Un peu d'argent vous construisez un lycée, mettez du béton sur la route, d'accord. Vous avez eu, non pas un peu d'argent mais beaucoup, vous avez construit combien d'écoles? Combien de route avez-vous livrées ?
Tu es médecin ? Ali n'avait pas de trouble ? Était-il en parfait état physique pour se présenter aux élections ? Où étaient tes expertises et ton art? Maboule, tu devrais avoir honte d'affirmer ça aujourd'hui.
Ah tu es paradoxal. Tu avoues les déboires du PDG et tu lapides encore le CTRI qui vient dire la vérité contre ce parti et tente de faire ce que vous n'avez pas pu faire en plus de 50 ans de règne
Ce post est destinés à l'ensemble des laudateurs zélés d'Oligui. Chers critiques de Bilie-By-Nze, excusez-moi, mais cela fait plus d’une année qu’on écoute que vous, malheureusement, force est de constater que vous n'êtes ni au niveau, ni sérieux et encore moins sincères. Vous voulez vous attirer les bonnes grâces des nouveaux maîtres du Gabon. C'est de la cupidtié de bas étage, puisqu'on sait que vous agissez par intérêt. Vous attendez quelque chose en retour ou vous voulez conserver le peu que vous avez déjà obtenu. Pour ma part, d'abord, je défendrai toujours le droit de monsieur ACBBN de s'exprimer et de donner son avis librement sur l'état de son pays. Surtout qu'il y a des choses à dire avec votre avant-projet de constitution qui nous ramène tristement au mandat présidentiel de 7 ans, avec des conditions d'éligibilité inatteignables, sans parler du régime politique unique dans le monde. Ensuite, pourquoi s'en prendre à Bilie-By-Nze uniquement, et pas aux autres 90% des pédégistes qui sont partout en bonne place autour d'Oligui (J.F. Ndongou, Mathias Otounga, 3M la Présidente honoraire de la CC, Monsieur Arthur LEMAI, etc.). Vous avez le droit de penser naïvement que l'absolution s'obtient par le silence ou la discrétion médiatique. Mais vous avez tort bien évidemment. Ceux qui ont fait pire que ACBBN ou ont occupé des postes plus importants dans le PDG ou d'autres structures continuent de nous diriger aujourd'hui, et vous ne dites rien. survivance du tribalisme ou haine personnelle, ou bien tous les deux.