J’ai appris que Brassens a écrit cette chanson suite à la visite faite en prison au frère de Jeanne qui je crois était résistant. Il parait que ce ce dernier lui a dit : « on ne va pas nous tuer pour si peu Georges? » . Brassens a été marqué par cette visite. paix à leur âme.
Oui c'est pas leurs enfants Normal il ya péril en la demeure bientôt Mathusalem les sectes de toutes sortes ressemblente d'accord mais de manière invisible l'âge d'or approche les tête vont tomber au vous les boute feux on vous cède le pas
Une chanson avant-gardiste du génie du Georges Brassens d'actualité aujourd'hui l prêche le Mart doivent se dire en aparté la question se pose mourir pour des idées mais lequel encore si il suffisait de quelques hécatombe mourons pour nos idées même de morts lente
"dans cent ans on la chantera encore" C'est vrai... par contre dans cent ans tout le monde aura oublié l'énergumène de l'Élysée et ses JO de Paris à la c...
Pas vraiment des facilités. Brassens était avant tout un gros travailleur qui s'est imprégné; surtout pour la forme, d'autres nombreux génies venus avant lui.
@@badinoubadinou3774 Mais le prix Nobel de littérature comme les autres prix Nobel, a pour mission de couronner une oeuvre qui a un impact sur la paix dans le monde. Tous les prix Nobel qu'ils soient de littérature ou autre sont des prix "de la paix". Ceci dit la chanson et la littérature, c'est pas le même art. S'il y avait un prix Nobel "chanson", alors.... pourquoi pas ? mais ce n'est pas le cas. De toute façon Brassens ne milite pas "pour la paix", il milite contre la connerie. et je crois savoir qu'il n'était pas friand de prix.
Ce qui est une erreur. S'il y avait un Nobel "Chanson" ce serait OK, mais ce n'est pas le cas. Bob Dylan est un grand de la chanson (pas de la littérature) Et la chanson justement pace qu'il existe des Dylan, Brassens, Cohen etc. ne devrait plus avoir besoin de la caution "littérature" pour être reconnue pour ce qu'elle est. (En France depuis le XVième siècle, un art à part entière Aujourd'hui c'est à la musique qu'on veut la rattacher. tous les chanteurs y compris les plus médiocres se veulent dans la musique (se dire dans l'art majeur c'est tellement plus valorisant. QUant au public qui marche il se sent lui aussi valorisé) Brassens avait une chanson pour tous ces gens "Le petit joueur de flûteau" A noter qu'avant de devenir chanteur il s'était essayé dans la poésie. Ce n'est qu'après aovoir constaté (et c'est lui qui l'a dit) qu'il ne serait jamais le nouvel Apollinaire, qu'il s'est orienté vers la chanson. et qu'il est devenu dans cet art le géant que l'on connait@@YSB-ij1jb
Dès que j'entends du Brassens, je ne peux retenir mes larmes, car ça me rappelle mon défunt Papa pour qui c'été son chanteur préféré et qu'il écoutait toujours en boucle, et à l'époque que je comprenais pas car bien trop jeune et inconscient..
une chanson magnifique et criante de de vérité comme toute les chanson de Georges Brassens. un libertaire qui avait compris que seul le temps ,la connaissance, l'apprentissage, l'éducation ,la connaissance de l'autre pouvait faire avancé les choses. ses textes sont si emprunt a la fois de vérité et de poésie que toute humain censé ne peut qu'apprécier sont œuvre. cet homme été un grand homme . j'ai un putain de grand respect pour lui. il manque cruellement a notre époque. il aurait de quoi écrire !!!
Pas d'accord du tout, on peut vraiment dire que depuis sa mort des chanteurs ont fait école. Et lorsqu'on entend ceux qui font la chanson à texte d'aujourd'hui, presque tous avouent devoir quelque chose à Brassens. Sans parler que rien qu'en France 'il existe au moins une trentaine de groupes professionnels ou chanteurs qui reprennent Brassens. Et qu'à l'étranger..... il est chanté sur tous les continents. Après lorsque la chanson française "à texte" possède dans ses rangs des Gilbert Laffaille, Michèle Bernard, Serge Utge-Royo, Christian Paccoud, Manu Galure, CHloé Lacan, Maron Rouxin, Yvan Dautin, les Têtes Raides, H F Thiéfaine, Romain Didier, Philippe Forcioli, Clément Bertrand, Véronique Pestel, Louis Capart, Claude Sémal, Lavilliers, Gérard Manset, Dick Annegarn, Charlélie Couture, Bernard Joyet, Alexis HK, Thomas Pitiot, Imbert-Imbert, Miche Boutet, la Rue Kétanou...... et 50 autres de cette envergure, même si Brassens nous manque (comme Victor Hugo nous manque), on ne peut vraiment pas se désoler sur son sort.
@@marianneschlabertz1296 Toute la chanson à texte d'hier et d'aujourd'hui ! Frédérik Mey ne fait pas exception (même s'il ne chante plus chez nous qu'à de rares occasions), comme Brassens et ses contemporains étaient eux-aussi redevable à Trénet.
@@djzoiseau9290 En fait, l'amateur de chanson qui ne peut plus compter sur les diffuseurs télé ou radio (car noyautés par le commercial) pour les connaître, se retrouve dans la situation des autres amateurs d'art. Est-ce que l'amateur de sculpture a besoin de hit-parade et démissions de variété pour découvrir les grands sculpteurs susceptibles de l'intéresser ? Il existe 2 ou 3 revues spécialisées faites par des passionnés et des connaisseurs qui permet de découvrir les artistes : Hexagone, Je chante, Francofans...
Attention t'as dit "Tonton" tu vas te faire spam par la guestapo du net !! Un jour j'ai dit ça sur une vidéo ; on m'a dit : tu l'connais t'es de ça famille ? Irrespect sur toi 😅 J'ai halluciné 😮.....
Toutes ces chaussons resteront indémodable et beaucoup d'entre elles sont et resteront toujours d'actualité surtout de nos jours bravo George tu seras toujours et à jamais dans les esprits des personnes qui savent écouté la musique
Mourir pour des idées, l'idée est excellente Moi j'ai failli mourir de ne l'avoir pas eue Car tous ceux qui l'avaient, multitude accablante En hurlant à la mort me sont tombés dessus Ils ont su me convaincre et ma muse insolente Abjurant ses erreurs, se rallie à leur foi Avec un soupçon de réserve toutefois Mourons pour des idées, d'accord, mais de mort lente, D'accord, mais de mort lente Jugeant qu'il n'y a pas péril en la demeure Allons vers l'autre monde en flânant en chemin Car, à forcer l'allure, il arrive qu'on meure Pour des idées n'ayant plus cours le lendemain Or, s'il est une chose amère, désolante En rendant l'âme à Dieu c'est bien de constater Qu'on a fait fausse route, qu'on s'est trompé d'idée Mourons pour des idées, d'accord, mais de mort lente D'accord, mais de mort lente Les saint jean bouche d'or qui prêchent le martyre Le plus souvent, d'ailleurs, s'attardent ici-bas Mourir pour des idées, c'est le cas de le dire C'est leur raison de vivre, ils ne s'en privent pas Dans presque tous les camps on en voit qui supplantent Bientôt Mathusalem dans la longévité J'en conclus qu'ils doivent se dire, en aparté "Mourons pour des idées, d'accord, mais de mort lente D'accord, mais de mort lente" Des idées réclamant le fameux sacrifice Les sectes de tout poil en offrent des séquelles Et la question se pose aux victimes novices Mourir pour des idées, c'est bien beau mais lesquelles ? Et comme toutes sont entre elles ressemblantes Quand il les voit venir, avec leur gros drapeau Le sage, en hésitant, tourne autour du tombeau Mourons pour des idées, d'accord, mais de mort lente D'accord, mais de mort lente Encor s'il suffisait de quelques hécatombes Pour qu'enfin tout changeât, qu'enfin tout s'arrangeât Depuis tant de "grands soirs" que tant de têtes tombent Au paradis sur terre on y serait déjà Mais l'âge d'or sans cesse est remis aux calendes Les dieux ont toujours soif, n'en ont jamais assez Et c'est la mort, la mort toujours recommencée Mourons pour des idées, d'accord, mais de mort lente D'accord, mais de mort lente O vous, les boutefeux, ô vous les bons apôtres Mourez donc les premiers, nous vous cédons le pas Mais de grâce, morbleu! laissez vivre les autres! La vie est à peu près leur seul luxe ici bas Car, enfin, la Camarde est assez vigilante Elle n'a pas besoin qu'on lui tienne la faux Plus de danse macabre autour des échafauds! Mourons pour des idées, d'accord, mais de mort lente D'accord, mais de mort lente
Ce sera toujours une de mes préférées de sa grande oeuvre de grand troubadour moderne. J'ai l'impression qu'il nous parles directement, comme un message qui est adressé au monde. Tu es une composante de ma culture et comme d'autres artistes de génie, est et demeure intemporel à mes yeux de mortel
Mourir pour des idées L'idée est excellente Moi j'ai failli mourir de ne l'avoir pas eue Car tous ceux qui l'avaient Multitude accablante En hurlant à la mort me sont tombés dessus Ils ont su me convaincre Et ma muse insolente Abjurant ses erreurs se rallie à leur foi Avec un soupçon de déserve toutefois Mourons pour des idées, d'accord, mais de mort lente D'accord, mais de mort lente Jugeant qu'il n'y a pas Péril en la demeure Allons vers l'autre monde en flânant en chemin Car, à forcer l'allure Il arrive qu'on meure Pour des idées n'ayant plus cours le lendemain Or, s'il est une chose Amère, désolante En rendant l'âme à Dieu, c'est bien de constater Qu'on a fait fausse route, qu'on s'est trompé d'idée Mourons pour des idées, d'accord, mais de mort lente D'accord, mais de mort lente Les Saint Jean bouche d'or Qui prêchent le martyre Le plus souvent d'ailleurs, s'attardent ici-bas Mourir pour des idées C'est le cas de le dire C'est leur raison de vivre, ils ne s'en privent pas Dans presque tous les camps On en voit qui supplantent Bientôt Mathusalem dans la longévité J'en conclus qu'ils doivent se dire En aparté, "mourons pour des idées, d'accord, mais de mort lente D'accord, mais de mort lente" Des idées réclamant Le fameux sacrifice Les sectes de tout poil en offrent des séquelles Et la question se pose Aux victimes novices Mourir pour des idées, c'est bien beau mais lesquelles? Et comme toutes sont entre elles ressemblantes Quand il les voit venir Avec leur gros drapeau Le sage, en hésitant Tourne autour du tombeau, "mourons pour des idées, d'accord, mais de mort lente D'accord, mais de mort lente" Encore s'il suffisait De quelques hécatombes Pour qu'enfin tout changeât, qu'enfin tout s'arrangeât Depuis tant de "grands soirs" que tant de têtes tombent Au paradis sur terre, on y serait déjà Mais l'âge d'or sans cesse Est remis aux calendes Les dieux ont toujours soif, n'en ont jamais assez Et c'est la mort, la mort Toujours recommencée, mourons pour des idées, d'accord, mais de mort lente D'accord, mais de mort lente Ô vous, les boutefeux Ô vous les bons apôtres Mourez donc les premiers, nous vous cédons le pas Mais de grâce, morbleu! Laissez vivre les autres! La vie est à peu près leur seul luxe ici-bas Car, enfin, la Camarde Est assez vigilante Elle n'a pas besoin qu'on lui tienne la faux Plus de danse macabre Autour des échafauds, mourons pour des idées, d'accord, mais de mort lente D'accord, mais de mort lente
Merci pour le texte 😺 . Quand il dit Les dieux ont toujours soif en ont jamais assez 😸. Moi je chantais les Vieux ont toujours soif j ai vite modifié. 😸😺😿
On m'a dit tu es trop jeune pour connaître toutes ces paroles part cœur, 35 ans,,, j ai dis c est impossible ya tellement d Allégories que on les interprètes chaque jour autrement,,
Je le connaissait avec son répertoire de chanson lente et triste là je le découvre avec mourir pour des idées, orage ect je le connais mieux maintenant grâce à VOUS et avez une tonne de belle chanson
Effectivement, toujours d'actualité. Je n'y croyais pas quand j'étais jeune, mais à présent que la vie a passé, je reconnais qu'avec l'expérience, beaucoup de mes idées ont changé.
De mort très très lente alors..... La tombe buissonnière, merci tonton jojo, "Et même à la grande rigueur ne pas mourir du tout" Tu es vivant Cher poète.🌞
Ca été longtemps le cas ! Hélas les idéologues de la bien-pensance du Ministère de l'Education nationale sont passés par là... Avec l'avènement du wokisme et le terrorisme latent de l'écriture inclusive, Brassens n'est pas prêt de revenir dans les manuels de nos chers enfants, d'où qu'ils viennent !
@@SirKerRidhwan ahah vous vous réclamez de Brassens mais vous représentez tout ce qu'il rejette dans ses chansons. La réaction, la peur fasse a des idées qui ne sont pas les vôtres. Sans doute à l'époque de l'abolition de la la peine de mort vous auriez trouvé cette idée trop woke pour vous... quelle ironie
❤Mourir pour des idées L'idée est excellente Moi j'ai failli mourir de ne l'avoir pas eue Car tous ceux qui l'avaient Multitude accablante En hurlant à la mort me sont tombés dessus Ils ont su me convaincre Et ma muse insolente Abjurant ses erreurs se rallie à leur foi Avec un soupçon de réserve toutefois MOURONS POUR DES IDÉES d'accord, mais de mort lente, D’accord, mais de mort lente. Jugeant qu’il n’y a pas / Péril en la demeure Allons vers l’autre monde / En flânant en chemin Car, à forcer l’allure / Il arrive qu’on meure Pour des idées n’ayant / Plus cours le lendemain. Or si l’est une chose / Amère, désolante En rendant l’âme à Dieu / C’est bien de constater Qu’on a fait fausse route / Qu’on s’est trompé d’idée : Mourons pour des idées, d’accord, mais de mort lente, D’accord, mais de mort lente. Les Saints Jean bouche d’or / Qui prêchent le martyre Le plus souvent, d’ailleurs / S’attardent ici bas Mourir pour des idées / C’est le cas de le dire C’est leur raison de vivre / Ils ne s’en privent pas. Dans presque tous les camps / On en voit qui supplantent Bientôt Mathusalem / Dans la longévité J’en conclus qu’ils doivent / Se dire, en aparté : Mourons pour des idées, d’accord, mais de mort lente, D’accord, mais de mort lente Des idées réclamant / Le fameux sacrifice Les sectes de tout poil / En offrent des séquelles Et la question se pose / Aux victimes novices : Mourir pour des idées / C’est bien beau, mais lesquelles ? Et comme toutes sont / Entre elles ressemblantes Quand il les voit venir / Avec leur gros drapeau Le sage en hésitant / Tourne autour du tombeau Mourons pour des idées, d’accord, mais de mort lente, D’accord, mais de mort lente. Encore s’il suffisait / De quelques hécatombes Pour qu’enfin tout changeât / Qu’enfin tout s’arrangeât ! Depuis tant de « grand soir » / Que tant de têtes tombent Au paradis sur terre / On y serait déjà. Mais l’âge d’or sans cesse / Est remis aux calendes Les Dieux ont toujours soif / N’en ont jamais assez Et c’est la mort, la mort / Toujours recommencée Mourons pour des idées, d’accord, mais de mort lente, D’accord, mais de mort lente. O vous les boutefeux / Ô vous les bons apôtres Mourez donc les premiers / Nous vous cédons le pas Mais, de grâce, morbleu / Laissez vivre les autres La vie est à peu près / Leur seul luxe ici bas. Car enfin, la camarde / Est assez vigilante Elle n’a pas besoin / Qu’on lui tienne la faux Plus de danse macabr’ / Autour des échafauds Mourons pour des idées, d’accord, mais de mort lente, D’accord, mais de mort lente.
"Mourir pour des idées L'idée est excellente Moi j'ai failli mourir de ne l'avoir pas eue Car tous ceux qui l'avaient Multitude accablante En hurlant à la mort me sont tombés dessus Ils ont su me convaincre Et ma muse insolente Abjurant ses erreurs se rallie à leur foi Avec un soupçon de réserve toutefois Mourons pour des idées, d'accord, mais de mort lente D'accord, mais de mort lente Jugeant qu'il n'y a pas Péril en la demeure Allons vers l'autre monde en flânant en chemin Car, à forcer l'allure Il arrive qu'on meure Pour des idées n'ayant plus cours le lendemain Or, s'il est une chose Amère, désolante En rendant l'âme à Dieu, c'est bien de constater Qu'on a fait fausse route, qu'on s'est trompé d'idée Mourons pour des idées, d'accord, mais de mort lente D'accord, mais de mort lente Les Saint Jean bouche d'or Qui prêchent le martyre Le plus souvent d'ailleurs, s'attardent ici-bas Mourir pour des idées C'est le cas de le dire C'est leur raison de vivre, ils ne s'en privent pas Dans presque tous les camps On en voit qui supplantent Bientôt Mathusalem dans la longévité J'en conclus qu'ils doivent se dire En aparté, "mourons pour des idées, d'accord, mais de mort lente D'accord, mais de mort lente" Des idées réclamant Le fameux sacrifice Les sectes de tout poil en offrent des séquelles Et la question se pose Aux victimes novices Mourir pour des idées, c'est bien beau mais lesquelles? Et comme toutes sont entre elles ressemblantes Quand il les voit venir Avec leur gros drapeau Le sage, en hésitant Tourne autour du tombeau, "mourons pour des idées, d'accord, mais de mort lente D'accord, mais de mort lente" Encore s'il suffisait De quelques hécatombes Pour qu'enfin tout changeât, qu'enfin tout s'arrangeât Depuis tant de "grands soirs" que tant de têtes tombent Au paradis sur terre, on y serait déjà Mais l'âge d'or sans cesse Est remis aux calendes Les Dieux ont toujours soif, n'en ont jamais assez Et c'est la mort, la mort Toujours recommencée, mourons pour des idées, d'accord, mais de mort lente D'accord, mais de mort lente Ô vous, les boutefeux Ô vous les bons apôtres Mourez donc les premiers, nous vous cédons le pas Mais de grâce, morbleu Laissez vivre les autres La vie est à peu près leur seul luxe ici-bas Car, enfin, la Camarde Est assez vigilante Elle n'a pas besoin qu'on lui tienne la faux Plus de danse macabre Autour des échafauds, mourons pour des idées, d'accord, mais de mort lente D'accord, mais de mort lente." Source : LyricFind Parolier: Georges Brassens
Bassens est sûrement l'athé croyant le plus respectable... Entre cette chanson et « la prière » il a une aisance à chanter et à dénier la religion avec une si telle beauté que vous êtes convaincu peu importe le thème.
Attention ,oui ," les dieux ont toujours soif " ...de notre sueur ,de nos larmes et de notre sang ... les vampires et cannibales ont encore partout ( ou presque) tous les pouvoirs .
@@jeanmariemelot je vais le breveté alors c'est Marie Jane qui déconne 🫢😵💫😁 j'entends très mal alors pour faire une boulette pareil sûrement 🫢😁 ces assez ressemblant dans la tonalité 🫢mais quand même singe et st jean c'est loin excuse moi je ris de môi bonne soirée 👍👍😁