À qui appartient vraiment la télé #9/10 : Aux politiques 

Au Japon aussi il y a à peine des 10 secondes de pub et le reste c'est une majorité d'émissions tv

Il n’y a pas publicités le soir sur les chaînes publiques françaises France 2, France 3 etc etc depuis plusieurs années

Mais en Allemagne et au Royaume-Uni la redevance est presque 100€ plus élevée !

@@brunonogues5128 Au Japon, ce sont les émissions les publicités. Attention à ne pas tout idéaliser.

@@petitthom2886 exact. D'ailleurs on peut dire que les Allemands en ont pour leur argent car les chaînes ayant le plus de pdm sont les chaînes publiques (la série policière Tarort sur l'ARD est une véritable institution) ; les grandes compétitions sportives (ex. Coupe du monde de de foot) sont également retransmises dans leur intégralité. Il y a aussi une chaîne spécialisée pour les enfants (Kika)

J'y ai pensé aussi ! Cette histoire aurait eu tout-à-fait sa place dans la vidéo.

@@valoulef Le pire, c'est que les vrais ennemis de Sarko, il les trouvait dans son propre camp : 1) Jacques Dupuydauby : Selon Dupuydauby, gaulliste, il aurait rencontré Sarko tout juste élu maire de Neuilly en 1983, lors d'un déjeuner. Il aurait découvert selon lui, le vrai Sarkozy : arriviste, prétentieux, qui s'auto-énerve, déteste la député de Neuilly de l'époque : Florence d'Harcourt... lui aurait proposé un contrat que Dupuydauby aurait refusé. Sarkozy a immédiatement placé Jacques Dupuydauby parmi ses ennemis : l'a contrôlé au fisc en tant que ministre du budget, s'est allié à Bolloré pour les ports africains contre Dupuydauby. Depuis Jacques Dupuydauby, anti-sarkozyste assumé, même s'il a voté Chirac en 95 et 2002, est allé jusqu'à voter Ségolène Royal en 2007 et probablement François Hollande en 2012. 2) Jacques Chirac : A soutenu Édouard Balladur pour 1995, dès 1993 avec Veil, Pasqua, Méhaignerie, Léotard (petite anecdote, je vis en Bretagne, et le député de Loudéac Marc Le Fur (élu de 1993 à 1997 et depuis 2002) a soutenu Balladur en 1995)... s'est emparé de l'UMP en 2004 marginalisant Jacques Chirac. Ce dernier ne lui pardonnant pas sa traitrise, a voté Hollande en 2012. 3) Yves Bertrand : Patron des Renseignements de 1992 à 2004. Nommé par le ministre socialiste de l'Intérieur Paul Quilès, il a soutenu Jacques Chirac en 1995. Depuis, Sarkozy le déteste, tout comme Charles Pasqua, son ancien ministre de tutelle. Même si Lionel Jospin tentera de muter Yves Bertrand sous le 3ème cohabitation, Sarkozy l'imitera de 2002 à 2004, mais Bertrand fut protégé par Dominique de Villepin alors secrétaire général de l'Élysée de 95 à 2002. Sarkozy le mutera en Janvier 2004 à l'IGA (Inspection Générale d'Administration), prétextant la limite d'âge. Puis Sarkozy publiera les carnets de Bertrand, le marginalisant définitivement et fusionnera les Renseignements Généraux et la Direction de la Surveillance du Territoire en "Direction Centrale du Renseignement Intérieure" dirigée par Bernard Squarcini. S'ils n'avaient pas fusionnés, des attentats comme l'Affaire Merah ou les attentats de Paris de 2015 auraient pu êtres évités. 4) Patrick Devedjian : Ancien ami de Sarkozy, Patrick Devedjian alors député-maire RPR d'Antony, balladurien farouchement opposé au PACS, espérait devenir Garde des sceaux. Sarkozy nommera Rachida Dati, Plâce Vendôme. Blessé, Devedjian se console en devenant président du conseil général des Hauts-de-seine face à Isabelle Balkany qui a révendiquée le soutien, non prouvé, de Nicolas Sarkozy. Devedjian qui souhaitait nettoyer les écuries d'Augias du 92, provoque la fureur de Nicolas Sarkozy en voulant écarter Isabelle Balkany, mais aussi des Balkany qui lui reprocheront de ne pas emprunter ni de dépenser (Levallois-Perret a été la ville la + endettée de France), de Charles Pasqua (ancien pdt du 92) qui lui reproche la baisse des subventions de l'université qu'il préside... et enfin Jean Sarkozy tout juste élu en 2008, tentera de s'emparer de l'administration des Tours de la Défense en 2009 prétextant à Devedjian la limite d'âge. Contesté, le fils à Sarko renonce sur conseil de Patrick Buisson. Devedjian perdra ensuite la fédé UMP du 92, mais finira par être réélu dans son canton de Bourg-la-reine en 2011, tandis qu'Isabelle Balkany changeant de canton est battue et quitte le conseil général. Les sarkozystes souhaitant faire du maire de Villeneuve-la-Garenne, Alain-Bernard Boulanger sarkozysye pur jus, un président de transition pour Jean Sarkozy, ce dernier finit par soutenir Devedjian et se retira de la vie politique en 2015. Patrick Devedjian soutiendra Alain Juppé à la Primaire de la Droite en 2016 et succombera du Covid-19 en Mars 2020. 5) Dominique de Villepin : Premier ministre de 2005 à 2007, chiraquien, l'ennemi de Sarkozy. Ce dernier accusera à tord De Villepin de l'avoir listé dans l'Affaire Clearstream, a profité du CPE abandonné pour lui barrer la route pour 2007, fait tout pour le marginaliser. Il le prive de ses nombreux soutiens... jusqu'à l'empêcher de se présenter en 2012. Depuis, Villepin est mort politiquement !

Si tu te rappelles mai 1968, c'est une cinquantaine de journalistes qui ont été virés de l'ORTF , à la suite des événements

D'un autre côté Guillon, comment dire... ça a pas été une grande perte

Pas pour rien qu'on lui a donné le sobriquet de Naboléon...

Le pire, c'est que les vrais ennemis de Sarko, il les trouvait dans son propre camp : 1) Jacques Dupuydauby : Selon Dupuydauby, gaulliste, il aurait rencontré Sarko tout juste élu maire de Neuilly en 1983, lors d'un déjeuner. Il aurait découvert selon lui, le vrai Sarkozy : arriviste, prétentieux, qui s'auto-énerve, déteste la député de Neuilly de l'époque : Florence d'Harcourt... lui aurait proposé un contrat que Dupuydauby aurait refusé. Sarkozy a immédiatement placé Jacques Dupuydauby parmi ses ennemis : l'a contrôlé au fisc en tant que ministre du budget, s'est allié à Bolloré pour les ports africains contre Dupuydauby. Depuis Jacques Dupuydauby, anti-sarkozyste assumé, même s'il a voté Chirac en 95 et 2002, est allé jusqu'à voter Ségolène Royal en 2007 et probablement François Hollande en 2012. 2) Jacques Chirac : A soutenu Édouard Balladur pour 1995, dès 1993 avec Veil, Pasqua, Méhaignerie, Léotard (petite anecdote, je vis en Bretagne, et le député de Loudéac Marc Le Fur (élu de 1993 à 1997 et depuis 2002) a soutenu Balladur en 1995)... s'est emparé de l'UMP en 2004 marginalisant Jacques Chirac. Ce dernier ne lui pardonnant pas sa traitrise, a voté Hollande en 2012. 3) Yves Bertrand : Patron des Renseignements de 1992 à 2004. Nommé par le ministre socialiste de l'Intérieur Paul Quilès, il a soutenu Jacques Chirac en 1995. Depuis, Sarkozy le déteste, tout comme Charles Pasqua, son ancien ministre de tutelle. Même si Lionel Jospin tentera de muter Yves Bertrand sous le 3ème cohabitation, Sarkozy l'imitera de 2002 à 2004, mais Bertrand fut protégé par Dominique de Villepin alors secrétaire général de l'Élysée de 95 à 2002. Sarkozy le mutera en Janvier 2004 à l'IGA (Inspection Générale d'Administration), prétextant la limite d'âge. Puis Sarkozy publiera les carnets de Bertrand, le marginalisant définitivement et fusionnera les Renseignements Généraux et la Direction de la Surveillance du Territoire en "Direction Centrale du Renseignement Intérieure" dirigée par Bernard Squarcini. S'ils n'avaient pas fusionnés, des attentats comme l'Affaire Merah ou les attentats de Paris de 2015 auraient pu êtres évités. 4) Patrick Devedjian : Ancien ami de Sarkozy, Patrick Devedjian alors député-maire RPR d'Antony, balladurien farouchement opposé au PACS, espérait devenir Garde des sceaux. Sarkozy nommera Rachida Dati, Plâce Vendôme. Blessé, Devedjian se console en devenant président du conseil général des Hauts-de-seine face à Isabelle Balkany qui a révendiquée le soutien, non prouvé, de Nicolas Sarkozy. Devedjian qui souhaitait nettoyer les écuries d'Augias du 92, provoque la fureur de Nicolas Sarkozy en voulant écarter Isabelle Balkany, mais aussi des Balkany qui lui reprocheront de ne pas emprunter ni de dépenser (Levallois-Perret a été la ville la + endettée de France), de Charles Pasqua (ancien pdt du 92) qui lui reproche la baisse des subventions de l'université qu'il préside... et enfin Jean Sarkozy tout juste élu en 2008, tentera de s'emparer de l'administration des Tours de la Défense en 2009 prétextant à Devedjian la limite d'âge. Contesté, le fils à Sarko renonce sur conseil de Patrick Buisson. Devedjian perdra ensuite la fédé UMP du 92, mais finira par être réélu dans son canton de Bourg-la-reine en 2011, tandis qu'Isabelle Balkany changeant de canton est battue et quitte le conseil général. Les sarkozystes souhaitant faire du maire de Villeneuve-la-Garenne, Alain-Bernard Boulanger sarkozysye pur jus, un président de transition pour Jean Sarkozy, ce dernier finit par soutenir Devedjian et se retira de la vie politique en 2015. Patrick Devedjian soutiendra Alain Juppé à la Primaire de la Droite en 2016 et succombera du Covid-19 en Mars 2020. 5) Dominique de Villepin : Premier ministre de 2005 à 2007, chiraquien, l'ennemi de Sarkozy. Ce dernier accusera à tord De Villepin de l'avoir listé dans l'Affaire Clearstream, a profité du CPE abandonné pour lui barrer la route pour 2007, fait tout pour le marginaliser. Il le prive de ses nombreux soutiens... jusqu'à l'empêcher de se présenter en 2012. Depuis, Villepin est mort politiquement !

Ok, mais interdire la publicité sur le service public, comme l'a fait Sarkosy, est une mesure, non pas de droite, mais de gauche

@@herveherve324 Rocard et Jospin ont tentés de la mettre en place, ils ont dû y renoncer à cause de la concurrence de TF1. Sarkozy l'a repris pour affaiblir l'audiovisuel public au profit de son ami, Martin Bouygues propriétaire de TF1. Il aurait tout aussi pu privatiser France Télévisions et Radio France et les confier soit à Arnaud Lagardère, soit à Vincent Bolloré, soit à Serge Dassault, soit à Bernard Arnault, soit abolir les règlementations anti-monopole et les confier à Martin Bouygues pour éventuellement fusionner TF1, France Télévisions et Radio France.

Carrément!

Ba justement ça l’ait donc bon mdr

Ardisson ne dira pas le contraire, pour lui, les coupures publicitaires créent des "pauses"...À l'époque de "Tout le Monde en Parle", il y avait jusqu'à...8 minutes de pub précédant l'émission de 20h50 et son émission ! Ce qui faisait que certains soirs, il démarrait à 22h50, ou alors plus tôt, vers 22h30 !

Nous avons déjà un indice . Selon Reporters sans frontières, la France se situe au 34 ème rang mondial , en termes de liberté de la presse Avec Macron, nous avons perdu 2 places ! N'oublie pas non plus que, sous le mandat encore de Macron, la loi Avia, qui voulait encadrer la liberté d'expression, par les GAFAM, a été grandement censurée par le Conseil constitutionnel

pour cogner dessus , probablement

France Inter se targue d'être la première radio de France,. C'est normal, sur cette radio, il y a très peu de pub, puisque sa principale source de financement, c'est nos impôts Sud Radio , RTL er Europe I doivent vivre , sans financement public, donc plus de pub, ce qui ne plait pas aux auditeurs

De la majorité à l'assemblée surtout mais dans les faits oui