Toulouse41000 je pense pas être d’accord avec toi parce que même si une personne hétérosexuelle peut imiter le comportement d’une personne bisexuelle, elle ne va pas pour autant « changer » d’orientation sexuelle de + que le comportement d’une personne bisexuelle n’est pas plus différent qu’une personne hétéro 🤷♀️
@Rairakku No Hana merci, beaucoup de gens ne savent pas faire la différence ... on m'a encore demandé récemment "si tu aime les filles, tu t'identifie comment ? Homo ou bi? " jpp. Une orientation sexuelle n'est pas une identité ! Point final !
Je trouve vraiment que les questions du journaliste sont vraiment pertinentes que ce soit pour ce reportage mais aussi pour les autres de l'Ina, quand on compare ça aujourd'hui avec BFM et ses micro-trottoir qui sont plus de la désinformation qu'autre chose c'est vraiment horrible, j'ai mal à mon journalisme.... Je suis mineur mais j'ai pas peur de dire que le journalisme c'était mieux avant.
@@brumusique5827 Il ressort surtout des choses dont il ne comprends peut-être même pas la signification pour un mineur. Tout le monde critique BFM, cela ne fait pas d'une personne une lumière. Le faire croire par contre oui. Et quand on est un minimum réfléchi, on s'intéresse à tout pour faire le tri des informations avec son propre esprit critique. Toute personne qui critique BFM, ne regarde pas BFM. Sinon on accepte l'erreur et les défauts d'informations et quelque soit la manière de transmettre l'information ou connaître l'avis des gens. Et qui peut se permettre de critiquer le boulot des journalistes quand on n'est pas à leur place et qu'on ne connait aucun tenants ni aboutissants du métier. D'autant plus pour un mineur qui a mon avis n'a pas beaucoup voire jamais travaillé de sa vie. Avec tout le respect que je dois, même aux plus jeunes que moi. C'est juste un commentaire qui suis un consensus cela ne veut pas dire qu'il a raison. Sauf pour ceux qui s'offusquent de tout et de la "marde" ^^
6:12 Est-ce que vous savez que votre maman est bisexuelle ? Heureusement que la réponse est oui car sinon, le journaliste venait de se charger de le lui apprendre !
@@raphaelzachariedeizarra2791 L'homosexualité et la bisexualité existent depuis des siècles et des siècles, voire depuis l'aube de l'humanité ! Alors c'est peut-être à toi d'évoluer...
J’espère qu’il y aura des commentaires constructifs cette fois! J’en ai marre des homophobes qui cliquent sur la vidéo pour pouvoir ensuite insulté dans les commentaires. Vive la bisexualité et joyeuse pride!
J'aimerais parler de la fin de la vidéo ou il dit qu'il avait très envie d'etre une femme et "qu'il en à guéris" Ça me donne envie de voir une vidéo sur les personnes transgenre. Apparemment il voyait cela comme une sorte de maladie ou un problème psychologique. C'est quelque chose qui me tiens vraiment à coeur car j'ai appris il y a 1 ans que je suis lesbienne et depuis je m'interesse beaucoup à la communauté lgbtq+. Aujourd'hui, de plus en plus de personne assume et sont fière d'etre transgenre, certaines sont très connues. Et je trouve qu'on en parle quand même pas assez. Très peux de gens sont informer et ne le respect pas. Si il y a une Archive sur ce sujet ça serai vraiment super.
Il a fait un travail sur soi. Ce qu'aujourd'hui personne ne fait. Ce qui explique que des trans regrettent leur opération des années après. Vous voulez toujours pas voir la vérité en face mais bon, grand bien vous fasse.
Mathilde je pense qu'il dit guéri dans le sens on guérit d'une blessure et non pas d'une maladie,car cet homme (très jeune en fait,22 ans!)a l'air très clair dans ce qu'il dit.
Wow incroyable, je suis bisexuelle et je le sais depuis toujours, ce reportage m'a émue car la façon dont ils voyaient leur sexualité par rapport à maintenant, c'est fouu!! Ils ont dû être trés courageux!!
Excellent reportage.. Le monde a toujours fonctionné comme ça.. Personnellement en tant qu'un hetero de nature et je respecte la religion(je suis musulman) . je ne suis ni contre ni avec.. On se respecte et on vit en harmonie ensemble. Le plus important, c'est l'équilibre de la vie.. Chaque un est libre tant qu'il fait pas mal au autres.
@@dxruma6792 Parce que tout le monde est différent et même en étant musulman (je le suis moi-même, musulmane) on peut se dire que : "Ha bah.. Enfin de compte, les homos, j'm'en fous de leur vie." Et puis, nous pratiquons tous notre religion différemment, il y a plusieurs "sous-catégorie" de toutes les religions !
J'aime bien ce genre de reportages en rapport avec l'orientation sexuelle ou les genres, c'est intéressant de voir comment les personnes en général pensais de ces sujet qui était bien plus tabou cas l'heure d'aujourd'hui.
C'est dingue je suis bisexuelle et moi-même je vois cette sexualité différemment que les bisexuelles de l'époque, est-il possible que nos mentalités influencent sur notre sexualité ?
Premier amour, une femme, le suivant et ça a duré, un homme, puis je suis tombé amoureux d'une femme, et nous sommes toujours mariés, nous nous aimons toujours, je reste pourtant attiré aussi par des hommes, comme depuis toujours, c'est comme ça.
J’ai presque pleuré pour le dernier gars qui dit être « guérit » de l’envie d’être une femme, déjà que la bisexualité n’était pas accepté alors la transidentité…..
J'ai rien en commun avec ces personnes. Je sais pas si c'était juste l'époque, si les témoignages ont été bien choisis ou si c'est comme ça que beaucoup d'autres bisexuel.le se voient mais j'ai plus l'impression d'être face aux clichés que les gens me collent au front quand ils apprennent que je suis bi. Donc à toutes les personnes pas très familiers à la bisexualité, ne vous basez pas exclusivement sur les reportages des médias traditionnels qui essayent de nous peindre une certaine image ! Tout le monde à de différentes experiences et respecter les la vision de chacun c'est bien plus productif que de coller des étiquettes. Une personne bisexuelle c'est : quelqu'un qui éprouve de l'attirence pour les hommes et les femmes, c'est tout.
évidemment, après je pense qu'à cette époque c'était surtout les outisider et les gens assez spéciaux en général qui osaient s'affirmer au vue de la mentalité
@Le Zouzou Tout d'abord la femme à 4:41 renvoit l'image durant son témoignage que c'était une "phase" de sa vie, ce qu'elle dit à 5:40 renforce ça. La sexualité n'est pas un choix, elle ne se change pas. Si cette femme est passée à autre chose et n'a plus ressenti d'attirance pour des femmes depuis, c'est qu'elle était probablement plus confuse que bisexuelle. Ensuite à 6:33 , encore une fois, la sexualité semble être prise à la légère, comme un choix. Ça me touche particulièrement parce que toute ma vie je me suis battue contre les autres pour leur faire comprendre que je n'avais pas choisis d'être qui je suis. Je pense que cette façon de nous voir est très encrée dans la tête de beaucoup de gens. À 8:21 , il y a encore cette idée de choix qui ressort. Le problème avec la sexualité c'est que beaucoup de gens encore aujourd'hui ne comprennent pas son origine et pense que c'est délibéré/volontaire alors que la vérité est bien plus complexe. Je ne compte plus le nombre de fois où j'ai subis les "jugements" (euphémisme) des autres à cause de ça, pourquoi je choisissais pas l'un ou l'autre, c'est contre nature, je dis ça pour attirer l'attention etc. J'aurai dû clarifier tout ça dans mon commentaire mais je ne voulais pas qu'il soit trop long.
@@ooo-ul3bf Bonjour, je souhaiterais ajouter, en complément, qqs éléments à ton commentaire. Dans un premier temps, il faut distinguer la sexualité de l'individu de l'acte sexuel, le premier étant le degré d'attirance d'un individu pour un type ou plusieurs types d'individu, le second étant l'expression à un temps t de sa sexualité.《Petite parenthèse, tu as bien indiqué que l'attirance n'est pas un choix, il est vrai que nous ne la choisissons pas. Prenons par exemple la tristesses (ou la colère, etc.), si on est triste car on a cassé un cadeau le lendemain de son anniversaire ; on peut cacher cette tristesse par une carapace en effaçant l'expression physique, la nervosité ou les pleurs, on peut aussi la rejeter en s'inventant qu'on détestait le cadeau, donc la tristesse résultante, il s'agit dès lors d'un déni, et on peut enfin l'accepter et se sentir triste. Dans les trois cas, la tristesse était là quoiqu'il se passe, et elle n'a pas été volontaire puisque c'est le signal d'une perte d'un élément affectif "le cadeau", au final la tristesse ne peut être modifiée. L'attirance sexuelle ne l'est toute autant. Donc si on est attiré par une femme, un homme, un enfant ou un animal, on l'est, c'est tout. Pour le cas de l'enfant et l'animal, je ne suis pas entrain de cautionner la pédophilie et la zoophilie, car après il rentre en ligne de compte le consentement. Je tiens à rappeler que le consentement, c'est la volonté réciproque entre deux personnes en pleine conscience, c'est dire deux OUI si l'un dit NON, c'est NON. Il faut juste noter que l'attirance pour un enfant ou animal existe, et qu'elle ne peut être attaquée sur ce plan. On se rappelle l'homosexualité qui fut considérée comme une l'anomalie (*est* par certains encore). Notre moral va devoir évoluer vis-à-vis des autres formes de sexualité non-évoquées pour l'heure. Fin parenthèse》Dans cette idée, la sexualité d'une personnes n'est pas définie par son vécu. Si demain un homme qui avait eu toute sa vie des relations avec des femmes, et qu'un beau jour il a une relation avec un homme, on ne peut pas dire qu'il est bisexuel, homosexuel caché... On peut imaginer de nombreux autres scénari. Le seul élément à retenir c'est qu'on ne peut se permettre de définir la sexualité d'une personne, uniquement cette dernière peut le faire "chacun se définit soi-même". Le fait d'étiqueter les personnes, bien souvent avec une connaissance parcellaire, ou du moins, réductrice de leur être véritable, est une mauvaise habitude trop ancré dans nos sociétés. Je voulais terminer sur l'élément suivant, plutôt que de s'intéresser à l'orientation sexuelle, on pourrait s'intéresser à l'épanouissement de sa sexualité et de selles des autres, et ce dire : Est-ce que je me sens bien avec cette personne ? Est-ce que j'ai un manque, un besoin... à équilibrer ? Est-ce que je suis satisfait de mon image ? C'est important d'être fier de soi. Est-ce que mon entourage comprend ma sexualité, voire est-ce que mon entourage me soutient et m'aide quand je suis confus ou malheureux ? Et inversement. Cela va faire un peu vieux slogan mais vivez votre sexualité pleinement ! Je remercie le ou les lecteurs qui ont lu jusqu'ici, tu sais bien que pour un sujet aussi essentiel, il n'est pas possible de le traiter sans prendre du temps.
Je suis pas homo mais je viens de passer un chouette moment a voir ces personnes parler librement de leurs sentiments et de leurs amours, des gens agreable, naturel...et en harmonie avec eux même...! Merci INA, pour la vidéo. 😊✌
Intéressant mais avec l'homme de Beyrouth j'ai trouvé cela ambiguë... Les phrases et mots qu'il a utilisé m'ont fait penser qu'il a peut être subi des viols d'adultes lors de sa jeune enfance... Il dit que lorsqu'il es avec un homme ça lui rappelle l'homme qui le portait lorsqu'il était jeune, qu'il ne se souvient pas exactement qd ça a commencé mais qu'il es sûr que le truc déclencheur à été lorsqu'il avait environ 5ans et qu'un homme l'as touché... J'ai trouvé ça extrêmement bizarre... Vraiment, je me suis posée des questions en écoutant sa version de la bisexualité ⚤ ! Très troublant... 🙄
Merci pour cette vidéo! En tant qu'étudiant en socio, passionné par le genre, la bisexualité est un élément intriguant (on dispose de peu d'études là dessus) donc très intéressant à investiguer o/
@@astro58685 je suis d'accord c'est peu être pas grand chose à tes yeux, mais n'oublie pas ce sont des mots qui sont rentrés dans le dictionnaire, et qui désigne une orientation sexuelle, non pas un effet de mode ou de la nourriture, je n'ai pas aimé la comparaison, merci. Simplement certaines personnes LGBT+ sont discriminer, alors si on pouvait arrêter de comparer leurs identités à du chocolat blanc ça serait sympa.
C'est fous de voir que a l'époque, malgré que la vidéo ait quand même l'intelligence de laisser parler les personnes concernées, il y a toujours le moment un peu "c'est une maladie mentale" même si c'est très léger et nuancer
Peut être que ça vous paraîtra fou mais avant ils ne prenaient pas mal les questions et ils osaient aussi poser des questions. On discute et c'est productif. Ils parlent calmement sans être -condescendant-. C'est ça la vrai ouverture d'esprit.
La première :"C'est pas un homme qui va me donner la tendresse maternelle qui me manque" Le second : "Quand je vois un garçon, je ferai n'importe quoi pour quil me porte comme lorsque j'étais enfant" Je ne suis pas psy, néanmoins je pense que c'est une piste intéressante à explorer...
C'est pas universel à tous les bisexuels ou à tous les homos mais c'est vrai que concernant ces deux témoignages, ça semble cacher réellement quelque chose de plus profond
C'est pas ce qui explique la bisexualité, mais c'est vrai qu'explorer ces aspects pourrait être intéressant, notemment pour leur critères de sélection de partenaire
Abrutissement généralisés des masses pour éviter un avis objectif sur la situation et empêcher des révoltes contre l'ultralibéralisme et le capitalisme à outrance.
@@captainkawaii2758 la bisexualité : pour les hommes et les femmes / pansexualité : hommes, femmes, et personnes qui ne s'identifient pas à un genre en particulier 🖤
C'est un peu cliché tout ça, les témoignages. Je ne me retrouve pas en eux, moi qui suis bisexuel et pansexuel. L'homme en roller parle de l'aspect sexuel de la relation entre homme, je suis comme lui, j'aime le ressenti avec un corps d'homme qui n'a rien à voir avec le ressenti que l'on peut avoir avec une femme. En revanche sur le plan émotionnel et amoureux, homme ou femme, quelle importance, on est amoureux d'une personne pas d'un corps, ou alors si il n'y a que le physique qui compte, la relation n'ira pas bien loin.
ATTENTION le fait d'être transgenre ne se guérit pas, si vous avez envie d'être une femme, c'est tout à fait normal et c'est le cas de plein de gens don't worry
@@baiideka9238 oui et ça ne change pas les gens ça ne sert qu'à les faire rester dans le placard et à les faire rester dans un modèle cisgenre heterocentré je t'invite à te renseigner sur les thérapies de conversion et sur l'impact sur les personnes qui les subissent
Malgré tous les progrès de nos mœurs, et d'une plus grande ouverte d'esprit, j'ai l'impression qu'à l'époque le sujet gênait moins ; qu'on en parlait mieux et plus librement ! C'est du moins le sentiment que j'ai en regardant les témoignages.
@Le Zouzou Je pense surtout que la société de l'époque n'a pas hésité à lui faire comprendre qu'il s'agit d'une maladie, alors il s'en est persuadé... C'est plutôt triste je trouve.
@@clips_a_la_menthe Je plussois. J'ai même cru déceler un peu d'ironie quant a son choix de mot 😊 (J'entend par là, utiliser le verbe "guérir" comme une expression hyperbolique afin de lui enlever sa signification première. Je sais pas si c'est tres clair, vous m'avez compris xD )
Je pense que sest de la censure vu qu'il pronce des nom de l'organe reproducteur masculin et a la base sa passe à tv de 1985 de telles mot pourrait choquer une partie du public et de investisseurs qui se résumerait a une perte de revenu.
Chacun vit sa sexualité comme il l'entend,ou comme il peut dans un un monde et des sociétés qui nous imposent des règles morales insoutenables pour ceux qui ne sont pas dans la norme.
Moi j'avais 7 ans et je dormais entre 2 cousins bretons par alliance et ils m'ont caresse mes fesses et le j'ai senti que du bonheur oh oui trop bien, 🇮🇹🇮🇹🎶🎶💪
Je trouve que les questions que pose le journaliste ont quelque chose de très intrusif, au temps de maintenant je trouverais ça très gênant de poser certaines questions, mais à l'époque ils répondaient avec beaucoup d'audace, sans gêne ou rien, alors que moi devant mon écran j'étais comme "mais ça doit être gênant olala" :')
Malgré les airs et promesses de progrès de notre temps, le puritanisme reste présent. Je me garderais bien de faire un constat en bien ou en mal ou de tirer des conclusions du haut de mes 32 années... me souviens petit, la plage topless pour les femmes n'emmoeuvait pas grand monde, en bien ou en mal, ou si peu. Je ne sais pas ce qu'il en est aujourd'hui, je ne vais plus à la plage. Bien sûr, ne pas faire d'exemple une généralité. Ce que je viens de raconter ne vaut que pour les plages que j'ai fréquenté gamin, issu d'un tel milieu social, etc etc.
J'essaie vraiment de mettre mes jugements de côté, les gens sont comme ils sont, mais c dure pcq je sais que les préjugés negatifs sur les bi s'appuient sur des témoignages comme ça. Jpense que mes parents ont grandi ac cette image des bi mais cette image ne me colle pas. Ducoup utiliser ce label se serait tendre le bâton pr se faire battre. C' est con de comprendre qu'on rentre pas ds la boite "hetero" mais de ne pas se sentir bien non plus dans la boite "bi".
Le père et son fils à la fin c'est moi ou ils semblent poly en plus ? Ou ça leur paraît simplement normal à l'époque d'avoir plusieurs partenaires en même temps ?