Bravo cher André Pochon, si vous saviez comment vous avez permis à des petits trégorois de résister aux inepties qu'ils ont apprises au moment de monter à Rennes pour devenir agronomes. On nous disait que les paysans vendaient des externalités, c'est à dire des paysages. Un agriculteur met fin à ses jours tous les jours en France pour vendre des externalités. Messieurs les agronomes, nous préférons vendre nos choux fleurs et nos artichauts. Merci Hervé. Le journal d'un agrologue, la voix de l'agronomie dissidente tous les vendredi 12h sur radio Arverne, sur internet et sur youtube
