Un conseil, rendez-vous sur le site de Texas instruments. Le fabricant a de nombreux power switch tout intégrés vraiment intéressants en terme de consommation
@@EricPeronnin Merci du conseil! Je cherche depuis quelques jours des infos sur ce que je peux mettre en place sur mon circuit pour remplacer un toggle switch. Quand on a du courant important a faire passer (>2A), ils commencent à prendre de la place ces boutons. Je pense qu'un soft latch power switch est plutôt intéressant! Votre vidéo était vraiment instructive! Merci!
Merci Eric pour ces vidéos ,j'utilise ce circuit depuis quelques années pour filmer avec des caissons étanches sous la mer Le poussoir est remplacé par un reed (commander par un aimant externe).J'ai également un autre reed pour dire au micro de couper l'auto maintient.On peut ainsi commander le start stop en externe du caisson et rester étanche pour ne pas exposer l'électronique a l'air salin .Ce système est très fiable .Je suis abonné et apprécie énormément vos vidéo.
Toujours aussi agréable de regarder vos vidéos, il est clair que les mosfets ont remplacé les relais dans mes circuits. La meilleure résistance de contact de relais obtenu est sur les relais omron dont je mets les quatre séries de contacts en parallèle, j'obtiens avec cette bidouille 4 mOhms de résistance de contact ce qui pour un relais est déjà très peu, la moyenne se situant autours des 50 / 100 mOhms. Avec les meilleurs mosfets je suis à 1,8 mOhms pour trois fois moins cher il n'y a donc pas photo. En plus pour le relais la résistance de contact de dégrade dans le temps si on ne protège pas des surtensions d'ouverture. En revanche j'ai grillé récemment un MOSFET en l'utilisant dans un foldback d'alimentation en testant le RDSon selon le VGS avec un ampèremètre... Il ne faut pas jouer sous le VGSthresh car le RDSon n'est plus du tout aussi bon et comme ma charge était de 5 A .... Aïe 😁 paix à son âme de mosfet. Bon confinement à tous
C'est vrai que les mosfets ont de sacrés atouts. Reste la question des courants de fuite dans le cas d'une alimentation par batterie. On est de toutes façons sous le µA dans le pire des cas. Pas négligeable si on compare cela au courant de veille de certains microcontrôleurs. Ma simulation sur Orcad ne m'a pas bien convaincu alors je ne me suis pas appuyé dessus pour aborder ce sujet.
cela dépasse aussi le cadre pédagogique de la vidéo. il y a tellement a en dire ... On peut dire aussi que le gate est une capa dont il vaut mieu limiter le courant de départ par une résistance, on peut parler des drivers de mosfets etc ... des différentes utilisations aussi par exemple en régime sature soit en courant constant avec variation de vgs qui varie le courant DS etc ... c'est très large le sujet des mosfet et vos vidéos sont bien faites pour s'y interresser. j'aime bien les igbt aussi
Cela m'a donné envie de remettre le nez dedans donc j'ai ressorti ma charge électronique, l'oscilloscope et l'alimentation de labo. Ayant une tournée d' IRFP044N j'ai regardé le RDSon max annoncé et obtiens 15mOhms à VGS 10Vdc et 28 mOhms à VGS 5Vdc. On voit bien l'utilité avec un microcontrôleur de driver avec un transistor et une résistance de pull-up la grille du MOSFET pour avoir un VGS de 10 Vdc mais du coup cela ralentis le temps de réaction du mosfet. Ou alors utilser sur le collecteur du driver une zener et une résistance cote collecteur. Sans résistance sur le gate j'obtiens un temps de réponse du MOSFET de 0,012 uSec avec un peu d'oscillation. Avec une résistance de 100 Ohms cela monte à 0,277 uSec, l'oscillation a pratiquement disparu et avec une résistance de 1k cela monte à 2 uSec la résistance faisant un réseau RC avec la capacité de grille. Lol tout ceci n'intéresse que moi mais vos vidéos m'ont donné envie d'approfondir la chose. J'avais acheté des drivers de mosfet mais je ne les ai pas testé car c'est tout petit et ne peut être monté sur plaque d'expérimentation. Il faudra tout de même que je les essaye.
Les considérations en dynamique sont très intéressantes. La capacité de la source (uC) à fournir un courant impulsionnel suffisant à la grille est aussi un aspect important. Le public ciblé par mes vidéos m'impose de faire des concessions sur les aspects que j'aborde et ce d'autant plus qu'une vidéo pointue peut me prendre autant de temps que 4 ou 5 vidéos abordables. Donc je remise tout ça à plus tard, lorsque j'aurai couvert l'essentiel des bases de l'électronique. Il reste du travail.
Bonjour Eric je pense qu'on peut ajouter aussi une autre mosfet Nmos avec grille lié au sortie de pmos et drain avec resistance serie 100 K par exemple lié à l'entreé d'alimentation , puis on place le Switch au niveau de grille de deux Nmos et avec ce design on peut realiser un soft latch automatique (standalone) sans utilier le Vout de ųC. Merci de Noter qu'on peut aussi ajouter une capacité lié au GND au niveau de grille de la deuxieme Nmos pour controler aussi le temps de switch ON/OFF.
Vidéo très bien expliquée (bravo !...), mais microcontrôleur ne servant strictement à rien !! Il suffit juste de polariser convenablement le second MOSFET (Q2) de manière permanente entre la sortie (de puissance) et sa grille. Dans ces conditions, la fonction d'automaintien (et non d'auto-alimentation) est conservée. Le seul intérêt du microcontrôleur est de gérer la mise en arrêt automatique au bout d'un certain temps d'inutilisation. C'est vraiment du luxe pour ce genre d'application ! Pour gérer la mise en arrêt automatique (au bout d'un certain temps d'inutilisation), une temporisation rėarmable, avec un HEF4536, par exemple, suffit amplement. Ça se trouve partout, et tout comme la série 4000 des autres circuits intégrés, c'est vendu depuis plusieurs décennies, ça coute moins cher qu'un microcontrôleur (dont il faut se faire chier à programmer), et c'est (surtout) beaucoup plus fiable ! Alors que chaque année, plusieurs types de nouveaux microcontrôleurs arrivent sur le marché, rendant obsolète la précédente génération ! C'est vraiment du grand n'importe quoi, visant à pousser à la surconsommation !!
Ca viendra mais pas dans l'immédiat. Et cela dépend aussi de vos attentes. Si c'est pour faire de l'analyse de signaux classiques comme des carrés, triangles ... j'aimerais prendre le temps d'une vidéo pour illustrer la décomposition en série de Fourier. Si c'est pour de l'analyse ayant trait aux communications numériques, ça ne viendra pas de si tôt car j'ai moi aussi à me former un peu pour offrir un discours assez clair. D'une façon générale, je mets l'accent sur la pédagogie et souhaite que tout soit compréhensible dans mes vidéos sans avoir de grandes connaissances en mathématiques par exemple. Et si des outils mathématiques sont nécessaires, il me faut les introduire pour des béotiens.
@@EricPeronnin . En fait ; je suis prof de physique collège-lycée. J ai fabriqué un interféromètre et traite le signal par démodulation synchrone dans le cadre d un projet personnel. Mais j ai peur d'échouer sur l échantillonnage de fin . Donc j ai vu que certain traitent cette échantillonnage avec des fpga, mais je suis très novice en fpga , j accuse une seule et unique expérience!!! Je vous demandais ca , car vous sembler maitriser le fpga !! Après c'est comme tout , il y a la pédagogie et puis il y a la passion de l autre coté.
Merci Eric Pour ces exemples, est ce que vous pourriez nous faire une explication d'un montage qui fournit l'alimentation à un microcontrôleur par deux sources (alimentation secteur 5V et alimentation par batterie de secoure 3.7V) en se basant sur des transistors MOSFET.
Vous pouvez aller voir le schématique BRD4166A de chez Silabs qui permet de switcher entre une batterie 2*AA et un USB, mais je pense que ce système fonctionne aussi sur du 3.7V