La Kabylie a perdu un très grand chanteur comme Ait Meslayene, je l'avais connu dans son bar à Montreuil en Août 1982, il était d'une gentillesse et simplicité unique dans son genre, j'avais chanté et m'avait accompagné au derbouca, et cette soirée était pleine de stars comme Youcef Abdjaoui, Ait Rahmane El Hasnaoui, Arezki N'Ali, Hamidouche, Azouaou Belkacem, et etc... En effet je ne l'oublierai jamais et c'était grace à mon ami et cousin Smaïl Galou que nous avions rejoint ce groupe de stars à Montreuil. Ait Mesleyene nous a bercé avec ses très belles chansons qui nous ont fait rire et pleurer, et qui resteront certainement gravées dans nos coeurs jusqu'à l'éternité. Un très grand chanteur kabyle qui manquera à l'appel à chaque fois, mais il sera là présent avec ses très belles chansons pour nous offrire le meilleur de son riche répértoire musical de la chanson kabyle. Ait Meslayene repose en paix.
Win irefden tamegehelt iqel isarsitt am win ivran I tmetout yughal yughitt 😢😢😢 je trouve la quelqun qu'est encore écoute ait meslayene ❤ ma kabylie avant tout ⵣⵣ🔰💪✌️
Quel talent ! At Ig Ugellid Ameqwran di Tgemmi ynes, Ifk ssber i wid aazizen fell-as ! Un poète digne des plus grands ! Sa voix et son franc-parler ainsi que son courage nous manquent... Akal n Lejdud ad ihader udem-is azenfan. Amkan-is zdat n Dda Slimane Azem yakw d-izmawen n Tmawya.
c'est suprématie de don intelligence et la prevoyence ..il a tout vu à l'avance .. eh oui dommage il s'est tu à jamais ce grand monsieur.. atheyerheme rebi...😢
Ça resume tout ce que je ressens et tout ce que mes parents n'ont pas vu arriver pour notre mere patrie ,eux qui ont connu l'amertume et les souffrances durant la révolution .....,
Un grand artiste j'ai tjs aime ses chansons parmi les grand qui font revielle les dormeurs en Kabylie j'ai une chance de connaître son fils Mohamed que je lui passe un salut d un kabyle n tuvirest (Bouira) sa fait un temps j'ai pas nouvelles d lui
Depuis que j' ai entendu sa première chanson, je ne le souviens d'ailleurs plus laquelle, je l'ai adopté et je me souviens que les mauvaises langues disaient de lui qu'un simple "copier coller" par rapport à Lounis Ait Menguellat. Il y avait de la place pour les 2 mais comme ça gratuitement nous étiquettons nos chanteurs et une fois partie nous pleurons sa disparition et reconnaissons que .....c'était un grand !! Addine rebi !
Avec tout les respect que je dois pour ait meslayene je suis vraiment désolé d'avoir glorifier amirouche pour le nif, malheureusement c'est lui quia exterminé ses frères étudiants et Mbarek Ait Menguellet
Amirouche yenatid s uqmuc is tagi d lgira atas ay ruhen di leghlad surtt f ilmezyen ni deg akfadou .....😢ula d matoub yecna flasn lukan ad yentaq ukfadu sehra att yeč inijel muten war3ad sentečur. ... ah la kabylie a une histooire limer nes3a tamurt
Traduction mélodique de : Ajenoui (Le coutelas) Un fusil, qui le prend Ensuite, le reposant Tel celui qui divorce d'une femme Et épouse de nouveau la même femme Nous, les Kabyles, on a Une coutume, bonne Et, pas bonne On se reconnaît seulement Dans le désarroi Chacun comment la nouant Et l'autre, la gardant L'autre, sur la chaise, l'édifiant Et l'allumant Un autre la construisant Sur l'argent Et, la surveillant Les poches, les remplissant Qui vient, l'emportant Tant que la fumée restant Le feu demeurant Ils reste des ennuis à l'avenir Qui, le sommeil, vont adoucir Les poches se remplissent, et Endormis, on nous a laissés Ah, ton temps, s’il pouvait revenir, ô coutela C’est jusqu’à l’os que tous, on t’enfoncera Ah, si Amirouche revenir voir, il pouvait Ahmed Oumeri … Villages, dignité enlevée Notre pays, pour le brave, muée en laurier* Lorsqu’il parle, nous le laissons esseul Ils sont tous morts, les hommes chez qui on se plaignait Et nous, ni morts, ni vivants, nous sommes restés Tel un figuier de sentier Tout passager peut cueillir, se régaler Notre blessure qui guérissait, rechutant Notre bride usée, et l'arbitraire abusant Notre sang, comme l'eau d'une outre, est si froid On dégringole, et où tenir, pas d'endroit Notre honneur, à la rigole, il est lavé Et, en chemin, de l'opprobre, accompagné Où sont ceux qui, la parole, la ravivant Et qui recherchent le droit pour le déterrer Où sont ceux qui refusaient l'iniquité Et ne craignaient l'arbitraire à rencontrer Comme si, nous sommes une progéniture De poubelle ou des cheveux dans les ordures Ce jour, moins de cran que les veuves, ayant On est frappés, et pas encore, terminé. *Laurier rose N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.