Bonjour à tous, voici les prochaines dates d'économie mon amour!: 10 octobre à Grenoble, 11 octobre à Voiron, 5 novembre à Clisson, 9 novembre à Goutelas, 24 novembre à Toulouse et 8 décembre à Royan. Pour plus d'info, me contacter: adrien.chaudot@gmail.com
Un travail très consciencieux de vulgarisation a été fait ! J'ai compris des notions et pu apprécier de nouveaux points de vus sur l'économie, et je te remercie pour ça ! Je suis mathématicien, j'ai vu pas mal de conférences d'économie, pour tout type de public et je peux dire que je suis impressionné par le degré de clarté. Bravo !
:-) Wahou! il y a un an, le 30/9/16 , à La Bigaille, devenue haut lieu d'éducation populaire… grâce à Adrien Chaudot - et sa "conférence gesticulée" toujours autant d'actualité et bravo pour l'article dans "Mr Mondialisation" + un suggestion: ajouter aux "lectures conseillées" : "Le champignon de la fin du monde, Sur les possibilités de vivre dans les ruines du capitalisme" de Anna Lowenhaupt Tsing… ;-)
Mec ! Trop merci !! Ca fait un moment que j'ai découvert ta vidéo précédente chez Frank lepage... Et franchement ! Tu m'as permis de développer mon activité Et dans mes proches 4 personnes amené à revoir complètement la notion depense/investissement grâce à toi !! J'suis secteur "Saintes royan" si je peut me rendre utile fait signe !!!
Salut Adrien ! Je suis actuellement élève ingénieur et j'ai l'impression d'avoir le cerveau lavé par ces histoires de management, de productivité etc... On nous force clairement a croire que le système capitaliste est le seul (c'est assez pragmatique de la part de l'école sachant que le système dans lequel on va rentrer est fait comme cela) cependant comment résister dans le monde du travail? existe-t-il des entreprises avec un fonctionnement alternatif? Sommes-nous bloqués avec des convictions sans pouvoir agir? En tout cas merci pour cette conférence c'était super ! :D
Salut, je comprends ton désarroi. Pour moi , il a un dilemme à arbitrer: soit tu veux gagner confortablement ta vie et étant salarié d'un gros groupe qui t'expliquera pourquoi il est gentil, soit tu veux respecter tes convictions. Si tu choisis la deuxième option, les champs d'influence sont vaste: refuser le salariat, créer ta boite pour un truc qui tient la route éthiquement, réduire ta consommation le plus possible ou l'orienter sur des trucs utiles. Si jamais tu veux en discuter, tu peux m'écrire sur mon mail. adrien.chaudot@gmail.com bon courage
Juste une remarque, pendant les 30 glorieuses, tout le monde n'a pas un travail. La plupart des femmes ne travaillent pas. Les hommes ont le plein emploi pas les femmes. Sinon la conf est super, je comprends enfin un peu quand on me parle d'économie, merci !
entièrement d'accord! D'ailleurs c'est la raison pour laquelle le fait de considérer que le temps de travail diminue grâce à notre merveilleux capitalisme productiviste est un total mensonge. Le temps de travail des hommes s'est réduit, celui des femmes a explosé donc non nous ne travaillons pas de moins en moins, nous travaillons autant qu'en 1900 par foyer, seulement avant l'homme faisant 70H maintenant chacun fait 35H. je parle de temps professionnel, les travaux domestique eux ont gardé une répartition proche de 1900...
Pour moi, on quitte l'économie pour entrer dans la politique. gain de productivité moyen depuis les 35H, entre 2 et 5% par an, donc en gros si on corrèle le temps de travail avec la productivité, on supprime une heure de travail par an... le pied! sauf que non, la diminution du temps de travail n'est pas une récompense du gentil patron pour l'ouvrier courageux dans une coopération toute mignonne. La réduction du temps de travail, c'est soit dans un rapport de force favorable aux travailleurs (genre: sortie de guerre ou taux de chomage à 0%) soit un calcul pour relancer la consommation (genre: passage au 35h). mais en tant que capitaliste, plus un mec est productif plus tu as intérêt à le faire bosser longtemps. Donc bien que la productivité soit largement suffisante pour réduire le temps de travail, je ne vois aucun lien entre les deux.... Mais ce n'est que mon analyse, a chacun de conclure ce qu'il veut des rapports sociaux q'uil vit...
Une note pour dire que le parallèle sous-nutrition - obésité pour parler de répartition des richesses fonctionne mal (et donc simpliste voire caricatural). L'obésité dans le monde n'est pas une question de répartition de richesses, mais de qualité de nourriture, d'accès au sport, à la santé, de culture alimentaire, de temps disponible... Le surpoids touche rarement les couches les plus aisées de la population. J'imagine que ce n'est qu'une image, mais elle est mal choisie et continue la stigmatisation des corps obèses, comme s'ils étaient signe de gloutonnerie, d’accaparement, d'égoïsme.
j'entends bien! après, les facteurs de l'obésité sont multiples mais il n'en reste pas moins que "manger trop" est un facteur non négligeable. La causalité sociale, psychologique, culturelle... ou le sujet d'une culpabilité ne sont pas le sujet. Ensuite, associé en 3 ou 4 mots l'obésité à l'égoïsme, c'est de la paranoïa, c'est votre problème, pas le mien. Les chiffres de la FAO sont assez clair qu'en au lien entre surpoids/sous nutrition et la quantité de nourriture dans chaque zone du globe.
Bon travail de vulgarisation, je n'y apprends pas tant que ça mais je peux au moins partager une présentation un peu exhaustive de la chose sans chercher à devoir justifier mon point de vue à la volée en 2mn oralement. Une petite remarque par contre à 43mn de la vidéo environ, lors qu'il est question d'un gain de 20% de productivité, si 100 ouvriers avec un indice de productivité 1 produisent 1000 volants, si la productivité augmente de 20% cela signifie que l'indice de productivité passe à 1,2 et que donc il faut ~83 ouvriers pour produire 1000 volants... non ?
Re-salut. Je regarde la nouvelle version de ta vidéo : WOOWW !! quel changement par rapport à celle d'il y a deux ans !!! Carrément plus sur de toi!! ;-) Il y a une chose que tu dis en parlant de la croissance qui me turlupine un peu. Tu expliques qu'en gros, c'est de vouloir accumuler plus de richesses que l'année précédente, en n'ayant que ce but là en tête en disant dans la première version que c'est comme d'être au volant de sa voiture et de ne s'occuper que d'aller plus vite, sans s occuper de la route, ni de la vitesse à laquelle tu roules (parfaitement clair...) Et tu dis que même si on avait une croissance zéro, ça ne changerait pas fondamentalement les choses, on produirait juste la même richesse que l'année précédente. Clair aussi... Sauf que... Quand j'avais une dizaine d'années au milieu des années 70, on était 3 milliards d'êtres humains sur terre... Je me rappelle de ce chiffre là...On est plus de deux fois plus 40 ans plus tard... Et là, ben une croissance zéro, ça ne marche plus. Si le PIB reste constant, la population augmentant, le PIB par habitant lui diminue. Donc, pour rester "à vitesse constante" (PIB/Hab. Cst), on doit avoir une croissance au moins égale à l’augmentation de la population, c'est à dire qu'en ayant vu la population mondiale multipliée par en gros 2.5 fois sur les 40 dernières années, c'est pas un point de croissance par an qu'il faut pour rester à PIB/Hab. constant, ni même 2 points mais plutôt entre 3 et 4... Et on atteint à peine les 2% à ce que je crois savoir... Je débloque completement là ou pas trop?? lol
Oh on ne débloque jamais vraiment... Tu as raison mais on peut aussi se dire que la population mondiale n'évolue pas de manière similaire partout dans le monde et il y a fort à parier que si la population mondiale a doublé, celle de la France n'a pas doublé alors laissons croître les pays dont la population augmente. Ensuite sans même tenir compte de ça, comme expliqué dans la conf', une bonne partie des richesses produites une année vont rester intacte 5 10 ou 20 ans, parfois plus. Alors Nous pourrions largement maintenir un niveau de richesse équivalent par habitant tout en étant en décroissance. La seule chose que la décroissance contrarie, c'est la répartition du travail et des richesses attenantes. Un problème de choix politique donc... Enfin plus pragmatiquement, est-ce que la richesse a besoin de doubler pour maintenir une richesse stable par personne quand la population double? Si on parle Iphone, voiture et bien individuel, oui bien sur. Mais grande partie de notre richesse est collective (jusqu'à présent). Hors pour faire circuler le double de voiture, une route n'a pas besoin d'être multiplié par 2, un hopital n'a pas besoin de doubler pour soigner une zone de population doublé. La mutualisation permet des économies d'échelle qui font que certes, population augmentant, la richesse a besoin d'augmenter (si tant est qu'on souscrive à ce mode de consommation) mais la richesse n'a pas besoin d'augmenter dans de similaire proportion. Bref, tu ne débloques pas mais je maintiens mon opinion :)
Très bon progrès par rapport à la 1ère conférence, ça fait plaisir ! Par rapport à l'épargne, c'est peut-être voulu mais je trouve ça dommage que tu t'arrêtes sur le fait de déclarer que l'épargne ne "sert à rien" au final. En effet, l'épargne des uns est théoriquement réinvesti ailleurs via le travail des banques ce qui justifie le taux d'intérêt. C'est à ce moment que la spéculation qui elle est fondamentalement novice rentre en jeu, et surtout l'incapacité de distinguer Spéculation et Investissement lors des contrôles financiers. Ce que je veux dire par là, c'est que dans l'absolu, l'épargne si elle sert uniquement l'investissement et pas la spéculation n'est pas inutile dans le système capitaliste. Bref, merci pour cette conférence en tout cas et bon courage avec tes moutons ;)
Merci! Mais l'épargne ne sert pas à l'investissement, la monnaie dépensé ou non ne quitte pas le système bancaire. La masse monétaire, seul paramètre influent les volumes de prêt, ne sont pas fonction de l'épargne. Enfin ce n'est que mon avis (et celui de beaucoup d'autre, mais le nombre n'a pas valeur de vérité).
Très éclairant mais très confus. Dommage de ne pas développer sur la dette et les pistes de solutions. La fin de la vidéo, très humoristique, mériterait une suite...
Merci. Il y a des developpements interessants. Mais il y a bcp de points qui me gènent. D abord comme deja dit sur ton analyse de l épargne : tu raisonnes dans la simulation dans une économie sans production mais avec simplement circulation de richesses. Ce n est pas ce que mesure la croissance qui mesure des valeurs ajoutées, c est a dire du net, sans s interesser aux problèmes de repartition. Du coup le raisonnement est tautologique: oui l épargne est une "fuite" pour chaque année. Le vrai problème est donc le role de l épargne dans la production nette de richesses. Contrairement a ce que tu dis a moyen/ long terme toutes les eco en croissance s appuient sur de l epargne qui constitue une offre de fonds pretables pour l investissement. Fondamentalement ce n est pas la creation monetaire qui cree les prets pour investir mais bien l epargne qui constitue une offre de capitaux sur un marché (sans cette offre le banquier ne pourrait pas accorder de prets^^ les credits font les depots^^). On peut contester cette histoire de marchés des fonds pretables mais l egalité epargne=investissement est toujours vraie, meme si le raisonnement est inversé chez keynes (c est l investissement qui permet un residu d epargne). Bref Toutes les theories de la croissance sont largement d accord pour montrer theoriquement ce lien entre epargne et croissance. Max weber en fait meme une theorie sociologique sur le developpement du capitalisme via "l éthique protestante" qui a favorisé l epargne. Bref deja la il y a une grosse couille dans le paté: non l epargne ne sert pas a "rien" puisqu elle est au fondement meme des dynamiques de croissance. Les politiques keynesiennes sont bien davantage conjoncturelles mais n ont rien a faire la dedans. On peut contester le bien fondé de la recherche de croissance en elle meme ou les problemes de repartition mais ce sont des questions differentes. Justement, sur ton schema sur le profit qui finit par accaparer les richesses tu raisonnes uniquement en termes de circuit sans lien epargne/investissement. Keynes lui meme n etait pas "contre l epargne" et sa phrase sur l euthanasie des rentiers a ete surinterprétée: il analysait une situation de crise de la demande pour mettre en avant l ideee du multiplicateur. Il ne remettait pas en cause le lien epargne/investissement/croissance a long terme et comme moteur du capitalisme puisque précisément il ne reflechissait pas a long terme ("a long terme nous seront tous morts"). Bref sur l epargne et les vilains profits qui bouffent la croissance je ne partage pas. Ensuite, sur l aspect politique de la répartition, le fait que l on soit capable de nourir tout le monde, la surproduction et l obésité, la pub etc je suis bien + d accord. Mais la aussi ca manque un nuances: les niveaux de vie ont considerablement augmenté dans bcp de pays en developpement (chine etc), les problemes de malnutrition ont considerablement diminué, c est une tendance generale la aussi qu il faut prendre en compte raisonnablement sans omettre les problemes. Ton analyse sur la productivité et ses problèmes par l alienation ou le sens meme accordé a cette valeur est intéressante ... mais sur son lien avec le chomage tu t egares la encore: les gains de productivité generent des revenus (valeur ajoutée) qui permettent le deversement dans d autres activités ou les gens vont consommer. Regarde les gains dans l agriculture depuis 2 siecles: a t'on généré autant de chomeurs? Absolument pas! Juste les gens ne consacrent plus 70% de leurs revenus pour manger! La productivité du travail ne nuit pas a l emploi et ce nest pas une question d exportation, de compétitivité etc mais simplement cette logique de creation nette de richesses, de valeur ajoutée et revenus que tu occultes ! Bref pour moi il y a des idees et critiques dans ta conf mais sur les "demos" je ne suis pas convaincue ^^ desolee pour cet ÉNORME commenraire! =)
Et si je peux me permettre, les parties que j ai trouvé les plus interessantes concernaient plutot ta prise de conscience personnelle, ton experience en ecole de commerce et dans ta profession etc.
Bonjour, merci pour cette énorme commentaire :) Pour être synthétique, je dirais que je trouve tous tes arguments faux et que je maintiens chaque miette des raisonnements présentés. Tes arguments sont ceux que j'ai appris en école de commerce et même le professeur d'école de commerce qui te démontre le ruissellement, il y croit à sa connerie. Donc voilà. En tout cas merci beaucoup pour avoir regarder ma conf' avec assiduité et d'avoir pris le temps d'écrire tout ça :)
Bonjour Katia, je relis mon com' d'hier soir et je le trouve un peu dur. Ma réponse ne veut pas dire que tu penses des conneries, je veux simplement dire que quand quelqu'un est convaincu d'une chose, qu'elle soit juste ou fausse, elle s'y raccrochera peu importe les moyen. La raison peut tout démontrer et chacun saura la faire s'adapter à sa propre volonté. Mais ceci est valable pour toi mais également pour moi. Mais bon, croire que l'épargne finance l'économie, c'est quand même surprenant.. c'est écrit dans "tchoupi va à la banque" mais tchoupi est un peu simpliste
Merci pour cette conférence très enrichissante. Jeune homme de 25ans je cherche un sens à notre vie Humaine et clairement je comprends qu'elle n'est pas dans la croissance et la productivité. Ce problème de "profit" "dividende" s'applique t-elle aux petite PME ? Puisque la plupart du temps l'unique "actionnaire" est également le gérant ? Ce système présenter dans votre conférence est à bout de souffle.. Ne serait-ce car cette croissance infinie repose sur des matières premières limitées.. Quexiste-t-il aujourd'hui comme autre système ? Autre façon de sortir de ce cercle vicieux a notre niveau ? Autosuffisance alimentaire et énergétique ?
merci pour ton commentaire. bien entendu le profit s'applique à tout le monde, boulanger, PME, PDG du cac40, la problématique n'est pas réellement de se faire rétribuer d'une chose que l'on nommerait "profit". Le problème est de percevoir tant d'argent qu'on en vient à réfléchir à comment l'utiliser non pas afin qu'il nous offre une richesse mais afin qu'il nous donne encore plus d'argent. Mais la logique est la même pour un salarié bien payé. Si tu perçois tellement que tu en viens à mettre de l'argent dans un circuit spéculatif alors tu opères à ton échelle une légère strangulation sur le marché productif. Strangulation qui amène à force que la corde se ressert à la misère du Nieme maillon de la chaine. Concernant le reste de tes questions, je citerai Paul Ariès "quand on a la tête en forme de marteau, on voit tous les problèmes en forme de clous". Le système formate l'esprit mais la résistance à ce système également, je m'explique: "existe-t-il aujourd'hui un autre système?" Cela n'a aucune importance, faut-il que cela existe afin de lutter pour la justice et la liberté? Faut-il que cela ait existé pour que nous luttions pour la justice et la liberté? Faut-il même que cela existe un jour pour lutter? Ma réponse est non, la motivation pour lutter pour un monde juste n'est pas que cela puisse aboutir ou non, la motivation c'est: lutter pour la justice. Sortir du cercle vicieux à ton échelle, c'est très simple, rien ne t'oblige a courir après l'argent, la consommation et le pouvoir, rien ne t'oblige à suivre, seul l'habitude de le faire peut y inciter. Que tu changes ou non n'empêchera pas le monde de foncer gaiement dans le mur, mais ne pas faire partie de ceux qui pédalent est déjà valorisant pour la dignité. Autosuffisance? Deux questions: autosuffisant à combien? autosuffisant à quel niveau de vie? Autosuffisant au point de stopper la montée des eaux, l'extinction des pollinisateurs, le tarissement de certaines rivières? Il va falloir du budget. De ce que je crois savoir, ce qui est bon pour soi est bon pour les autres. Je dis toujours à ma fille que nous avons pour mission d'aider les autres à être heureux et de faire tout ce qu'on peut pour cela. Je crois aussi que quand notre vie a un sens, on cesse d'en chercher un. Seulement trouver les choses qui nous épanouissent réellement se fait face à soi même. Mais il y a un mode d'emploi, "la vie heureuse" de Sénèque.
Bonjour, oui vous pouvez la rediffuser mais cela dépendra du cadre, tout utilisation par le RN, patriote ou autres agitateurs de haine ne sera naturellement pas autorisée. Contactez moi par mail adrien.chaudot@gmail.com si vousavez besoin d'une autorisation écrite
l'inflation ce n'est pas l'augmentation des prix ; l'inflation entraîne une perte de valeur de la monnaie ce qui entraîne une augmentation de prix . La pédagogie en économie est une question de précision
Est-ce que ce n'est pas l'augmentation des prix qui entraine la perte de valeur de la monnaie qui entraine l'inflation? on peut aussi tourner en rond pour se mordre la queue si ca nous amuse. Deux mouvements simultanés que l'on nomme inflation, chaque mouvement signifiant intrinsèquement l'autre: émettre une distinction quant à la causalité me paraît bien ambitieux. je vous remercie pour vos éclairages à venir
L'augmentation des prix n'entraîne pas une perte de valeur de la monnaie SAUF si elle est la conséquence de l' Inflation qui effectivement cause une perte de valeur de la monnaie ; l'inflation entraîne mécaniquement une hausse générale des prix. Mais Il existe d'autres causes à l'augmentation des prix comme l'augmentation des coûts de fabrication ou de distribution des produits ou l'augmentation du coûts des importations ( qu'on appelle éronément "inflation importée") . On confond régulièrement l'augmentation des prix et l'augmentation générale des prix due à l'inflation .Je voulais simplement préciser le phénomène monétaire de l' inflation Bravo pour votre engagement et votre parcours !
Bonsoir, sans vouloir virer au débat sans fin. J'insiste mais de mon point de vue, la monnaie n'a aucune valeur intrinsèque, elle n'a qu'une valeur relative: Relative à la richesse matériel (ou immatériel mais pas monétaire...) qu'elle peut s'offrir à l'instant T. Peu importe les causes, à partir du moment où elle peut "s'offrir" moins de chose alors... inflation, perte de valeur et tout le tralala. Une distinction entre les causes n'a à mes yeux guère d'intérêt si ce n'est de dissocier des problèmes économiques pourtant extrêmement lié afin que préserver la légitimité de tel ou tel corps institutionnel qui pourrait dire "c'est pas moi, je ne suis que le gouvernement, ce n'est pas ma faute s'il y a la guerre en Irak et que le fuel augmente". L'analyse des causes reste évidemment intéressante mais je ne vois aucun intérêt à inventer de nouveaux mots pour un phénomène concrètement identique pour les gens qui le vivent.
Je n'ai pas vu la partie sur l'économie, je vois juste une partie d'économie de marché et une ambiguité flagrante avec le capitalisme. Ensuite faire un master d'1 an en achat ne fait pas de vous un expert de l'économie mais vous avez une certaine culture économique je dois le reconnaitre.
courageux de regarder jusqu'au bout sans rien y comprendre... je t'invite à regarder thinkerview, des gens bien plus doués que moi y parle d'économie de manière bien plus pertinente. vive thinkerview! gloire à thinkerview!
@@adrienchaudot2195 j'exagère un peu dans ma réponse. Disons que ça confirme ce que je pense de l'éco... Une arnaque officielle! Je connais déjà Thinkerview. Chaîne à conseiller à tout le monde.
Moui, enfin sans l'imprimerie, on aurais probablement pas eu le boom scientifique qui a suivi avec les lumières et la démocratisation d'une certaine forme d'accès à la connaissance ; et pourtant c'est pas pour autant que tu vas renoncer à internet. Your argument is invalid.
Non aucune évolution, depuis le début de l'histoire de l'humanité, quand tu reproches à une chose d'être un poison, on t'oppose le fait qu'elle fut un remède auparavant... cela ne changera jamais