Retrouvez la question de David Castello-Lopes dans le 7/10 (8h55 - 1er novembre 2023) Retrouvez toutes les questions de David Castello-Lopes sur www.radiofrance.fr/franceinte...
le cidre croquant cest plus pour la fin dapres-midi apres un concert de biniou alors que le cidre rustique mais sans rudesse cest plus pour le dimanche dans sa maison de campagne. quand a la bulle franche, ca devrait etre la regle.🤣🤣🤣 merci pour cette chronique genereuse.
Aaaaah "les facteurs influençant la dégustation", la meilleure leçon d'oeno (et de modestie) que j'ai prise dans ma vie. La première impression est (presque) toujours la bonne même si elle contredit ce qu'on voit, ce qu'on sent, la personne qui ouvre la bouteille, l'environnement,etc,etc,etc...A part ça, santé mes soeurs et mes frères!
Cette vidéo de G Meurice est d‘une abjection sans nom. Quelques semaines après un pogrom, au lendemain d’une chasse au juif au Daghestan, au moment où en France des étoiles de David sont inscrites sur les immeubles où…
La seule chose de pire qu'un semelier, c'est 2 semeliers ! La dernière fois que je leur ai apporté une paire de chaussures pour qu'ils refassent la semelle le résultat était catastrophique... ces semeliers sont une calamité qu'il faut fuir à tout prix. Un conseil : portez des sabots.
J'imagine bien François Morel faire une chronique de ce genre... il est vrai qu'il y a une énorme part de snobisme dans le monde du vin et de l'œnologie...
Il eût été élégant de citer le livre du linguiste Jean Szlamowicz "Savoir parler du vin" paru le 26 octobre 2023 en librairie et donc disponible par la presse bien avant. Tout dans cette chronique sympa est calqué sur le livre: exemples, analogies, termes jusqu'au petit tacle final rigolo:"partir sur un sauvignon"... Merci qui? Jean Szlamowicz
De toute façon c'est une question de palais et de ressentis chacun est différent et chacun appréciera à sa façon et puis il y a des jours où notre palais n'est réceptif à rien. Le tout c'est d'accueillir un vin un peu comme une personne parfois on l'apprécie et parfois non. Les conseils peuvent aider notamment sur les cépages selon ce que l on aime ou non et puis on peut se laisser surprendre. Il faut demander au sommelier en décrivant avec vos mots l'image du vin que vous aimeriez boire à ce moment précis, et si il tombe juste c'est qu'il a capté votre recherche.
C’est dur d’être poète quand on fait un métier de bouche. On essaie de décrire la pâmoison gustative pour susciter l’envie d’éternité, et on ne récolte que d’inexprimables invectives et des regards effarouchés 😅 Au moins, on aura eu une chronique de DCL et le privilège de pouvoir partir sur le Sauvignon, puisqu’il transporte bien cellui qui saura l’apprécier, ne serait-ce que l’instant d’une gorgée, au-delà de notre limitée immédiateté 😉
si vouspassez par Rome allez à l'Osteria dell'Arco. Il y a une sommelière qui est une poetesse. Je ne bois pas beaucoup mais rien que pour entedre ses explications je commendrais du vin🙂
Rappelons que cette étude est stupide, et ne reflète pas le travail d'un sommelier, pour faire bien il aurait fallu proposer plus de 3 vins a gouter en même temps dans un laps de temps court et sans étiquette.
La moins bonne chronique il me semble....j'adore majorité des autres mais celle-ci ne nous apprend rien. Peut-être que généreux peut dire...qui offre des émotions et sa richesse. On ne peut pas dire qu'un vin est juste : bon ou mauvais, gazeux ou plat. Croquant par contre....c'est bien un sommelier français qui a pu utiliser ce terme.
Si, elle apprend qu'au final, ces prétendus experts, au final, qu'il ne faut pas leur faire une confiance aveugle pour choisir un vin car au final, ils vendent surtout du spectacle. A quoi bon aller toujours plus loin dans les termes pour décrire un vin, de toute facon, n'ayant pas le même palais, on le découvrira tous d'une facon différente.
Pire chronique pour moi pour l’instant. Le vin est vivant et les vins peuvent être très variés. Utiliser un vocabulaire imagé, synthétique (non un sommelier ne va pas décrire chaque vin en 6 phrases ce qu’il pourrait faire en 6 mots, sauf si le client demande des précisions) fait parti de son métier. Poser une question n’a jamais tuer personne. Et si le snobisme est un mal trop présent dabs la sommellerie, il l’est peu par rapport au mépris et à l’ignorance chez la clientèle.