C’est génial Brassens !!! Ton histoire me fait un peu penser à la mienne mes grands-parents ont acheté un appartement à Sète dans les années 1980 depuis cette époque ma famille et moi-même y allons chaque été en vacances à la mer 🌊 voilà comment j’ai grandi avec Georges Brassens dans les oreilles (et le cœur, aussi) dès l’âge de cinq ans
Le maître !!! Nous avons tous un "vieux Léon" (quelque soit le prénom)... le mien s'appelle Joseph...il est parti..il y a 27 ans...il est toujours ma voie..et, je pense souvent à lui...il était juste exceptionnel !!! Je t'aime papa !!!❤❤
Chanson de remords : Brassens à fait " pauvre Léon" car jeune avec ses copains il se moquait d'un accordéoniste de rue, il en eut des regrets et fit la chanson en appelant Léon l'accordéoniste inconnu . Dixit interview de l'artiste. Pensée pour votre Papa !
Merci Nanou pour les pieds n'y avais pris garde sincèrement merci me voici moins ignorant que ce matin au réveil,Marc971 FWI. Mon défi quotidien à chacun son défi.
Y'a tout à l'heure, quinze ans de malheur Mon vieux Léon Que tu es parti au paradis de l'accordéon Parti bon train voir si le bastringue et la java Avaient gardé droit de cité chez Jéhovah Quinze ans bientôt que musique au dos Tu t'en allais Mener le bal à l'amicale des feux follets En cet asile, par Sainte-Cécile pardonne-nous De n'avoir pas su faire cas de ton biniou C'est une erreur mais les joueurs d'accordéon Au grand jamais on ne les met au Panthéon Mon vieux, tu as dû te contenter du champ de navets Sans grandes pompes et sans pompons Et sans "ave" Mais les copains suivaient le sapin le coeur serré En rigolant, pour faire semblant de ne pas pleurer Et dans nos cœurs pauvre joueur d'accordéon Il fait ma foi beaucoup moins froid qu'au Panthéon Depuis mon vieux qu'au fond des cieux tu as fait ton trou Il a coulé de l'eau sous les ponts de chez nous Les bons enfants de la rue de Vanves à la Gaîté L'un comme l'autre au gré des flots furent emportés Mais aucun d'eux n'a fait fi de son temps jadis Tous sont restés du parti des myosotis Tous ces pierrots ont le cœur gros Mon vieux Léon En entendant le moindre chant d'accordéon Quel temps fait-il chez les gentils de l'au-delà? Les musiciens ont-ils enfin trouvé le "la"? Et le petit bleu, est-ce que ça ne le rend pas meilleur? D'être servi au sein des vignes du Seigneur Si de temps en temps une dame d'antan se laisse embrasser Sûrement papa que tu regrettes pas d'être passé Et si le bon Dieu aime tant soit peu l'accordéon Au firmament tu te plais sûrement Mon vieux Léon. There will soon have been fifteen unhappy years, dear old Léon, since you left to go to the heaven of the accordion, getting well under way to see whether local dance music and the modern java had kept domiciliary rights at Jehovah's place. Fifteen years soon, since, with your music in your backpack, you went away to run the show at the association of ghost candles. In this home, by Saint Cecilia, forgive us for not having given sufficient respect to your bagpipes. It's a mistake, but acordion players never, ever, do we put them in the Panthéon Old man, you have had to be content with a plot in cheap ground with no great fanfare, no-one tarted up, and no Ave. But your friends followed the pinewood with aching hearts, laughing to make it seem that they weren't crying and in our hearts, poor accordion player it is, well, much less cold than in the Panthéon. Old boy, since you found yourself a place on the far side of the heavens there has flowed some water beneath the bridges at our place. The good people from between Vanves Street and la Gaité Street, each as much as the others, were swept away at the mercy of the floods, but not one of them has forgotten about his past times, all have stayed in the forget-me-not camp. All these guys are heavy hearted dear old Léon when they hear the least bit melody from an accordion. How's the weather for the good people of the beyond? The musicians, have they at last found the A? And that cheap plonk, doesn't it make it taste better to be served in the vineyards of the Lord? If now and again a lady from olden days lets herself be kissed surely, old man, you won't mind being dead, and if the good God likes, even the slightest bit, accordion music, you surely like being in heaven dear old Léon.
je pense à mon père , joueur d' accordéon parti trop tôt , je voudrais tant qu'il t'accompagne la haut , merci pour ce moment de bonheur que tu me donne
Sans doute l'une des compositions les plus abouties du grand Georges; la subtilité et l'élégance de la mélodie complètent celles des paroles. Un pur chef-d'oeuvre, ... méconnu ..
Oui je trouve qu'il n'est pas représenté a ça juste valeur dans les médias,mais finalement c'est peut-être notre petit trésor a nous,comme quoi faire un milliard de vue ne présage pas d'un succès immortel,pendant que mes amis d'enfance a l'époque écouter du rap a tu tête moi j'écoutais le tonton et ma grise cité ce muée en vaste prairies verdoyantes
Brassens sa poésie, tout comme sa musique, il s'en servait comme ingrédients pour en faire des chansons. Et l'art qu'il pratiquait si bien s'appelait chanson. Même si on nous dit "art mineur", n'en n'ayons pas honte, si nous aimons Brassens c'est la chanson que nous aimons. Ce qui n'empêche pas d'apprécier aussi Rimbaud, mais c'est autre chose, un autre art. Et en général le public poésie n'est pas le public chanson.
Un amoureux de la langue Française qui a su la sublimer dans ses chansons. il doit se retourner dans sa tombe quand il voit le massacre de celle-ci par nos élites.
J'ai remarqué un clin d'oeil de Brassens à la Bretagne. Il se sert du mot biniou pour arranger une rime en ou... C'est assez drôle pour parler d'accordéon!
Y'a tout à l'heure Quinze ans d'malheur Mon vieux Léon Que tu es parti Au paradis D'l'accordéon Parti bon train Voir si l'bastrin- Gue et la java Avaient gardé Droit de cité Chez Jéhovah Quinze ans bientôt Qu'musique au dos Tu t'en allais Mener le bal À l'amicale Des feux follets En cet asile Par Sainte Cécile Pardonne-nous De n'avoir pas Su faire cas De ton biniou C'est une erreur Mais les joueurs D'accordéon Au grand jamais On ne les met Au Panthéon Mon vieux tu as dû T'contenter du Champ de navets Sans grandes pom- Pes et sans pompons Et sans ave Mais les copains Suivaient l'sapin Le coeur serré En rigolant Pour faire semblant De n'pas pleurer Et dans nos coeurs Pauvre joueur D'accordéon Il fait ma foi Beaucoup moins froid Qu'au Panthéon Depuis mon vieux Qu'au fond des cieux Tu as fait ton trou Il a coulé De l'eau sous les Ponts de chez nous Les bons enfants D'la rue de Van- Ves à la Gaîté L'un comme l'au- Tre au gré des flots Furent emportés Mais aucun d'eux N'a fait fi de Son temps jadis Tous sont restés Du parti des Myosotis Tous ces pierrots Ont le coeur gros Mon vieux Léon En entendant Le moindre chant D'accordéon Quel temps fait-il Chez les gentils De l'au-delà Les musiciens Ont-ils enfin Trouvé le la Et le p'tit bleu Est-ce que ça n'le Rend pas meilleur D'être servi Au sein des vi- Gnes du Seigneur Si d'temps en temps Une dame d'antan S'laisse embrasser Sûr'ment papa Que tu r'grettes pas D'être passé Et si l'bon Dieu Aime tant soit peu L'accordéon Au firmament Tu t'plais sûr'ment Mon vieux Léon
Quel chef-d'œuvre que cette formidable java. Nul autre que Brassens n'a su accorder texte et musique d'une façon si parfaite ni créer des mondes si parfaitement poétiques.
Non content d'être puant de suffisance, tu es en plus d'une ignorance absolue puisque ni les paroles et ni la musique ne sont de Brassens. Alors, STP, retourne dans cet abime d'ignorance et de nullité dont tu n'es en fait jamais sorti. L'archétype du pôv mec qui se la pète.
Sans en avoir l'air, à force d'inspiration, de travail et de ténacité, il a été capable de bâtir une œuvre impérissable. Brassens, dans la lignée de Jean de la Fontaine, est voué à devenir le grand classique de la poésie française du XXe siècle.
Mais qui es tu, toi, petit prétentieux puant de suffisance Enrique, pour juger l'oeuvre de Brassens ? Et pour faire une comparaison merdique ave La Fontaine. Sans en avoir l'air, à force de prétention, tu as été capable d'écrire un des commentaires les plus nuls de l'histoire de RU-vid. Continue à lire tes petits magazines de merde et, STP, laisse Brassens et La Fontaine à des personnes qui sont en mesure de comprendre ce qui, visiblement, t'a complètement échappé. Habituellement, je ne tire pas sur les ambulances intellectuelles (même si c'est un mot qui ne te concerne pas), mais pour les connards prétentieux, je peux faire parfois une exception.
Pourquoi voulez-vous le refourguer à la poésie ? Brassens est un grand, un très grand dans cet art qui s'appelle : Chanson, un art à part entière. Et, pour être ce grand, Brassens qui s'est toujours senti très bien dans cet at (à tel point que venant de la poésie, il s'était recyclé dans la chanson après avoir déclaré qu'il ne serait jamais Apollinaire), n'a pas besoin qu'on le déplace dans un autre supposé supérieur. Sachant d'ailleurs que le public poésie (qui n'est pas le public chanson) n'accorde pas du tout la même place aux chanteurs qui s'aventurent à marcher sur leurs plates-bandes. Tout au plus leur accordent t-ils un strapontin.
Magnifique, comme toujours... Des mots choisis, articulés, conformes au rythme.... Et notre Georges qui se dit sans foi envisage toujours l'"après" avec Lui !
Je me souviens d'une de ses interviews où on lui parlait de son manque de foi. Il avait répondu qu'il voudrait bien l'avoir, mais qu'il y avait des tas de choses en lesquelles il ne croirait jamais, qu'il n'admettait pas, par exemple, l'existence de l'enfer. Il disait que personne ne méritait l'enfer. Le journaliste lui avait alors demandé : "Pas même Hitler ?" Sa réponse : "Mais non. Hitler était un malade (sic)." Cela m'avait beaucoup plu, car je pensais, je pense de même. J'ai beau m'efforcer de séparer l'oeuvre d'un artiste, dans quelque domaine que ce soit, de sa vie privée et de ses idées, j'avoue que cela m'avait vraiment fait plaisir, quand j'avais entendu ça, que ce chanteur/auteur/compositeur que j'aimais beaucoup pense comme moi !
Coucou Jojo c'est à toi que je pense chaque que j'écoute cette chanson, que j'ai découvert le jour d'après ton enterrement, j'avais l'impression qu'il te décrivait des pieds à la tête et purée à chaque je pleure mon Vieux JOJO
Ma préférée d'un artiste que j'aimais, que j'aime beaucoup. C'est tellement bien écrit sur un sujet qui nous concerne et nous touche tous beaucoup, et comme une belle java côté musique, si plein d'amitié, d'humour, d'émotion, d'espoir♥…
Oh, oui ! Il arrive qu'on évoque un deuil en riant nerveusement (ou pudiquement.) Il y a toujours ou bien souvent alors un(e) imbécile qui va vous sortir : "Et ça te fait rire ?" ou "Comment peux-tu rire ? (ou pouvez-vous…)" Très sérieusement ou l'air outré… Merci, Brassens♥ !
Les bons enfants de la rue de Vanves à la Gaîté... Ah ! Montparnasse, Bobino, l impasse Florimont où vous avez vécu si longtemps chez Jeanne et Marcel. Ai la chance d habiter tout près et ne manque jamais, à chaque passage, d avoir une pensée émue devant votre portrait géant (qualificatif inventé pour vous) situé à l entrée de ladite impasse. Salut l Artiste !!!!
Mon vieux Shafic, l'au delà t'a rattrapé trop tôt nous avons à peine eu le temps de faire connaissance. Mais j'ai l'impression de t'avoir toujours connu et de te connaître pour toujours. Je continue malgré tout de faire connaissance avec toi. A la tienne.
Je suis français, et ce n'est pas pour me vanter ou brandir ma nationalité, mais sincèrement, je n'ai jamais trouvé pareil poète dans d'autres langues.
Simplement adorable!! Bonjour Tonton Georges Brassens, bonjour Fabrizio De André, qui sait quelles chansons vous chantez ensemble là-haut, au paradis! J'aimerais être là ... mais, comme l'a dit le poète, ... "S'il faut aller au cimetière J'prendrai le chemin le plus long"
Ciel de rêve J'ai rêvé, l'autre nuit, D'un Coin de Paradis, (Dieu sait s'il existe) Où Le Vieux Léon, À l'accordéon, Enflammait la piste. J'ai vu Oncle Archibald Heureux d'ouvrir le bal (Finies les chicanes) Puis, boitant, un Roi Emboîtant le pas De la Cane de Jeanne. Et voilà qu'aussitôt Apparurent Margot Hélène et Princesse, Le bon Don Juan Les Amours d'Antan Et tant d'autres en liesse. Quel retour de bâton ! (Ou de faux, cher Tonton ?) Que nul ne cafarde, C'est Le Fossoyeur Qui a, tout à l'heure, Occis la Camarde. On entendit Devos Au bord de la vraie fosse, (Sceptique somme toute) Dire aux Copains d'alors "C'est clair, on s'aima fort ... Et sans l'ombre d'un doute " Mes myosotis en main Je voulais, au matin, M'inviter à la noce Lorsque retentit -(Quelle sonnerie !!! ) Mon réveil ... of course ...
Paroles de la chanson Heureux Qui Comme Ulysse par Georges Brassens Heureux qui comme Ulysse A fait un beau voyage Heureux qui comme Ulysse A vu cent paysages Et puis a retrouvé après Maintes traversées Le pays des vertes années Par un petit matin d'été Quand le soleil vous chante au cœur Qu'elle est belle la liberté La liberté Quand on est mieux ici qu'ailleurs Quand un ami fait le bonheur Qu'elle est belle la liberté La liberté Avec le soleil et le vent Avec la pluie et le beau temps On vivait bien contents Mon cheval, ma Provence et moi Mon cheval, ma Provence et moi Heureux qui comme Ulysse A fait un beau voyage Heureux qui comme Ulysse A vu cent paysages Et puis a retrouvé après Maintes traversées Le pays des vertes années Par un joli matin d'été Quand le soleil vous chante au cœur Qu'elle est belle la liberté La liberté Quand c'en est fini des malheurs Quand un ami sèche vos pleurs Qu'elle est belle la liberté La liberté Battus de soleil et de vent Perdus au milieu des étangs On vivra bien contents Mon cheval, ma Camargue et moi Mon cheval, ma Camargue et moi
Quand on songe qu’on avait dans le même temps Brel, Brassens, Ferrat, Montand, Salvador, non mais quel quatuor ou quintette peut-on aligner aujourd’hui qui puisse un tant soit peu être comparé ? Mon Seigneur, franchement, en chanson et je ne parle pas du cinéma où c’est kif-kif comment ne pas être rétro ? Je pose la question qui ulcérera assurément certains jeunots tout épris de cris et bruits dès le berceau et vieux beaux qui veulent toujours être à la page… Mais bon, ceux-là mis à part, je pose la question…
@@nabreg5051 pas moi ,mettre Ferrat au même niveau que Brel ,ou pire que Mr Brassens ,c est déjà limite ,mais alors Montand ,c est à mourir de rire .Montand n a jamais écrit ni un vers ,ni une note , c était juste un interprète qui a profité d un certain charme et de ses amitiés pour percer ,mais le comparer au maître Brassens c est n importe quoi
J'ai 23 ans et je me pose la même question.. On est passer de ces grands hommes aux rappeurs d'aujourd'hui ça me rends vraiment triste de n'avoir pas connu cette époque la.. J'échange volontier tout les rappeurs du monde rien que pour Brassens et De Funès en toute honnêteté
@@davidberreta7624 Mais je ne me limite pas, cher ami, aux ACI, j'aime tous les grands interprètes de la chanson française et Montand est le plus grand mais j'aurais aussi bien pu citer Fréhel, le plus beau timbre, Edith Piaf qui le plus marqué, Lucienne Boyer, Jacqueline François, le grand Charles bien entendu, les orfèvres qu'étaient les Frères Jacques... Mais j'ai opté ici pour ne citer que des grands noms qui étaient encore en activité dans les années 60 et 70 et sans souci de les citer tous. Mais j'explique votre remarque car en dehors de quelques uns comme Marcel Amont, tous les grands interprètes ont disparu des médias avec l'arrivée des yéyés et la colonisation culturelle de nôtre pays par l'anglo-saxon qui n'a cessé de croître. N'ont survécu que les ACI parce qu'ils étaient géniaux et encore seuls les plus grands...
C'est ahurissant comme tout est parfait dans cette chanson. Pas une syllabe à changer, pas un accord à faire bouger. Le moment à 0:05 avec la reprise du thème en plus grave, je sais même pas dire ce que ça me fait. Le plus dur pour moi étant de classifier avec Sound of Silence. Ou avec Let It Be. Je pense que je ne peux pas.
Salut chef..t le seul qui mérite une réponse pour moi.... Pr moi la meilleure c'est les "oiseaux de passage " Et sinon qd c chanter par Maxime...pfff .. c'est encore une autre dimension..a Ciao
Salut NOTRE TONTON... Putain qd on voit skait devenu ton rap à l'ancienne La tristesse des rappeux de maintenant bordel..a part Wapalek jvois que des ptits merdeux Wesh Wesh Sinon TONTON a jamais dans mon cœur !!! ( Sans oublier le cousin RENAUD ) ❤ 🤍
