Radio Vinyle #25 vous propose cet entretien de Françoise Hardy au micro de Didier Varrod, au coeur de la discothèque de Radio France. Une sélection musicale de disques vinyles qui retrace les coups de coeur et le parcours de l'artiste.
Je suis restée sans voix à l’écoute de cette vidéo !! Franchement quel talent, quelle diction ! Une mélodiste et un tel génie dans l’écriture. Madame à peine envolée votre voix me manque déjà. Je vous écoute en boucle. Encore merci pour tout 🥲💐
Didier Varrot est toujours en total respect avec ses invités. Une grande connaissance musicale, un expert. Merci à lui. Et Françoise Hardy, que dire? Je l’aime tellement
Франсуаза певица замечательная,красивый голос,своя манера исполнения прекрасных песен,прекрасная француженка и сын у нее красивый ,и талантливый.здоровья Вам крепкого,Франсуаза!
Thank heaven for the hard drive......apart from the packaging , vinyl is overrated..... Especially for those somewhat older and vinyl becomes too much hassle , the hard drive was heaven sent....
Ah moi aussi j'avais découvert au collège si je me souviens bien on avait fait un lien avec le poème "Mignonne ,allons voir si la rose" de Pierre de Ronsard et tout comme toi j'étais l'un des seuls à aimer dommage d'ailleurs ...
0:00-0:20 : Elle s'en foutait des labels de disques ? Je me demande quand même quelle tête elle aurait fait si Didier Varrod avait, peut-être pour rigoler, décidé de lui faire écouter des disques de la marque AB Productions (Label de disques qui a charmé mon enfance, mais dont je doute que ce qui y était produit plaisait à Françoise Hardy. Même si je pense qu'elle connaissait ce label de disques lancé par Jean-Luc Azoulay et Claude Berdat au moins pour les chanteuses Emmanuelle (Mottaz) qui chantait "Premier baiser", chanson qui, à sa sortie en 1986, fut suspectée d'être un plagiat volontaire de "Tous les garçons et les filles" (Le producteur Jean-Luc Azoulay, qui écrivait et composait les chansons sous le pseudonyme Jean-François Porry était fan des années 60) au point qu'à l'écoute, Françoise Hardy elle-même avait essayé d'intenter un procès pour plagiat avant d'y renoncer pour ne pas gêner la carrière de la jeune chanteuse alors balbutiante, et ensuite Hélène (Rollès) qui, il est vrai, avait certains points communs physiques avec Françoise Hardy quand elle était jeune (Et en plus Hélène a joué dans "Le mouton noir" avec Jacques Dutronc), et dont le producteur Jean-Luc Azoulay a fait, à la fin des années 80 / Début des années 90, une sorte de remake un peu plus mièvre de la Françoise Hardy des années 60, à travers des chansons romantiques comme "Dans ses grands yeux verts", "Je m'appelle Hélène", mais surtout "Pour l'amour d'un garçon" qui s'inspire directement pour le titre de celui d'une chanson de Françoise Hardy de 1963 ("L'amour d'un garçon")). Je ne suis pas sûr que les productions AB étaient du goût de Françoise Hardy, ou alors vous imaginez si Didier Varrod lui avait fait écouter des chansons de la production Adès (Qui éditait dans les années 70 / 80 énormément de 33 tours et de 45 tours de chansons de génériques de dessins animés) ? Ou alors, des disques kitschs de la production Carrère (Bon, là, elle connaissait Sheila qui a été la première artiste signée par Claude Carrère. Mais ensuite, même si je sais que ses propres disques ont été distribués par Carrère à la fin des années 80, je me doute que les artistes lancés par ce label Ringo, Karen Cheryl, Linda De Suza, Stéphanie de Monaco étaient de son goût. Ou alors, si Radio France peut aussi posséder des disques francophones juste sortis en Belgique à leur époque, je me doute que Françoise Hardy aurait apprécié que Didier Varrod lui fasse écouter des disques produits par le label Gamm Records. Un label de disques belge (Région wallonne) que j'ai découvert grâce à la webradio Bide et Musique, et dont la qualité des productions, entre 1979 et 1991 en gros, laissait toujours à désirer !!!
. *ce qui a toujours gêné Françoise (et elle l'a souvent dit !), ce sont les impôts horribles qu'elle a dû payer pour faire construire des écoles et des hôpitaux - ça la rendait malade !*
Tout le monde peut se tromper. Et là elle se trompe lourdement. Un peu étonnant d'ailleurs, et triste de la part de cette femme intelligente et sensible.