surpris par ce constat sur les deux premières heures alors qu'il y a plein de moments ou la photographie respire des influences et siet au récit, respire, tout comme la mise en scène se renouvelle parfois, même si c'est subtil, il va y avoir une manière d'appuyer une scène, une modulation qui rendent le tout, très organique
Votre critique a commencé par m'inquiéter mais j'y ai puisé malgré tout beaucoup de positif. Quant à Scorsese en Père Castor, pour avoir vu et revu son "voyage à travers le cinéma américain", je trouve le parallèle bien trouvé !