Magnifique concert, que je re-découvre, ambiance feutrée, un peu d'humour partagé avec son public...Grand artiste, vraiment, et des musiciens habités...Bravo
@@inancunal et les paroles que j'ai retrouvées sur le net et que j'ai ajoutées aussi sur cette autre lien : "Marina Tsvétaéva" : Paroles de Dominique A " Marina, Marina tu le sais ici tout brûle de tout temps ici tout brûle et les portes et les livres tout ce qui porte un nom brûle tout ce qui porte un nom brûle et comment va la vie à Paris? Comment va? l'exil et la Russie le cœur sans son toit tu suppliais le tsar de relâcher Razil chaque pont traversé aura été coupé et les granges et les villes tout ce qui porte un nom brûle tout ce qui porte un nom brûle et comment va la vie à Paris? Comment va? les poèmes étouffés dans le fond du cabas tout les verres en saccades freinés par l'estomac et l'exil Marina, ta Russie comment va? et les hommes et les livres tout ce qui porte un nom brûle tout ce qui porte un nom brûle " ru-vid.com/video/%D0%B2%D0%B8%D0%B4%D0%B5%D0%BE-JCV1NMkBD6I.html
@@inancunal il s'agit du titre "Marina Tsvétaéva", qui figure sur l'album (live), "sur nos forces motrices", paru en 2007 (nom d'une poétesse Russe, qui a vécu en exil à Paris)
L'océan m'appelle et me rappelle que je suis loin de tes pensées, de tes doutes, de tes chagrins et de ton romarin qui m'appelle aussi dans le silence de nos peines qui sont espacées. J'aime à penser que tu te souviennes de ces instants où je t'ai vu passer près de mon pré, de ma vie et de mon escarcelle. Je suis loin de tes pensées, je suis loin de toi depuis longtemps et je me sens fracassée de ne pas avoir pu te rencontrer plus souvent. On se serait aimés mais tu n'as pas droit de dire ça, tu n'as pas droit d'outrepasser tes droits. Je suis ton passe-droit et tu n'es pas assez loin de mes doutes, tu es dans la cambrousse à me regarder de loin, comme les korrigans regardent les marimorgans. Je suis celle que tu écoutes dans sa chambre, sa caverne, c'est un mythe et tu veux te faire l'écho de mes inepties mais pas de mes chagrins de t'avoir repoussé. Je sais je n'aurais pas dû mais que veux-tu, j'étais foutue rien qu'à penser que tu allais me passer la corde au cou. Je ne pensais plus à rien. J'ai fui, j'ai fui loin de ce temps à panser mon chagrin dans l'alcool et la redoute des temps; Je te prie de m'excuser. Je n'étais pas assez puissante. J'étais certaine que tu étais passé de travers; je t'ai regardé de travers et je t'ai entendu traverser sans aucun regard pour moi et ma satanée chevelure rousse. Je suis loin de toi à présent et je t'attends dans ma cambrousse, loin des lumières de ton refrain. Je suis enfoncée dans la redoute; cette satanée redoute; je ne redoute plus de te croiser et tu viendras me retrouver après que tout ça sera passé, toute cette satanée trasnverse, je me metaverse partout, dans toutes les pensées et loin de ces transports qui t'amènent loin de mon port. Je m'en vais je dois te quitter, Dominique, tu es trop loin de moi à présent et je ne te dirai jamais assez que je t'aime encore comme une groupie attend dans l'aéroport du pois sans nom et sans visage
j'aime beaucoup beaucoup ... beaucoup Dominique A .... MAIS je n'aime pas du tout ce concert. L'orchestration ne me plait et je ne suis pas certain que D A se soit lui même senti à l'aise et éclaté... It's my opinion
