux-là qui ont fait lever leurs victimes en leur demandant de décliner leur identité avant de viser au visage. J’ai aimé aussi leur désespoir. Je les ai aimés dans leur maladresse - quand je les ai vus les armes à la main hurler 'on a vengé le Prophète' et ne pas trouver le ton juste pour le dire. Jusque dans leur acte héroïque, quelque chose qui ne réussissait pas » C'est dommage, hein ?

Même ses titres sont clichés.

Personnellement je ne comprends pas comment on peut considérer cette trilogie pour un chef d’œuvre. C'est un amas de clichés grossiers, d'idées naïves, plein d'aigreurs et de haines de la part d'une misandre et parvenue. Évidemment le roman idéal pour un bobo. Ces livres sont trop surcotés et ne contente que le petit Paris mondain qui n'a jamais vu la pauvreté et la réalité du haut de leur tour d'ivoire. Faut-il que les critiques littéraires soient tombés aussi bas pour promouvoir pareille merde.