Pour la première fois vous n'avez pas réussi à me donner envie de lire le roman dont vous parlez : sans doute par paresse intellectuelle ! Merci quand même pour votre travail d'utilité publique.
J'ai appris qu'en Espagne à la Saint Valentin les garçons offrent à leur "dulcinée" un exemplaire de ce livre, ce qui est un symbole plus fort que des chocolats. De plus Cervantes est devenu un symbole national, c'est son portrait sur les pièces de 2 € espagnoles, comme en Italie où c'est également un auteur qui y figure (nb Dante Alighieri auteur de la Divine Comédie)
Je tombe sur cette vidéo un peu par hasard et... J'ai pris une petite claque ! J'ai trouvé votre analyse passionnante, cela m'a donné une envie folle de lire le roman et m'a donné une inspiration créative incroyable pour un projet futur ! Je ne peux que vous remercier mille fois pour cette vidéo ! Merci pour ce travail.
Un monument littéraire encore plus ancien est La Divine Comédie de Dante Alighieri, j'ose espérer qu'un jour vous ferez une vidéo dessus, encore merci pour votre travail et bonne continuation bientôt le numéro 100 ^^
Le Quijote c'est l'ADN de ce que sera le roman plus tard. Dans le Quijote nous trouvons tous les genres de la littérature. C est le premier roman et le deuième livre le plus édité du monde. Ne pas le comparer avec La Divine Comédie qui n 'est pas un roman. On ne peut pas comparer NADAL et MESSI.
Je l'ai lu deux fois. C'est un vrai régal. Je crois qu'on peut parler du donquichottisme comme on parle du complexe d'Oedipe. Don Quichotte se trouve dans chacun de nous
Cervantes critiqur les romans baroques de l'époques en mettant en scène un personnage qui, à force d'en lire, vit dans un monde imaginaire, obsédé par des objets de divertissement, créés exprès pour être addictifs, interminables et vendre une fausse image noble de l'humain. On peut aisément faire un parallèle avec notre monde contemporain. Le divertissement consommé sans cesse et l'image inatteignable valorisé par la fiction. On n'a qu'à remplacer le désir de chevaleresque de DQ par une obsession du corps parfait ou de la célébrité.
En effet, le parallèle est pertinent! Il semblerait que la succession de créativité, exploitation, fantasme populaire, parodie, déconstruction, nostalgie... soit un cycle. L'humanité a visiblement toujours eu ce besoin d'imaginaire idéalisé, qui a commencé par des mythologies, pour devenir des oeuvres artistiques diverses. A l'heure actuelle, la plus grande différence consiste surtout en l'abondance des styles. Mais dans le fond, la mode des superhéros, n'est-ce pas aussi une sorte de mythologie? ou de chevalerie? (Captain America est inspiré des légendes arthuriennes...) Si l'idéal ne peut être atteint, il est plaisant de se l'imaginer. Voire nécessaire? Par contre: qui nous dicte quel idéal?... Le problème est là. Nous avons besoin de repères, ceux-ci sont bouleversés/corrompus de bien des manières, et ce depuis toujours. Nous n'avons plus confiance en la religion, ni en nos dirigeants, ni en l'information, ni en la science... Ni même en nos voisins, dans le fond. L'imaginaire a un côté rassurant, par moments. (Même ici: nous écrivons des messages sous un pseudonyme... car donner nos vrais noms serait dangereux, ou inutile, ou risque de nous rendre moins intéressants...) DQ peut avoir un côté amusant au premier degré, mais est finalement bien triste et bien proche de nous.
Merci pour cette vidéo, pour ma part j'avais trouvé son écriture très moderne lorsque je l'ai lu, passionnant, et très drôle surtout ! Plusieurs fois je me suis marré, dommage que vous n'ayez pas été sensible à l'humour du roman...
Pareil que vous, j’ai trouvé, à la différence de M Depotte, certaines portions de ce livre extrêmement drôles. Je l’ai lu il y a 20 ans. Par exemple, les passages de l’auberge où l’écuyer est molesté et où il souffre de diarrhées m’ont fait littéralement suffoquer de rire. J’étais dans le compartiment d’un train et j’essayais tant bien que mal de me contenir pour ne pas gêner les voyageurs. J’avais des spasmes et j’en pleurais...
C'est vous qui avez raison. Notre ami JPD est manifestement complètement passé à côté de ce roman auquel il n'a rien compris. Cette vidéo ne parle pas du Don Quichotte de Cervantès.
Mais bien sûr. Je n’ai pas regardé les autres vidéos de cette chaîne, mais je trouve que cette lecture de DQ très plate ... pour ne pas dire faible. DQ est un roman drôle comme sont ceux de Rabelais. Il est humain parce qu’il est drôle sans jamais se moquer de son malheureux héros.
Vous m'inquiétez. J'ai lu Don Quichotte en riant beaucoup. Ce livre est un livre drôle. J'y ai reconnu une satyre féroce des romans de chevalerie et une dénonciation, comme dans Mme Bovary, de l'effet délétère sur les gens faibles des mauvaises littératures. Je crains cependant que votre interprétation ne soit celle de notre siècle qui n'a plus les pieds sur terre et veut se convaincre que c'est la bonne manière d'avancer.
Par "que votre interprétation ne soit celle de notre siècle", je suggère une théorie de la réception (école de Constance, Jauss). Le XXIe s. s'invente une manière consensuelle de voir une oeuvre de telle manière que l'oeuvre donne raison à l'esprit du temps, au Zeitgeiss. Ce alors que Don Quichotte est un des premiers anti-héros, avant Julien Sorel, c'est un minable, un pauvre type ridicule qui prend sa vessie pour une lanterne, c'est un je-ne-suis-pas-un-homme-qu'est-ce-qu-vous-fait-dire-que-je-suis-un-homme, en clair, c'est un crétin à côté de ses pompes, une cloche.
Peut-être. J'ai personnellement été plus intéressé par le fait que Don Quichotte ne soit pas présenté comme une personne réelle. Il est, d'un bout à l'autre, un personnage de roman. A tel point qu'il en est conscient lui-même. Il sait que quelqu'un est en train "de l'écrire". Si Cervantes avait voulu nous mettre en garde contre les dangers "réels" de la lecture, il nous aurait présenté un cas réel ou le plus réaliste possible. Il fait tout l'inverse. Aussi, je pense (c'est mon interprétation) que Cervantes joue avec le rôle de la littérature sur les sociétés humaines. De la littérature et de l'imaginaire (on peut l'étendre au cinéma mais aussi à la politique ou à la propagande). Les personnages fictifs finissent par exister dans notre intelligence collective. Il n'est pas besoin d'être de chair et d'os pour être réel. Voilà, moi, le message qui m'a intéressé.
@@JPDepotte Oui, c'est vrai. C'est une authentique oeuvre d'art qui, outre l'éventuel message que l'on y voit, est aussi une réflexion sur l'art lui-même, oui, il y a du "Jacques le fataliste", je dirais même en mieux que le livre de Diderot. Il y a les deux dans Don Quichotte, la critique et la parodie de la critique ridiculisant la critique.
L’auteur de la vidéo a totalement aplati le texte qui est un roman DRÔLE mais dont la lecture est toujours incertaine : critique des livres ? Critique des lecteurs ? Parabole ou livre de la vie ? Sérieux de l’auteur (ou non)? Glissement de statut des personnages? Lecture de la folie ( le premier fou de l’histoire littéraire qui ne l’est que pour des raisons humaines : ni Dieu ni le démon n’entrent en jeu)? Livre des illusions et illusion de la réalité? Premier livre qui pose la question de la vérité en littérature (vérité de la littérature / littérature de la vérité / vérité littéraire)? C’est un livre aux questions abyssales... La lecture qui en a été faite ici est non seulement plate, sans aspérité, mais elle oublie l’essentiel que les très grands écrivains de tous pays ont reconnu depuis qu’il est paru... C’est dommage. On ne se fait pas critique sans lire les critiques qui nous on précédé. Mais si cela peut inciter d’autres à lire DQ tant mieux...
Lire DQ est un plaisir et un exploit Sans cesse entre le délire, le ridicule et le dramatique on se dit "c'est quoi ça?, c'est qui? Tout y est invraisemblable mais tellement Vrai
"on ne rit même pas en lisant Don Quichotte" ouch ! le duo Don quichotte- Sancho Panza est hilarant qui relève de la farce et du théâtre. Le comique est très visuel. Ps. le chevalier à la triste-mine est le surnom donné par Sancho à cause de sa tête abimée par les pierres lancées par les bergers des troupeaux de moutons qui lui ont éclaté la mâchoire et sa figure affamée.
Finalement le fort Bastiani du Désert Des Tartares, c'est un monde où Don Quichotte a été pris au sérieux ;) La citation où il décrit l'armée de moutons, elle nous montre à quel point l'imagination est innée à l'humain et facilement accessible, parfois à notre dépend, comme Drogo et les officiers de Bastiani. Les idées viennent facilement, mais l'histoire doit s'écrire jusqu'à sa fin si elle est pour avoir un sens, et encore faut-il en avoir une en tête. Lorsque l'on est confronté à la réalité, comme Don Quichotte face au livre de son histoire, on peut l'accepter ou la rejeter, et lui il la rejette, il replonge dans la fantaisie sans fin en voyant la réalité comme l'ennemi. Cervantes ne lui donne pas une troisième chance, sa vie restera sans sens, sauf pour le lecteur pour qui l'histoire a bien une fin. J'adore cette chaîne! :)
Ah mais c'est la librairie Delamain qui conclut la vidéo! En tout cas, moi qui avais déjà le projet de lire Don Quichotte, j'en ai encore plus envie maintenant. Il est partout, c'est vrai. Je me rappelle d'ailleurs d'une BD de F'murrr sur cette histoire qui n'était pas piquée des hannetons. L'auteur pratiquant lui-même l'inception, ça vaudrait sans doute le coup de les (re)lire en parallèle.
Mon dieu je te suis depuis un bout de temps... POURQUOI ?! algorithme youtube de * ! Aucune notif et j'ai pourtant mis la cloche, je n'ai pas rêvé 😞 - bref j'adore tes videos ~ C'est simple mais efficace ❤️👀
Il y a un certain progrès dans le sens qu'un auteur moderne peut baser sa réflexion sur le corpus des romans qui l'ont précédé. Et en cela, il a clairement un "avantage" sur ses ancêtres. Autrement dit, il y a un progrès indéniable de l'environnement artistique dans lequel l'auteur évolue. Ensuite, à lui d'en faire un chef d'oeuvre...
@@JPDepotte , Certes, mais Cervantès n'avait que les picaros et l'épique comme corpus romanesque et il fait Don Quichotte (entre autres)... Nous, on a des tonnes de références et de chefs d'oeuvre romanesques pour de la réflexion à gogo, au détriment du créatif. Je ne sais s'il s'agit d'un "avantage" ou d'un piège...
Si vous êtes un amateur du genre thriller, voici une petite suggestion de roman policier : "Celle qui n'était plus" de Boileau-Narcejac, le roman sur lequel s'est penché H-G Clouzot pour réaliser son chef d'oeuvre "Les Diaboliques".
Voici un petit fragment bien méchant sur un personnage de mon roman. Madame Guenon une femme de type caucasien, d’une quarantaine d’années, grande, blonde, atteinte d’un strabisme est un tantinet lente à la réflexion. Elle avait des cheveux blonds et gras avec coupe mal entretenue, mi longue et d’un carré cranté, comme cela se faisait pendant les années vingt. Elle essayait de ressembler à ces anciennes actrices hollywoodiennes glamour d’entre les deux guerres. Ses tailleurs aux couleurs passées paraissent appartenir à un autre temps. Du vintage, diront les moins durs. Parfois elle poussait des cris aigu qu’on penserait qu’elle est peut être atteinte d’un retard mental. Cela fait sourire l’interlocuteur mais son poste de responsabilité, parachuté, nous pousse à croire que c’est peut être une idée conçue que l’on se fait et on recommence à croire qu’elle est peut être dotée d’une intelligence cachée que l’on a pas su voir. On se prend à douter de son propre raisonnement.
Mais Don Quichotte c'est aussi l'histoire de ses malheurs et de s folie : Sancho Panca, personnage (apparemment) raisonnable est le contrepoint essentiel du héros. Non seulement il est le témoin des aventures, non seulement il tire Don Quichotte de situations embarrassantes et va jusqu'à lui sauver la mise (et même la vie), mais encore, et puisqu'il est le contrepoint raisonnable du héros, il fait ressortir la folie de Don Quichotte et son malheur. Don Quichotte ne vie pas heureux dans ce qu'on appellerait aujourd'hui son "trip" ou sa "réalité alternative" au contraire le réel se rappelle toujours à lui. Et s'il ne veut pas admettre que la paysanne n'es pas sa dulcinée mais qu'elle a été ensorcelée nous lecteurs savons que Don Quichotte sera toujours éternellement malheureux. Don Quichotte c'est aussi notre quote d'idéaux inaccessible, de rêves irréalistes, de "châteaux en Espagne", justement. C'est bien pour cela qu'on ne peut pas parler de Don quichotte sans parler de Sancho : Sancho est matérialiste et a les deux pieds sur terre… jusqu'au moment où on s'aperçoit que le matérialisme de Sancho lui fait commettre des bourdes sérieuses et que lui aussi peut bien se trouver la tête pour peu qu'on le prenne par son point faible : son amour des choses matérielles. Dès que Don Quichotte nomme Sancho gouverneur d'une île imaginaire, voilà t-y pas que notre brave fermier transformé servant du chevalier se raconte des histoires et se pare de tous les attributs et pouvoirs d'un gouverneur… à commencer par se faire inviter gratis à toutes les bonnes tables de la ville… Oui Don quichotte es un livre complexe… mais simple à condition de ne pas oublier Sancho : l'un et l'autre sont bien le visage émouvant de notre humanité pleine de contradictions, faites de rêves et de désillusions malheureuses.
où est-ce que vous avez vu qu'il se fait "inviter gratis à toutes les bonnes tables de la ville" ? Bien que ce soit dans le cadre de la comédie du duc et de la duchesse, Sancho se fait véritablement nommé gouverneur pendant un temps et il a donc sa propre table et ses propres serviteurs pour lui servir à manger. De plus, à la fin de son "mandat", si on peut l'appeler ainsi, le narrateur nous rappelle que Sancho a agit et gouverné de la bonne manière et que la ville a même conservé les ordonnances qu'il a donné. A partir de là, je vois pas pourquoi est-ce que vous dites qu'il "se raconte des hsitoires"; il est paysan, mais il a toutefois été un bon gouverneur visiblement. Des fois je me demande si nous lisons les mêmes livres ou si, avec le temps, vous oubliez ce que vous avez lu...
Désolé je ai écrit une longue réponses circonstancié et à la fin elle a disparu : satané iPhone ! je n’ai pas le temps de recommencer. Sachez tout de même que les deux parties du textes ont été écrites avec près de10 ans d’écart et que Cervates répondait à ceux qui avaient ecrit des « suites » de Don Quichotte entre temps pour profiter du succès du premier livre. Sancho prend plus d’épaisseur ... mais ‘est aussi au risque de devenir aussi cinglé que son maîtr et se nourrir d’illusions. D’autres arguments portent sur le contexte social et économique de l’époque :ils sont congruents avec l’idée que Sancho se fait inviter à toutes les tables. C’est un paysan, près de ses sous par définition, toute invitation est on est à prendre. Il est de règle d’inviter le plus possible à sa table les grands ... et cela ajoute à la farce qu’on fait aux deux comètes S qui s’avèrent aussi fou l’un que l’autre. C’est un roman sur les illusions, lepremier qui Moore ce thème. Désolé pour les fautes pas le temps de relire. Satané petit écran. Vous retrouverez tout ça très clairement dans les deux éditions de laPléiade (vers 1935 et 2015). On alu le même texte. C’est bien de coller à lui,mais je vous conseille tout de même de lire quelques grands auteurs qui ont été marqués par le texte : Nabokov, Gracq, orgès, Marthe Robert et bien d’autres ne sont pas desimbéciles ....
@@vincent7520 Oui bien sûr, il y a 10 ans d'écarts entre les 2 tomes, et Cervantès a même repris quelques idées dans la (fausse) suite des aventures écrites par Avellaneda
Ce que je peux vous conseiller, c'est aussi de "lire", "Monster" et "l'attaque des titans", je sais que c'est des Mangas mais ils ont bien les 4 éléments feu, eau, vent, et terre
@@JPDepotte Je pensais a hellraiser mais t'es pas obligé, je me suis dit que comme tu avais fait un roman sur hp lovecraft, peut etre que tu aimais bien l 'horreur et comme clive barker est un maitre en horreur voila. Mais dans tout les cas j ai apprécié cet episode sur don Quichotte .Hate de savoir quel roman tu choisira pour la prochaine fois.
Don Quichotte refuse sa propre réalité insipide pour fuir dans un imaginaire qui n'appartient réellement qu'aux nobles finalement. Il rêve de noblesse, un peu comme Perceval (mais lui était noble sans le savoir).
Sur Cervantès vient de sortir aux éditions BEYA : "Cervantès et la cabale chrétienne". Tout s'éclaire dans ce chef d'oeuvre. On comprend enfin le but de l'auteur, et la démonstration est irréfutable !
" Et dispersé l'espoir promis aux jours futurs, Ô mon âme, le ciel est sourd, les temps sont durs, Fais que ton rêve monte, au-dessus, loin des choses " . fr.wikisource.org › wiki › La_Mort_de_Don_Quichotte Sauf que le ciel entend . Promis !
Télémaque de Fénelon, les fables de la Fontaine. Je réponds au challenge sur des auteurs de romans du 17eme siècles importants en me cantonnant aux seuls français les plus connus. Personnellement ces deux oeuvres ont eu beaucoup plus d'importance pour moi, j'ai trouvé Don Quichotte trop picaresque et franchement ennuyeux et long. C'est un roman qu'il faut survoler en ne prêtant pas trop d'attention au détail pour ne pas le refermer. Pour moi, c'est Spinoza l'auteur le plus important du 17eme siècle mais il n'écrivait pas de roman. Je ne sais pas pourquoi il faudrait s'en tenir au 17eme siècle quand au 13eme siècle le Roman de la Rose, en particulier la partie écrite par Guillaume de Loris, est simplement extraordinaire. Fabuleux même. Au 12eme siècle, il y a quand même chrétien de Troyes, dont on ne peut pas dire qu'il n'a pas eu d'impact jusqu'à aujourd'hui. Et un siècle auparavant, au 11eme siècle, il y a la Chanson de Roland. Je préférerais relire la Chanson de Roland que les 2 tomes de Cervantès...
Personnellement, je vois dans les aventures de Don Quichotte une forme psychiatrique de bouffée délirante ! Le personnage du livre 1 pourrait être un schizophrène de l'époque , tout en sachant que les découvertes de la psychiatrie moderne n'avaient pas été faites !
Don Quichotte a été véritablement écris par Sir Francis Bancon, ainsi que la grande majorité des pièces de Shakespeare, selon le Maître Omraam Mikhaël Aïvanhov
@@vincent7520 roman moderne ça veut dire quoi pour vous ? C'est en rapport avec la forme de l'écrit ? ou avec la date de parution ? Parce que l'humour, la narration, le narrateur, la mise en abyme de plusieurs récits, le dialogues, le personnage principal, l'adjuvant, les péripéties etc etc (autrement dit tous les attributs du roman) figurent chez Apulée autant que chez Cervantès