0:55 Allegro 20:30 Adagio un poco mosso - "attaca" ( ce qui signifie qu’il passe au IIIème mouvement sans interruption ) 27:19 Rondo Allegro ma non troppo
Mon père m'a introduit ce merveil en cassette dans notre voiture quand j'étais très jeune.Je l'appris "par coeur et par oreille" à cette époque. Comme cadeau pour l'anniversaires des noces (50 ans) de mes parents en 2005, j'ai enregistré le dernier mouvement (avec un deuxième pianiste/collègue comme "orchestre") de ce concerto sur un disque audionumérique. C'étais la chose la plus importante de ma vie musicale. Je viens de découvrir Bertrand Chamayou il y a quelques semaines. Quel talent! Il joue Ravel comme un ange.
Wunderschöne und kultivierte Aufführung dieses ewigen Konzerts mit anmutigem doch gut artikuliertem Klang des Soloklaviers und perfekt entsprechenden Tönen anderer Instrumente. Der geniale Pianist kontrolliert sein Instrumente mit der höchsten Technik und der angeborenen Lyrik. Der intelligente Maestro unterstützt ihn im gut phrasierten Tempo und mit sorgfältig kontrollierter Dynamik. Echt fantastisch!
This is simply the most amazing rendition of this stunning piece. You can see the satisfaction with that huge grin when he has finished. I could listen to this daily. Thank you @Bertrand Chamayou
Indiscutablement les meilleures 38 minutes de bonheur de ma soirée ! Quel génie ! Et dire qu'il ne l'a jamais entendu autrement que dans sa tête ! En tous cas, merci et bravo pour cette interprétation magistrale !
Magnifique interprétation d un sommet de l histoire de la musique. Le second mouvement représente , pour moi, l interprétation de la beauté ultime. Merci
Ich bin wie verliebt mit diesem Music. Vor eine Woche erstmal gehört, seitdem für immer.danke sehr:) Beethoven 5-tenoch nie besser. Am Klavier Bertrand, Orchestra mit dem lieben Dirigent. So viel Liebe, Feinheit, Harmonie , sie sollen mehrmals zusammen spielen!
Le surnom du Concerto n°5, « L'Empereur » sera conservé par l'éditeur anglais, alors qu'il est dédié en réalité au frère de l'empereur d'Autriche, l'archiduc Rodophe. Retrouvez les meilleures anecdotes de la musique classique, dessinées et rassemblées par Christian Morin, dans Notes Légères (Editions First).
Il a su retranscrire la majesté de cette oeuvre en hommage a Napoléon. Quand je ferme les yeux j'ai l'impression que rien ne peut m'atteindre a quel point je suis intouchable. Superbe interprétation et très inspiré
C'est bien pour Napoléon Bonaparte qu'il a écrit ce Concerto. Au début, certes, car il avait de l'admiration pour cet homme. Mais ensuite, en se retrouvant sous les obus à Vienne, Beethoven n'a plus du tout eu cette fascination pour Napoléon. Donc, il n'a jamais précisé pour qui c'était... mais un ami historien passionné par les 2 hommes, après maintes recherches, m'a bien certifié qu'au départ c'était écrit pour Napoléon.
Mon meilleur ami qui est issu de l'immigration et qui vient d'un milieu social pauvre, et qui aime le Rock et le Punk, aime 2 oeuvres qu'il met au-dessus de tout : "The Sinnerman" de Nina Simone... et ce sublime "Concerto pour l'Empereur"... Perso, pour moi Beethoven est le plus grand... ❤
HOW HOW HOW can we change this RIDICULOUS practice of no applause between movements?! There is no other musical situation like this, is there? In opera, we applaud after famous arias. I've seen ballet where the ballerina execute a thousand en pointe movements and gets applauded about halfway thru (tho that was in Cuba, so I guess there's some cultural difference). So here we have a magnificent first movement that finished boldly, and then... nothing. It's unnatural and it wasn't the way things were done back in Beethoven's time! I wish influential conductors would put an end to this practice
I'm going to explain in french because my English level is very bad. C'est la convention de ne pas applaudir entre les mouvements. Peu de personnes le savent mais normalement il faut applaudir seulement à la fin du morceau. A mon avis c'est surtout pour que les musiciens ne se déconcentrent pas.
@@p.r.5421 Mais c'était pas toujours le cas. Aux jours du 19e siècle, le public applaudissaient souvent entre les différents mouvements de la musique. En plus, c'est absurde de supprimer les émotions fortes que vive le publique quand ils viennent d'écouter une pièce magnifique; par example, la fin du premier mouvement du concerto #1 de Brahms.Cette musique--tellement magnifique-- exige que l'on réagit, mais cette absurde "loi du concert" nous le défend. Et pourquoi, alors? Notez bien que ce coutume n'existe pas pour l'opéra, où on crie "Bravo!" à la fin d'un aire émotionnel. Au ballet, si on voit un danseur ou une ballerina or les deux danser comme des anges, on applaudit à la fin de la danse, sans attendre la fin du performance entier. Alors, pourquoi ce règlement pour les concerts d'orchestra ou de piano?
@@matmm75006 Le respect n'est pas obligatoire tout simplement quand une tradition a existé pour un certain temps. Cette "tradition" dont vous parlez était tout nouvelle à un certain point au passé; Aux jours de Beethoven, on applaudissait entre les mouvement d'une symphonie, par example. C'est une réponse tout-a-fait naturelle. Pourquoi la supprimer à cause de la "tradition"?
@@erichetherington9314 Et bien si cela est devenue une tradition c'est peut-être pour une raison. Ne pas applaudir pendant les mouvements pour ne pas déranger l'interprète ou l'interprétation ne paraît pas absurde, mais plutôt cohérent.
Une banalite, Mais lorsque l'orchestre est habille en queue de pie je trouve que pour le chef d'orchestre et le soliste de ne pas etre habille formellement un marque de respect.
Quelle mauvaise interprétation, il n'y a rien d'intéressant, trop technique et pas assez émotionnel; écoutez celle de Bernstein avec Zimerman et vous verrez la différence. Cet orchestre de Radio France déçoit encore, comme souvent.
Haranguer : Adresser la parole à des personnes assemblées, d'une manière solennelle, pompeuse ou insistante, dans une intention déterminée : Haranguer des manifestants pour les inciter à l'action. Je ne connaissais pas ce mot. MERCI !!! PS; Peut on réelement parler de ce therme sachant que les violons rattrape tantôt la note du piano en simultané est non après ou avant? Après c'est une liaison je suppose. Mais on entend parfaitement l'imperial dans l'ampleur que prend le ton sauf dans les moments tendre. Le faite qu'il y ai plein de monté envolé ça me donne l'impression qu'il y a un peu de piaillerie. Et A d'autre plus un tantinet aggacé. Un peu comme quelqu'un qui tape du pied. Ensuite deuxième partie. On débute avec une accalmie fleurissante et un soupçons de gloire. Interrogative dans la flûte. Un songe au piano. Mais je le trouve bien romantique pour une armée.. On sent pas le désastre quoi. 24:30 stratège dans une marche solitaire peut être une introspection? 26:46 profondeur de chant dans sa vision. Ensuite troisième partie. Une avancée? Chevauché fantastique. Le piano guide parfaitement la "troupe" avec une discussion et repercution des ordres par les bois. Le thème est repris sans accord pour annoncer la defaite. Ou le déserteur? La pagaille la course peut être mais a pied. 29:48 je dirais un moment de hantise. Qui annonce le assombrit. Et 30:50 l'espoir. Changement du coup. 31:22 le glas annonciateur final. VAILLANT tout de même. Avec cet reprise de tout le corps. Après il part dans un autre sens au niveau du thème principale peut être se ravise t'il? Après on comprend vite qu'il est tétu. Un peu bourrique. Et après c'est le bois qui propose la mélodie. Donc on va peut être dire qu'il y a une faille? Mais que serai ce un chef qui n'écoute pas ses subalternes. Après je me trompe peut être. 18:08
C'est mou rien que le Allegro manque d'allégresse , je conseille à ce chef d'orchestre une perfusion de café .... c'est du Beethoven pas du Mozart ... passez votre chemin ....seul plaisir, le soliste au piano qui a malheureusement dû s'adapter à la timidité de l'orchestre
Trop rapide! Pas assez de feeling! On en oublie que Beethov exprime toute sa colère, son désarroi, sa déception, voire sa peine à l'égard d'un Napoleon 1er qui devint un tyran après avoir servi la République quand il fut Bonaparte (Symphonie Héroïque). Concert très décevant et trop technique, pas d'âme. La démonstration de virtuosité du pianiste ne suffit pas. Je dirais même, ça gâche beaucoup. Adagio "massacré", un scandale! 😡 Bref, dégueu!
Je suis d'accord avec vous c'est une mauvaise interprétation, trop technique et pas assez émotionnel; écoutez celle de Bernstein avec Zimerman et vous verrez la différence. Cet orchestre de Radio France déçoit encore, comme souvent.
