Construction d'un atelier de menuiserie : Pose des lisses basses et solivage - EP 02 

Et encore, on aurait pu avoir du bois d'palette 🤣

bonne question ; merci de l'avoir posé

Suis-je le seul à avoir lu ce beau commentaire avec l'accent Québécois ? Hâte de voir votre prochaine vidéo Alain!

@Nevie AVR J'imagine que tu n'es pas le seul a avoir vu mon commentaire. Pour ce qui est de ma prochaine vidéo, ça sera vendredi prochain, et avec un accent Québécois comme tu dis :)

Et vous Bernard , de quoi vivez vous?

Je ne me cache pas, mais stp respecte ma tranquillité

Il bosse dure sur le chantier c'est le 5ième homme

Vu la couleur rosé, c’est du Douglas assurément.

Le tenon subit 2 types de sollicitations : - d'une part un effort de cisaillement, comme vous l'indiquez, mais vu sa hauteur, je ne pense pas que cela pose problème - d'autre part un effort de traction, induit par le fléchissement de la poutre au bout de laquelle il se trouve. Ce fléchissement est inévitable et normal; il a pour conséquence de solliciter l'assemblage tenon/mortaise dans le sens transversal de la lisse portant les mortaises et donc tendance à déchirer la lisse au niveau du plan de fond de mortaise et d'induire du matage sous les têtes de vis fixant les lisses sur les murs (le bois est un matériau tendre). Alors est ce que cela va tenir ? Je n'en sais rien ; je conseille de surveiller cet assemblage et de prévoir la possibilité d'enfiler une poutre de soutien le long des murs posée sur des poteaux allant jusqu'au sol. Personnellement j'aurais évité de prendre ce risque en posant les poutrelles sur les murs.

bloc a moiser ! 😉

Selon moi, ca l'affaiblit effectivement en cisaillement au droit de l'appui (plutôt efficace pour éviter la compression perpendiculaire au fil par contre je pense). Cependant, pour des solives, sur ce genre de portée, cest a priori la flexion qui est largement dimensionante (déformation et moment max a mi travée), donc je ne pense pas que le cisaillement a l'appui pose problème

A choisir je préfère prendre le temps d'une queue d'aronde que de travailler avec un sabot.

Tout simplement pour le plaisir du travail bien fait ! Ce n'est pas si chronophage car bien poser des sabots prend du temps également. Au final, vous avez un résultat bien plus esthétique,plus cohérent dans le temps (bois/bois) et un un coup matière bien moindre. Après, si vous ne disposez pas des machines et gabarits... C'est pas rentable du tout. C'est un choix !

C’est presque le même ici c’est du lachner xn--lachner-frstool-9kb.de/