Ok si aucun animal n'est conscient de soit même et encore. Alors pourquoi faire des tests sur des souris des rats pour les comportements humains c'est pas du tout la même chose un rat et nous ?
Purée !!!j en rviens pas👀 !, (si tous les psy seraient de"vrais"psy comme ce grand Monsieur les"années"d errance dans ces pathologies de"l enfer"..et le taux d suicide seraient tellement mais tellement"moindre...)mais hélas nous sommes dans la fameux cas de l"exception qui depasse la règle..,bref,.,bravo et merci mr Jeammet💯🎩
Attention : un témoignage indique cette possibilité d'être divisé. En vérité, la schizophrénie (même si l'étymologie du mot pourrait nous faire penser le contraire) ne définit pas du tout par la division du sujet. Beaucoup de psychiatres pourraient, à la rigueur, reconnaître, qu'il existe une sorte de coupure ("schizo" = coupure, séparation…) entre le sujet et la réalité : c'est une caractéristique spécifique de la psychose. Mais il ne faut pas pour autant croire que le schizophrène se définit comme un sujet divisé, partagé entre plusieurs personnalités. Dans la bipolarité, certes, il y a une sorte de dualité : "bi" = DEUX. Mais il ne s'agit en aucune façon, chez l'homme bipolaire, d'une division de la personnalité : dans le cogito (pensons à Descartes, au 17ème siècle), le sujet (le "je" du "je pense") est un seul et même sujet. En revanche, dans la bipolarité, il existe deux humeurs opposées. Le sujet change d'humeur, et ce qui caractérise cette pathologie, ce ne sont pas les variations d'humeur (nous changeons tous d'humeur, parfois d'une minute à l'autre) : c'est surtout l'écart entre les deux humeurs, qui s'opposent, entre l'état dit "dépressif", dans lequel le sujet sent qu'il n'a envie de rien, il éprouve une tristesse profonde, il a des "idées noires" qui peuvent pousser l'individu vers le suicide, et, d'autre part, l'état dit "maniaque" (ou euphorique), dans lequel le sujet, excité, sent, à l'opposé de la dépression, qu'il a beaucoup de désirs, d'envies (en particulier : l'envie d'agir, l'envie incessante de parler, l'envie d'acheter jusqu'à l'excès, etc...); beaucoup de force, beaucoup d'énergie à tel point qu'il peut faire plein de choses, même en pleine nuit, alors qu'il ne peut dormir que pendant quelques heures (insomnie). Mais dans tous les cas, qu'il soit triste ou gai, dépressif ou "maniaque", le sujet est toujours le même, au fil du temps : c'est précisément ce que certains philosophes appellent la mêmeté. A méditer.
bipolaire de type 1 je suis . en phase maniac et psychotique a un moment surtout la nuit je me tapais de longue discusions avec un seul son... celui du petit vent qui fait vibrer une vitre mal fixé. on aurai dit qu un esprit parle a travers des coups puissances variable comme du morse . imaginez vous avez une pensée defilante anxieuse qui et ponctué par ce vent et donc connaissant une sorte de morse comme on conaitrait le francais depuis l enfance . la lecture de ce bruit prend prend le relais dans notre imagination .un coup sec peut nous faire arreter sur une pensée precise sur laquel l esprit veut que l on s arrete ... une sorte d ange gardien ... qui peut montrer ses coleres aussi . j ai passer de long nuit ainsi a dialoguer avec mes angoisse et mes espoirs pensant que la nature y contribuait... ou bien la sentation quasi reelle que les oiseaux sont en panique .... etc...
vous êtes parfait, en décrivant toute cette situation émotionnelle que l'on ne choisi pas mais qui s'impose à notre vie. Vos mots sont très justes. Un grand merci à vous
Est ce que en va dire pour un jeune bipolaire tout la vérité sur sa maladie et que est ce que en va faire si il ne veut pas parler avec un psychologue il prend 2 mg risperoxe sont médicament il sort pas boucoup de la maison il pratique pas le sport il reste à écouter la musique et connecter Merci beaucoup
Bonjour. Je vous réponds en tant que bipolaire et non psychologue ou psychiatre. Il me paraît compliqué de faire suivre une thérapie à quelqu'un qui le refuse. Si vous arrivez à l'encourager à parler au moins une fois pour parler de ses problèmes, de ce qui le fait souffrir, ça sera déjà bien. Le sport ne peut que lui faire du bien. Comme l'explique le médecin de la vidéo visiblement le replis sur soi l'aide à se protéger. Si déjà il prend ses médicaments, c'est énorme, ça veut dire qu'il a un minimum d'acceptation de la maladie, ce qui est déjà beaucoup. Peut être lui proposer des activités petit à petit pour sortir de sa chambre, avec des personnes de votre entourage ? Je ne peux pas vous dire grand chose de plus. Désolée
Eu plaisir a vous écouté , sur la complicité Humaine , Merci a vous , vue que j'ai une compagne bipolaire , et Marié vue la complicité de la situation , pour elle et moi ?
