documentaire : Le loup face aux Vosges : une cohabitation possible? 

Les anti loup c des faillo envers les agriculteurs derrière leur haine ce cache une hypocrisie envers lés éleveur pour mieux profité de leur générosité terre maison ect ect

L'ours étant omnivore et solitaire c'est malgré tout gérable plus facilement que le loup qui est purement carnivore et chassant en meute dans la plupart des cas, de plus le loup en France, va mettre en péril des espèces sauvages car la France n'a pas de territoires immenses, si on veut du loup il faudra accepter de réguler leurs populations

@@lobo5991 En france les seules espèces qui disparaissent à cause de la prédation du loup sont les espèces qui ont été introduites, comme le mouflon dans les Bauges, c'est normal qu'ils disparaissent car ils ne sont pas adaptés. Donc non, surtout que les meutes s'adapte en fonction du nombre de proies présentes

Le loup est également de passage en Haute-Saône depuis 10 ans il y stationne actuellement de plus en plus.

MERCI! Merci pour ce témoignage, ça fait plaisir de voir une personnes issue d'un millieu qui est (en majorité) anti-loup remettre les choses aux claire

Ouiii Bravooo et Merciiii pour votre témoignage !! Trop rares hélas sont les gens de bonne foi...

Pero hay mucho caza furtiva, no ?

Falso

Sauf que le loup n'a pas été réintroduit, il est revenu naturellement, à partir de ses bastions dans les Appenins

@@SebastienDelonglee pour les vosges oui mais ils veulent en reintroduire aussi dans les pyrénées le cantal et autre se qui est une bonne choses je dit pas le contraire

C'est parfaitement faux ce que tu dis là. Premièrement, c'est dans le parc naturel des Abruzzes qu'il est toléré, parce qu'il faut faire avec, parce qu'ils touchent de belles primes avec l'argent public, et parce qu'ils doivent représenter l'idéologie écologiste du parc, qui compte sur le loup pour faire prospérer le tourisme. Sors de la limite du parc et tu verras si le loup est autant toléré, tu seras surpris par le fait que le débat est beaucoup plus présent que tu ne le pense, autour du retour de la loi de 1971.

Vôtre vision est très manichéenne. Il n'y aurait que 2 solutions. Bien sûr que non. Il y aura évidemment une cohabitation. La difficulté sera qu'elle ne se fasse pas au détriment de l'un ou de l'autre.

@@allande1977 Ça fait 20 ans qu'on l'a cherche cette cohabitation, rien n'a changé en 20 ans. Pour moi, chercher la cohabitation c'est courir derrière un spectre innaccessible. L'agriculture intensive et le sauvage n'ont aucun moyen de cohabiter, je le sais d'expérience. Je vais surnoe terrain, les bergers j'en ai rencontré beaucoup, je connais leur état d'esprit et il n'est pas prêt de changer, quant aux naturalistes, bah je les côtoie et je sais qu'ils ne connaissent rien à l'agriculture, et ne cherchent pas à la connaître, l'enjeu du loup et de l'ours est un pur plaisir égocentrique de pouvoir l'oberver, point.

@@Bien_se_passer_tkt_pas nous cohabitons avec le sauvage depuis la nuit des temps. Mes ancêtres cohabités avec le loup et l'ours il y a encore peu. Et elle doit encore le faire avec l'ours et devra le faire avec le loup. Je viens d'une famille de paysans et de bergers, je monte encore à l'estive chaque été pour donner un coup de main. C'est delicat comme sujet, il fait donner tous les moyens aux bergers pour se défendre, le tir à vue, l'effarouchement systématique par le prélèvement. Le loup des Alpes ne craint pas l'homme( et c'est catastrophique pour les éleveurs) car les autorités n'ont rien fait pour que cela puisse arriver. Le loup sera une contrainte tant qu'on lui laissera croire que prélever les brebis n'est pas un danger pour lui.

@@allande1977 Nous ne cohabitons plus avec le sauvage depuis l'apparition de l'agriculture, il faut se faire une raison hein. Avant, l'Homme se substentait pas ce qu'offrait la nature résiliente (par son gibier, ses céréales sauvages, ses baies etc...), mais quand l'Homme a commencé à cultiver, il a détruit génétiquement les céréales sauvages pour les faire disparaitre à petit feu. Les plaines sauvages sont devenues des plaines cultivés en monocultures céréalières. Plus tard, le mode de production sur brûlis fut instauré, pour faire d'autant plus de mal au sauvage,' en créant des incendies, et en anéantissant la fertilité des sols. Aujourd'hui l'intensification de l'agriculture et l'urbanisme, forment à eux deux le salut du monde sauvage, qui ne peut que subir le grignotage à petit feu de son territoire, qui ne cesse de se réduire. Nous avons exploités et détruit nos forêts primaires pour en faire de vulgaires alignement d'arbres de mêmes âges et de mêmes cultivars, les forêts primaires n'existent plus en France métropolitaine, toutes sont anthropisées, même Brocéliande, Fontainebleau, Rambouillet etc etc... Dans ma Bretagne natale, notre patrimoine naturel des milieux de tourbières acides sont grignottées par la plantation de résineux depuis les années 60. LHomme fait disparaitre des espèces remarquables de notre territoire depuis la nuit des temps, il fut un temps moyen-ageux ou bisons et élans foulaient nos plaines. Où pélicans, pyguargues à queue blanche, et cigognes noires dominaient nos ciels. Où pingouins, macareux moines, phoques gris et veaux-marins côtoyaient nos côtes. Si l'on cohabitait avec le loup au temps de tes ancêtres, c'est parce que l'agriculture intensive n'était qu'à ses prémices, on pouvait encore se permettre de tolérer ces prédateurs, car les troupeaux étaient moins nombreux et moins fournis en têtes, c'était des cibles moins attrayantes et faciles pour les prédateurs. Et, sans agressivité de ma part, aucune crois-moi, ce sont aussi nos ancêtres qui ont faire disparaitre le loup de nos montagnes, pendant près de 50 ans, la peur c'était la belle excuse, la vraie raison c'était les dégâts sur les cheptels surtout. Aujourd'hui la donné à changée, les troupeaux sont bien plus fournis en têtes (1000-2000 têtes aisément), et les bergers sont bien plus nombreux, ce qui rend la cible bien plus attrayante et facile à atteindre pour des animaux opportunistes comme le loup ou l'ours. Quand tu conjugue la disparition du gibier sauvage et l'augmentation du nombre de têtes de brebis en montagne, le choix pour le loup est très vite fait, t'inquiète pas. Ces histoires d'effarouchement et de tir à vue etc... C'est déjà autorisé, qu'elles en ont été les résultats ? L'effarouchelent sonore ne sert à rien, et ça c'est un fait qui se prouve mille fois. Quand au tir à vue, tu effraie sur le coup, mais le danger n'est que repoussé, le loup finit par revenir tôt ou tard, pendant que t'es sagement couché dans ta cabane. Les loups sont conscients des risques qu'ils prennent, ils sont bien plus intelligents que nous, ils élaborent des stratégies pour duper les patous, ils savent contourner chacune des mesures de protection par la patience et la ruse. J'ai suffisamment espéré. Je me suis battu pour une concertation entre agriculture et écologie, j'ai assisté aux réunions de "concertation". L'écoute n'existe pas, chacun tente d'imposer des intérêts personnels à l'autre, et aujourd'hui, les réunions de concertation ne se font même plus. Le cause est perdue depuis bien longtemps.

@@Bien_se_passer_tkt_pas tu sembles bien pessimiste mais la Bretagne agricole diffère du piémont Pyrénéen et des Pyrénées. Ce sont des milieux différents et des agricultures différentes. Même chez moi, entre la plaine, le Piémont et la montagne axiale c'est différents. Mon environnement c'est une agriculture d'élevage et d'exploitation montagnarde traditionnelle qui a dû se réinventer pour subsister jusqu'à aujourd'hui. Il y a encore une grande vitalité et des jeunes pour continuer même si la désertification est là. Il y a de l'optimisme chez nos agriculteurs basques en montagne malgré tout et même s'ils doivent se battre au quotidien contres les inombrables difficultés sur leur chemin. Néanmoins, lorsque je dis que le sauvage cohabite avec nous c'est parce que nos montagnes et nos forêts sont habitées, au ciel, sur la terre et dans l'eau. Sangliers, cerfs, chevreuils, renards, blaireaux, biellettes, corbeaux, vautours, mulans, gypaète, aigles, grives, écrevisses, truites, saumons, ours et loups sont là, près de nous. Pour ces 2 derniers, ils passent sur notre territoire (Haute Soule, Iraty, Arbailles...) et repartent. La plupart des éleveurs n'en veulent pas, évidemment. Mais ils sont là. Que faire ?

L'Etat doit accompagner les éleveurs...encore une idée à la con, cela veut dire de l'argent public de dépenser pour les lubies des verdâtres. Pitoyable. Des générations de paysans se sont battues pour éliminer ce prédateur, qui tue plus que ses besoins.

@@fleuridastherese9973 L'argent public qui rembourse les prélèvements du loup ne vous choque pas par contre...Allez allez, creusez un peu le sujet et ne réagissez pas impulsivement en niant l'évidence. Bonne journée à vous Madame.

@@fleuridastherese9973 Il n'existe que deux espèces tuant plus qu'il ne leur faut, L'homme et le chat. Chercher à caricaturer les partisans de la cohabitation, ne peut que desservir votre cause. Nombreux sont les usagers, bergers bergères en France et ailleurs qui acceptent la proximité des prédateurs.

@@fleuridastherese9973 étrangement, les éleveurs des autres pays d'Europe (Italie, Pologne, Roumanie...) font avec le loup depuis toujours ! C'est bien une lubie française que de tuer toute espèce qui nous dérange, et à se penser supérieur à tout

Dans leur reconversion?Ils devraient plier bagage face a un nuisible?des discours de cervelles qui tiennent plus de la laitue que des lumieres de la raison.

Et c'est quoi tes solutions pour bloquer les attaques ? Dis-moi, nan parce que des solutions sont inventées depuis des années et des années et des années, résultat, aucune ne fonctionne. Donc c'est bien marrant de dire "oui faut aider les éleveurs, faut les accompagner, faut les protéger", mais ça fait des années que c'est tenté d'être mis en place, ça fait des années que les bergers et éleveurs subissent des pertes de bêtes, parfois reproductrices, avec pour seule consolation, un chèque. Elle est là la vision écologiste, ton attachement à tes bêtes on s'en branle, c'était une brebis reproductrice ? On s'en branle, prend ton chèque et ferme ta gueule. Tout ne se dédommage pas avec de l'argent, il serait temps de le comprendre. Aujourd'hui la montagne est anthoprisée, le loup n'y est pas en sécurité, et il cause des dégâts irrémédiables. Alors c'est bien beau de défendre un animal auquel on n'a jamais eu à faire, bien au chaud chez soi, mais à un moment donné il va falloir revenir à la réalité. Le courbe démographique de l'Homme est une abérration dans la lutte pour la protection des espèces.

Et pourquoi les pertes ne seraient pas couvertes par les consommateurs ?

@@darkshines68 et en quoi la majorité des consommateurs, c'est à dire nous tous, est responsable de la volonté d'une minorité de bobo des villes? Dans les pays du Caucase, les gens vivent avec les loups et les ours et n'ont aucun aide si des moutons se font bouffer. Alors, ils n'hésitent pas à empoisonner les loups qui se rapprochent trop des habitations. De ce fait, seuls les loups qui gardent leur distance avec les humains survivent; c'est une sorte de sélection naturelle.

Très simple ! Le loup n'a pas été réintroduit, il est REVENU tout seul. Il fait partie de l'écosystème. Les pertes devraient, comme c'est le cas pour n'importe quelle autre production, être prises en compte dans le coût de fabrication. Vous voulez consommer de la viande ? Ok mais payez le vrai prix. Cela permettra une meilleure régulation du marché. Vous dites que les loups se rapprochent des habitations sauf que c'est faux. La disparition des milieux de vie est la première cause d'extinction des espèces. Pour l'instant, loin devant le réchauffement climatique. Sans biodiversité, nous sommes tous morts. Par contre, manger de la viande tous les jours, en plus de provoquer des problèmes écologiques, provoquent également des problèmes sanitaires (zoonoses, cancers, obésité, etc... ).

@@darkshines68 Vous apprendrez madame, que les pertes de brebis ne peuvent pas toutes être compensées par de l'argent, c'est pas comme ça que ça marche. Perdre des bêtes auxquelles nous sommes attachés, c'est psychologiquement très compliqué, perdre des brebis reproductrices en charge du renouvellement du troupeau, c'est très compliqué pour le futur. Tout ne se dédommage pas par l'argent, voilà une réflexion bien perverse, et bien trop récurrente aujourd'hui.

@@Bien_se_passer_tkt_pas vos brebis meurent toutes de leur belle mort ?

Oui sauf que l'élevage a changé de nature depuis la disparition du loup. Autrefois les éleveurs ne possédaient pas autant de bêtes. La cohabitation était ainsi plus facile. Mais également grande différence, les loups ne bénéficiaient pas d'une totale impunité. Tu sais les loups sont des animaux remarquablement intelligents, si ils sentent que l'homme n'est plus un danger, ils cesseront d'en avoir peur. Et au lieu de réguler les troupeaux de cervidés comme ils le font très bien à Yellowstone par exemple. Ils se concentreront essentiellement sur la prédation des bêtes d'élevage.

Merciii pour votre témoignage, très pertinent et sûrement le plus juste que j'aie lu...

Je répondais à Ikat8489 mais la réponse de ggousier sonne juste également...

Bien sûr, et qu'est ce que cela change ? Parce les renards et les chiens errants font aussi du dégât, les loups doivent aussi être préservés ? Où est la logique ? C'est comme si tu faisais une connerie et que tu te défendait par "Ouais mais lui aussi il en a fait une, et puis lui aussi, donc moi aussi j'ai le droit"

@@Bien_se_passer_tkt_pas Je ne comprend rien et entre nous ce n'est pas grave mais j'ai quand même l'impression que vous êtes très compliquée dans votre pensée ! ... Ce que je pense moi c'est que les bergers en France devraient protéger leur bétail comme le font les espagnols, les italiens et les turques ..... Tous les animaux sauvages ont le droit de vivre et on n'a pas à les empêcher de vivre, à leur pourrir la vie ...... On a déjà assez comme ça à se faire nous "humains" pourrir la vie par nos propres congénères et il faut en + qu'on pourrisse la vie de la faune sauvage et aussi qu'on pourrisse tout le vivant sur cette planète !

Si on le sait, mais la vraie question est: "Le veut-on?".

@@vidalchristelle3783 il est revenu seul, il a donc sa place, donc on a pas d'autre choix ou alors on réagit comme le dernier des cons et on l'extermine

@@manovaly Nous sommes bien d'accord, il a sa place.

Le loup est intouchable car il a été exterminé et aujourd'hui il est toujours en faible nombre sur le territoire.

@@manovaly En faible nombre sur l'ensemble du territoire mais en forte concentration dans quelques endroits.

@@ggousier forte concentration tu parles, ça fait 20 ans que je randonne durant 6 mois de l'année dans une zone dite s "de forte concentration" et j'ai vu mon premier loup uniquement en printemps dernier

@@manovaly Le loup si il ne veut pas que tu le voit, tu ne le verras pas. Tu aurais plus de chance de croiser un ours qu'un loup.

@@ggousier Pas dans les Alpes française en tout cas, là où il à également été exterminé (on change pas les bonnes vielles habitudes), j'espère qu'il finira par revenir

🤣🤣🤣🤣 Le loup n'a pas eu besoin de réintroduction. Il semble que le bois de Boulogne e lui sied pas Quand à l'ours, il ne vit pas dans les bois mais dans les massifs. Et c'est bien dans les Pyrénées qu'on les a tués jusqu'aux derniers. Quand aux bobos, doit-on vous rappeler qu'on les nomme aussi "touristes" en été et sports d'hiver ?

@@darkshines68 Pourtant les parisiens adorent les ratons !!

Personne n'introduit rien, le loup conquiert les territoires qu'il souhaite ;) Et des loups vivent à proximité de Rome, pourtant on a jamais entendu parler d'attaques de loup sur l'homme à proximité de cette ville.

C'est pas son milieux naturel, qu'est ce que tu veux qu'il aille foutre là bas

Quelle naiveté, mais qu'elle naiveté, je vais vomir.

Ou alors on extermine le pastoralisme, affirmation conne, réponse conne

@@manovaly TOI AUSSI TU FAIT PARTIT DU FLEAUX DUCON

@@obertobert8032 dans ce cas là toi aussi