On pourrait l'écouter pendant des heures, tellement passionant, chaque réponse est réfléchie et intéressante, un des meilleurs réalisateur de notre époque ! Merci Clique !
Mouloud tes entrevues sont uniques. Les questions sont pertinentes, intelligentes et cela laisse vraiment l’opportunité à l’interlocuteur de développer ces réponses en nous embarquant ainsi dans son monde à lui. Et que dire de l’énorme taf réalisé en amont pour préparer cette interview. Merci Mouloud. Un mot sur David Fincher… je crois juste que je pourrais l’écouter pendant des heures parler cinéma.
Fincher’s reaction to the interviewers opinion of Zuckerberg being the most evil character is telling - I feel like he empathizes with that character the most out of any character in his movies.
Great Fincher interview I believe that Fincher takes a very diplomatic approach in some of his answers because this is the best way to resolve things in the entertainment industry I guess.
Je ne crois qu'on se rend pas compte du parcours de Mouloud. Un mec qui avait commencé avec des Interview de mec inconnu au bataillon et qui en fait une aujourd'hui avec un des plus grands réalisateurs. Force a toi Mouloud tes le boss 👍🏻
Merci Mouloud et toute l'équipe de Clique pour cette interview phenomenale. On sent que Fincher est fréquemment pris par surprise et se laisse aller au fil des questions. Une grande leçon de cinéma pour les années à venir. ❤️
The biggest problem with this interview is its just 90 min long.🙁 But still an amazing interview. Fincher was opening like flower. I congratulate the interviewer. Great job.
Vous vous etes tromper dans la traduction quand il parle de Pulsions de De Palma. Il dit qu'il connaissait un gars qui prenait des images du body double, c'est a dire de la doublure de nu pour Angie Dickinson dans le film et qui les mettait sur une vitre. Il ne mentionne pas le film Body Double de De Palma, rien a voir, meme si ca peut preter a confusion.
globalement l'interview est nulle. Les questions sont faibles, clichés, pas pertinentes- fincher se débat pour essayer de dire quelque chose d'intelligent: dommage!
J'adore son overture d'esprit. sa façon d'aborder le cinéma d'aujourd'hui sans cynisme, sans ce dédain qu'on observe parfois dans les interview de réalisateurs ayant un parcours similaire au sien. "I think it's never a good idea to prejudge an artistic endeavour"
Entretien très intéressant...David Fincher, peut-être l 'un des meilleurs réalisateurs américains vivants🙂Zodiac, the social network, de sacrés bons films...
J'en ai vu des interviewers claqués mais la c'est pire que tout....l'accent , la lèche, les quesions lues comme si on avait affaire à un élève de 4eme....Vous avez pas mieux pour ce réalisateur culte? Mention cringe spéciale quand il lui chante le générique de l'homme qui valait 3 milliards...aie aie aie..j'ai golri mais c'est triste!!
Merci la Clique. Encore une Master Class d'entrevue. Cependant, je m'en excuse d'avance mais, certains commentaires me poussent à répondre à votre place. (🤫J'essaye de vous éviter de perdre du temps afin de préserver la qualité de votre travail 😉) Commençons. Étant naturellement optimiste concernant la capacité d'ouverture des esprits étriqués et rageux. Je compatis, d'abord, puis je vous réponds : Désolé que Mouloud n'ait pas évoqué Gone Girl et plein d'autres sujets qui auraient mérité d'être abordés, mais ils n'avaient qu'une heure et demi. Et c'est déjà énorme d'avoir une Master Class "gratuite" de cette durée. Donc un peu de gratitude serait agréable en préambule de vos invectives. Enfin (oui déjà 🎉), pour ceux qui se plaignent de la pertinence et/ou qualité des questions, je ne suis pas d'acord avec vous sur ces deux revendications et je vous conseillerait d'aller les lui poser vous-même. Ce sera inhéremment plus intéressant pour vous. J'ose douter de la réciprocité de cette affirmation concernant M. Finsher et les éventuels spectateurs de cet échange. Cordialement
Haha Zodiac est aussi mon Fincher préféré. Il y a une telle maîtrise absolue dans ce film, et une façon de mettre l'angoisse et l'horreur en scène c'est incroyable.
Qui a part Mouloud pourrait interviewer un géant de la Réalisation tel que ce Monsieur ? Dégun a par toi frère (en france du moins "Avis Personel"). Force a toi tu nous régale .
Bizarre de parler de Seven sans parler de Kevin Spacey !!! Ils étaient proches et c'est fantastique ce qu'il fait dedans. Mais les problèmes judiciaires entrent en cause..'
You’re wrong. When David speaks about "two beautiful faces", he obviously speaks about Brad Pitt and Kevin Spacey, not Brad Pitt and Morgan Freeman 😊 As a teenager watching "Se7en" for the first time, I remember me and my female friends have found somewhat perversely fascinating the fact that John Doe was almost as handsome as Brad Pitt and some have even found him more handsome. Also, you may argue they discussing Kevin when they discussing the "Social Network" protagonist…
Un génie incompris ... Ou trop peu quand on n'arrive pas à son niveau où on comprends pas le sens de ses films...on le traite de prétentieux ou difficile.. Mais il a toujours tracé sa route... Seven, The Game,Fight club, Zodiac et Gone Girl sont juste des chef d'oeuvres indémodables. Son grand film incompris pour moi reste Panic Room, un thriller Hitchcockien avec une mise en scène inventive et précise digne d'une horlogerie. Un des derniers grands.
00:20 🎬 L'ère de David Fincher à Hollywood est notée comme la dernière où la jeunesse avait un pouvoir significatif pour exprimer des idées et créer des films sans dépendre de franchises ou de superhéros. 03:32 🎥 L'expérience de Fincher chez ILM a été influente, démystifiant le processus cinématographique et mettant l'accent sur la résolution de problèmes plutôt que sur la prétention. 07:12 🔄 Fincher suggère que, bien que les franchises offrent une base familière, l'originalité dans la narration peut encore s'épanouir au sein de cadres établis, citant des exemples comme "Mad Max: Fury Road". 10:37 💡 Les réalisateurs débutants devraient être soutenus différemment, en comprenant leur vision unique et leurs priorités en matière d'histoire, plutôt que de s'inscrire dans un moule de franchise prédéfini. 15:11 📜 L'hésitation initiale de Fincher avec "Seven" s'est transformée en intrigue, reconnaissant sa narration non conventionnelle et son impact potentiel sur le public. 16:33 🎨 En collaborant avec le directeur de la photographie Darius Khondji sur "Seven", Fincher visait à équilibrer les éléments d'horreur avec des images visuellement captivantes. 22:23 🔍 Fincher réfléchit sur "Fight Club", reconnaissant sa satire intentionnelle mais exprimant des préoccupations quant à sa mauvaise interprétation par certains spectateurs. 25:10 🎭 Les éléments de Tyler Durden dans "Fight Club" reflètent les propres expériences et l'humour de Fincher, évidents même dans son plaisir du processus de montage. 25:40 🎥 David Fincher se souvient comment le livre de Chuck Palahniuk, "Fight Club", dépeignait des choses qu'il avait vues, conduisant à une réalisation humoristique lors de la production du film. 26:33 🎬 Fincher réfléchit sur la mauvaise interprétation de "Fight Club", mettant en évidence sa représentation comme un film anti-capitaliste et exprimant son amusement face à cette idée. 27:16 🧼 "Fight Club" est loué par Fincher pour son accent mis sur la propreté et l'hygiène, des aspects souvent négligés du film. 28:11 💡 Fincher rejette l'idée de "Fight Club" comme un conte moral, en mettant l'accent sur l'exploration de la séduction et des conséquences de l'histoire. 30:46 🔍 "Zodiac" est discuté comme une narration explorant les aspects les plus sombres de l'humanité et l'impact du sensationnalisme médiatique. 32:10 🕵 Les leçons tirées de l'affaire du Zodiac ont conduit au développement de forces de travail multi-juridictionnelles dans les forces de l'ordre, améliorant la coopération et le partage d'informations. 34:24 🌟 Fincher souligne la fascination pour les histoires non résolues comme l'affaire du Zodiac et la valeur d'explorer de telles narrations. 36:10 🔪 La discussion se déplace vers la violence sociale, établissant des parallèles entre "Zodiac" et "Once Upon a Time in Hollywood" de Tarantino. 38:15 📽 Fincher partage des informations sur son approche de la réalisation cinématographique, rejetant l'idée de perfection et se concentrant sur la capture de moments authentiques. 46:48 🎭 Fincher discute de la représentation de Mark Zuckerberg dans "The Social Network", visant l'authenticité plutôt que de le dépeindre comme intrinsèquement mauvais. 52:08 🎬 La confiance est essentielle dans la réalisation cinématographique, surtout lors de la représentation de scènes sensibles comme la violence ou l'agression. 56:19 💼 Présenter un film implique de raconter l'histoire plusieurs fois à différents intervenants pour obtenir leur soutien et leur enthousiasme. 01:03:32 🎥 Le style cinématographique de David Fincher implique des mouvements de caméra délibérés et mesurés, contribuant à sa vision distincte. 01:05:40 🔍 Fincher insiste sur l'intégration transparente des effets spéciaux dans la narration, visant une expérience naturelle et marquante pour le spectateur. 01:10:05 💡 Fincher discute de l'impact et des considérations éthiques de la technologie deepfake dans la réalisation cinématographique. 01:14:42 📽 La magie du cinéma réside non seulement dans les images et le son, mais aussi dans l'engagement du public et sa participation à combler les lacunes narratives. 01:16:38 🎥 Fincher loue les qualités cinématographiques de "Rope" d'Alfred Hitchcock et discute de l'essence de la capacité du cinéma à transporter les spectateurs. 01:17:47 🎬 David Fincher fait l'éloge du rythme et de l'intensité du film "Athena", le comparant à "Apocalypse Now" et applaudissant sa narration captivante. 01:19:00 🎥 Fincher admire des réalisateurs comme Gore Verbinski, soulignant leur capacité à transformer de petits débuts en réalisations significatives, comparable à la création d'une Rolex à partir de rien. 01:20:50 🎬 Conseils pour les réalisateurs aspirants : Fincher les encourage simplement à réaliser un film, en mettant l'accent sur l'accessibilité des outils même pour les jeunes. 01:22:04 🎞 Fincher réfléchit à l'évolution des processus de post-production, des longues séances de montage basées sur le film aux flux de travail numériques modernes, notant la nature stressante mais efficace des méthodes actuelles. 01:23:51 🍽 En discutant des sept péchés capitaux, Fincher partage des associations personnelles, liant la gourmandise à Thanksgiving et exprimant son mépris pour l'avarice tout en reconnaissant sa paresse inhérente.
Punaise ! La médiocrité des questions, c’est pas croyable. C’est le problème lorsque l’intervieweur se comporte comme un fan devant l’une de ses idoles. Faudrait bosser un peu plus Mouloud
Tant que c'est compréhensible pour son interlocuteur c'est bon. C'est pas tant nécessaire que ça de cacher au maximum son accent. Perso quand quelqu'un me parle avec un accent étranger je trouve que ça ajoute un charme, une personnalité, une identité à la personne.
Aucun interet à se forcer avec l'accent. Le tout c'est d'être naturel, c'est la meilleure manière de se faire comprendre. Tu remarqueras toujours un italien qui parle anglais, un indien, un néo zelandais, un australien, un français etcetc.. je comprends vraiment pas où ça pose problème, du moment que l'échange est possible. Rien de drôle en tout cas.
A chaque génération ses références. Rappelle toi ce qu'on était à 12, 15 ans. Nos parents avaient ce même regard sur nous pour la plupart. Et les leurs aussi...
Fincher couldn't write an original script to save his life and had amazing screenwriters throughout . He won't have it now , all those amazing screenwriters are directing their movies themselves because folks like Fincher steal their credit
