"Cerveau musical" avec Isabelle Peretz 

Je confirme : l'oreille absolue est une plaie... autant en tant que violoniste elle m'a servie... ensuite, quand j'ai changé de répertoire, donc de diapason, et le chant (donc paroles) un véritable super handicap. Il a fallu que je développe mon oreille relative (pendant des années un re apprentissage, intervalle par intervalle). Je trichais en jouant avec les 7 clefs. Encore aujourd'hui, c'est mon oreille absolue qui domine (un son dans la rue... le vent... etc...) le cerveau capte d'abord le nom de la note avant le bienfait du son vibratoire. Une plaie à vie.... un formatage indélébile, je n'ai pu que leurrer le cerveau en jouant avec l'oreille relative.... et aujourd'hui, le 432hz de la Terre change mon oreille absolue.... je ne suis plus à 440hz... dommage, que l'on étudie pas ce phénomène vibratoire.

Quand on nait, on a déjà une expérience des sons et peut être même des réactions de la mère induites par la musique. Peut-on en déduire donc que ça puisse être en partie génétique ?

Madame a mon intuition vous penser quoi de ma production intuition musical je nes jamais apris. Je suis quoi comme CATHEGORIE?

Edifiant !

Vont v. Mou