Michel-Yves GATTEPAILLE. Les dinosaures ont disparu à cause d'un climat trop froid il y a 65 millions d'années, à l'inverse les mammouths ont disparu, il y 7.000 ans, à cause d'un climat trop chaud. Le climat change, en fait il a toujours changé. Il y a 500 millions d’années, à l’ère du Cambrien, la température moyenne sur la terre et le taux de CO2 dans l’atmosphère étaient beaucoup plus élevés qu’aujourd’hui.
Ainsi la température moyenne était supérieure de 7 ° Celsius et le taux de CO2 était 10 fois plus élevé qu'aujourd'hui.
Il faut rappeler aussi qu'il y a 100.000 ans le Sahara était une forêt, aujourd'hui c'est un désert.
Alors pourquoi le climat change-t-il ?
D'après Michel-Yves GATTEPAILLE, le GIEC ne fait pas une analyse complète car il ne s'intéresse qu'à l'augmentation de l'effet de serre produit par l'homme et il fait l'impasse sur tous les paramètres astronomiques qui ont provoqué les changements climatiques avant l'ère industrielle. D'après le documentariste, le GIEC ne dit donc pas toute la vérité et en ignorant volontairement les trois paramètres astronomiques complexes : variation de l'obliquité de la terre, excentricité de l'orbite terrestre et précession des équinoxes, l'analyse du GIEC n'est pas complète, elle est tronquée donc erronnée et sur le plan de la méthodologie elle n'est pas satisfaisante car le groupe de scientifiques devraient prendre en compte tous les paramètres connus, y compris les paramètres astronomiques.
Pour la première fois, le documentariste Michel-Yves GATTEPAILLE, ingénieur de formation, a fait une analyse exhaustive et pour cela il rappelle les paramètres astronomiques naturels découverts au 20 ème siècle par l’astronome, mathématicien et climatologue, MILANKOVIC : variation de l’obliquité de la terre, excentricité de l’ellipse de l’orbite terrestre, et précession des équinoxes.
D’après l’ingénieur documentariste Michel-Yves GATTEPAILLE ces trois paramètres astronomiques naturels sont très importants car ils sont en grande partie responsables des changements climatiques, mais l’auteur explique aussi que depuis l’ère industrielle, l’augmentation des gaz à effet de serre est un phénomène aggravant. L’analyse en 10 chapitres est complète et sans concession : d’après l'auteur le réchauffement climatique va durer encore pendant environ 20.000 ans dans l’hémisphère nord. La température va augmenter inexorablement de 2° C à 4° Celsius dans le siècle à venir.
Les principales conséquences seront les records de température, les sécheresses, les feux de forêt, les cyclones, les inondations torrentielles et surtout la montée des eaux des océans.
La transition écologique amorcée sera insuffisante pour enrayer ces phénomènes. La montée des eaux des océans pourrait atteindre un mètre dans le siècle à venir, ce phénomène s’est déjà produit dans le passé avec des variations de + 30 mètres à - 90 mètres par rapport au niveau actuel.
Le principal enjeu des générations à venir sera donc de maitriser la montée des eaux, de la freiner, et de stocker les pluies diluviennes.
Certains pays seront partiellement envahis par les eaux, le Bangladesh pourrait être submergé sur 25% de sa surface terrestre et 50 millions de Bangladais pourraient perdre leurs habitations et leurs terres.
Le constat n’est pas réjouissant, il n’est pas alarmiste non plus, il est tout simplement réaliste.
Il faudra que les politiques et les exécutifs prennent les bonnes décisions et mettent en œuvre les bonnes infrastructures de protection, mais d’après le documentariste ce ne sont pas les écologistes de la décroissance qui pourront résoudre cette évolution climatique.
Malheureusement la théorie de certains écologistes dogmatiques, prônant la décroissance économique, ne ferait qu’accentuer les conséquences astronomiques naturelles, car elle ne permettrait pas de mettre en œuvre les infrastructures indispensables, des barrages et des bassins de rétention, pour maitriser l’eau ; ce sera en effet le principal défi des siècles à venir.
L’analyse en 10 chapitres est complète et sans concession, elle a pour but de rappeler les phénomènes astronomiques naturels, l’aggravation avec l’augmentation de l’effet de serre, et d’alerter les populations d’aujourd’hui sur la situation probable de demain.
20 авг 2021
