I've been a lover of classical music for 40 years, and, until they played his Symphony in D on the radio today, I had never even HEARD of Arriaga--and THAT is a crime! Maravilloso!
En verdad, dan ganas de llorar en sólo pensar el rendimiento que este compositor vasco pudo haber dado si hubiese vivido, tan siquiera unos diez años más. Habría estado en directa competencia con Mozart, Schubert y hasta con el mismo Beethoven. Arriaga nos dio apenas a probar un solo sorbo, pero como todo lo exquisito, nos dejó el paladar añorando más y padeciendo de esa falta. Gracias, Juan Crisóstomo, por lo que nos has dejado. Gracias.
It's a tragic lost to Spain, the greatest Classic Maestro of his time, who died at the age of 19...... Although, I enjoy many of Spain's great classical music maestros, by far, Juan is my favorite, he is truly the "Spanish Mozart'.
Wow This I just Amazing music, so sad that we never got to hear him develop and see his true potential. other then that, Today Is the first time Ive heard of Juan Crisóstomo Arriaga, and its such a coincidence That its his birthday. :D And the cool part is that he shares a birthday with our beloved Amadeus Mozart. Im so happy I was checking out symphonies today. So happy birthday Arriaga and Mozart :)
Arriaga also wrote 3 string quartets which are equally highly regarded. What a loss. Another fine composer who died very young before he made a real name for himself is Julian Reubke - see his powerful organ "Sonata on Psalm 94".
un capo de los grandes el, vasco Arriaga. qué fortuna nos da la tecnología que la ignota obra de este grande, ahora se conozca en todo el mundo, empeando por mi. gracias!
Found this thanks to a piece on NPR radio. OMG, what a great composer!!!! Up to now I used to think Rodrigo was Spain's best contribution to classical, now I am seriously reconsidering. What beautiful music!!!! Been listening to this over and over. One thing tho. I think a comparison to Mozart based on musical style is probably not as fitting as say, to early Beethoven, adding some tinges of Schubert or even Schumann.
Agreed. I don't think the comparison to Mozart has anything to do with music. More of the life span, untimely death, and they actually share the same birthday.
Por temperamento y sensibilidad esta obra esta mas cerca de Schubert, cuya música Arriaga probablemente no conocía. En su exiguo catálogo destacan también sus cuartetos de cuerda y la obertura de la opera los esclavos felices.
Non direi "Piccolo Mozart", dato che nasce circa 15 anni dopo la morte del sommo Wolfgang. Pur vivendo solo venti anni A. riesce a impadronirsi pienamente del linguaggio romantico o preromantico.
Ludwing con Cöchel,cuando Mozart tenía 16 años,realizó una recopilación sobre su creación musical.Sin menospreciar ni despojar a nadie,de méritos,no hay,ni por asomo,posibilidad de una comparación,entre Arriaga y Mozart.
Curioso...Não há que comparar, por maior que seja a tentação. Arriaga é um nome a ter em mente quando se faz o mapa da Música Clássica nos princípios ou meados de 1700s - veja-se o caso de Pleyel por exemplo. Mozart foi o grande marco da época mas não foi único (e não, não estou a pensar em Salieri) - Michael Haydn, 3 a 4 grandes compositores checos, Johann Christian Bach, etc. Se fizermos isso, maior o valor de Mozart? Sim. Mas fica-se com um panorama mais completo de cerca de 60 anos de jm século notável.
Biographie Cinquante ans jour pour jour après la naissance de Johannes Chrysostomus Wolfgangus Theophilus Mozart - aussi appelé Wolfgang Amadeus Mozart - (27 janvier 1756 à 20 heures à Salzbourg), Juan Simón de Arriaga, organiste de renom, souhaite donner à son fils l'équivalent espagnol des deux premiers prénoms de Mozart, ce qui le fera appeler le Mozart espagnol. Jeune garçon, Juan Crisóstomo participe aux activités de l'Académia Filarmónica de Bilbao. À neuf ans, il compose un quatuor à cordes dont il tient le second violon. À 11 ans, il écrit une partition et un mouvement - Ensayo de Octet - essai d'octuor sous-titre Nada y mucho pour l'effectif extraordinaire et probablement unique de quatuors à cordes, contrebasse, guitare, trompette et piano. Il dédie cette œuvre à son conseiller, José Luis de Torres et à sa fille Luisa. En 1818, il écrit une ouverture pour deux violons, alto, contrebasse, flûte, deux clarinettes et deux trompettes et dédie son premier numéro d'opus à l'Académia. Les trois années suivantes, il compose un opéra Los esclavos felices (Les esclaves heureux) et deux recueils de variations pour quatuors à cordes, le second (opus 22) sur un thème tzigane hongrois. Son père décide d'envoyer son fils au Conservatoire de Paris. Il y reçoit l'enseignement de Pierre Baillot pour le violon et de François-Joseph Fétis pour l'harmonie et le contrepoint. En 1823, il est nommé assistant de Fétis dans les classes d'harmonie et de composition. C'est ce même Fétis, célèbre académicien et compositeur belge qui nota le peu que l'on sait du séjour du jeune compositeur à Paris sinon qu'il est brillant dans toutes ses études et activités musicales et qu'il est possédé par un désir effréné de composer. Durant son séjour à Paris, il compose des œuvres dramatiques, quelques pièces liturgiques dont une fugue à huit voix sur Et vitam venturi dont la partition est perdue et que Luigi Cherubini, directeur du Conservatoire, considère en 1822 comme un chef-d'œuvre. Il écrit également une étonnante symphonie en ré mineur dont l'argument principal est la tonique mineure et trois quatuors à cordes qui font preuve d'une influence schubertienne (ré mineur - la majeur - mi bémol majeur) et publiés à Paris en 1824 et porteurs d'une dédicace au père du compositeur ainsi qu'une scène biblique, Agar. Monument de Francisco Durrio à Bilbao. Le 13 août 1933, un monument commémoratif par Francisco Durrio est inauguré à Bilbao et une Commission permanente est constituée pour la publication de ses œuvres (partition piano-chant de son opéra et grandes partitions de sa symphonie).
Un poco salida de formas tu observación, queriendo decir que se hubieran podido utilizar otras palabras expresando lo mismo de forma más educada, sin embargo, estoy de acuerdo. Son una lástima perdidas de tan grandes hombres. Talentos que pudieron aportar tanto mas.
It was brought up to Handel that he had pinched the opening aria of his opera Xerxes from the same aria in Bononcini's opera Serse. Handel: "Ah, yes, but what did he do with it?" Composers routinely pinch each other's stuff and can't help but be influenced by their contemporaries. The notion that to be original, it has to be completely different from anything else is the cult of originalism - originality for its own sake, now commonly achieved by omitting some element of music - tonality, rhythm, melody, harmony ... The ultimate is John Cage's 4'11", which leaves out everything.