Georges Brassens - Quatre-vingt-quinze pour cent (Audio Officiel) 

Tellement vrai, un régal les paroles des chansons de Mr Brassens .

...il avait absolument tout compris ... Immense respect !

Avec la liberation de la parole des femmes et a l'heure du feminisme, Georges avait raison.

Alalala.. Quelle homme ce Brassens..

Une personne qui écoute BRASSENS, n'est foncièrement pas une mauvaise personne. Elle est une âme qui aime les sons enchevétrés dans les syntaxes, de textes pensés et transtrits, avec liaisons bien à propos.

Brassens à atteint la perfection poétique et musicale

Que de la gentillesse, de l’humour et de l’amour pour les femmes ❤

Ce n'est pas demain la veille que l'on trouvera un autre monstre du verbe musical. BRASSENS l'icône du français. 🙏🇲🇫

Il na jamais menti ❤un des meilleurs un énergique anarchiste ❤

❤mon ami, mon 💓 maître, depuis 51 ans. Mon voisin de Sète.❤ R E S P E C T

Il a tout compris à la relationde couple! Et ce n'est pas vulgaire! Bravo!!!!

Cent fois sur cent tu resteras genial mon ami grand Georges

combien tu nous manques ......

Excellent merci...la vérité !

tu fais partie des meilleurs mon ami ! Repose en paix !

Magistral et immense Georges Brassens.

Merci Mr Georges,je découvre aujourd'hui cette magnifique chanson,excellent

Merci à Monsieur Brassens et merci pour le partage, superbe chanson

Pour ces quatre veingt quinze pour cent il a raison a cent pour cent ❤😢

Merci M. Brassens!

Merci ♥️

La femme qui possède tout en elle Pour donner le goût des fêtes charnelles La femme qui suscite en nous tant de passion brutale La femme est avant tout sentimentale Main dans la main les longues promenades Les fleurs, les billets doux, les sérénades Les crimes, les folies que pour ses beaux yeux l'on commet La transportent, mais Quatre-vingt-quinze fois sur cent La femme s'emmerde en baisant Qu'elle le taise ou le confesse C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses Les pauvres bougres convaincus Du contraire sont des cocus À l'heure de l'oeuvre de chair Elle est souvent triste, peuchère! S'il n'entend le cœur qui bat Le corps non plus ne bronche pas Sauf quand elle aime un homme avec tendresse Toujours sensible alors à ses caresses Toujours bien disposée, toujours encline à s'émouvoir Elle s'emmerde sans s'en apercevoir Ou quand elle a des besoins tyranniques Qu'elle souffre de nymphomanie chronique C'est elle qui fait alors passer à ses adorateurs De fichus quarts d'heure Quatre-vingt-quinze fois sur cent La femme s'emmerde en baisant Qu'elle le taise ou le confesse C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses Les pauvres bougres convaincus Du contraire sont des cocus À l'heure de l'oeuvre de chair Elle est souvent triste, peuchère! S'il n'entend le cœur qui bat Le corps non plus ne bronche pas Les "encore", les "c'est bon", les "continue" Qu'elle crie pour simuler qu'elle monte aux nues C'est pure charité, les soupirs des anges ne sont En général que de pieux mensonges C'est à seule fin que son partenaire Se croit un amant extraordinaire Que le coq imbécile et prétentieux perché dessus Ne soit pas déçu Quatre-vingt-quinze fois sur cent La femme s'emmerde en baisant Qu'elle le taise ou le confesse C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses Les pauvres bougres convaincus Du contraire sont des cocus À l'heure de l'oeuvre de chair Elle est souvent triste, peuchère! S'il n'entend le cœur qui bat Le corps non plus ne bronche pas J'entends aller bon train les commentaires De ceux qui font des châteaux à Cythère "C'est parce que tu n'es qu'un malhabile, un maladroit Qu'elle conserve toujours son sang-froid" Peut-être, mais si les assauts vous pèsent De ces petits m'as-tu-vu-quand-je-baise Mesdames, en vous laissant manger le plaisir sur le dos Chantez in petto Quatre-vingt-quinze fois sur cent La femme s'emmerde en baisant Qu'elle le taise ou le confesse C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses Les pauvres bougres convaincus Du contraire sont des cocus À l'heure de l'oeuvre de chair Elle est souvent triste, peuchère! S'il n'entend le cœur qui bat Le corps non plus ne bronche pas.

Merci, merci, MERCI.

Le grand george brassens

Cher Georges.......♥♥♥♥

Merci pour du partage

Réalité universelle

Quel génie ❤

Ne sois pas déçu

Les " M'as- tu vu quand je baise " excellente définition , lui seul y a pensé et pourtant! !!!!!!

Hard core Georges moi je le suit

Le “GOAT”

Une chanson qui veut dire qu'elle que chose pas comme les chansons d'aujourd'hui 😴😴😅

❤❤❤❤❤❤❤❤😂

🦋🦋🐌🐌🐌🐌

Paroles : La femme qui possède tout en elle Pour donner le goût des fêtes charnelles La femme qui suscite en nous tant de passion brutale La femme est avant tout sentimentale Main dans la main les longues promenades Les fleurs, les billets doux, les sérénades Les crimes, les folies que pour ses beaux yeux l'on commet La transportent, mais Quatre-vingt-quinze fois sur cent La femme s'emmerde en baisant Qu'elle le taise ou le confesse C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses Les pauvres bougres convaincus Du contraire sont des cocus À l'heure de l'oeuvre de chair Elle est souvent triste, peuchère! S'il n'entend le cœur qui bat Le corps non plus ne bronche pas Sauf quand elle aime un homme avec tendresse Toujours sensible alors à ses caresses Toujours bien disposée, toujours encline à s'émouvoir Elle s'emmerde sans s'en apercevoir Ou quand elle a des besoins tyranniques Qu'elle souffre de nymphomanie chronique C'est elle qui fait alors passer à ses adorateurs De fichus quarts d'heure Quatre-vingt-quinze fois sur cent La femme s'emmerde en baisant Qu'elle le taise ou le confesse C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses Les pauvres bougres convaincus Du contraire sont des cocus À l'heure de l'oeuvre de chair Elle est souvent triste, peuchère! S'il n'entend le cœur qui bat Le corps non plus ne bronche pas Les "encore", les "c'est bon", les "continue" Qu'elle crie pour simuler qu'elle monte aux nues C'est pure charité, les soupirs des anges ne sont En général que de pieux mensonges C'est à seule fin que son partenaire Se croit un amant extraordinaire Que le coq imbécile et prétentieux perché dessus Ne soit pas déçu Quatre-vingt-quinze fois sur cent La femme s'emmerde en baisant Qu'elle le taise ou le confesse C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses Les pauvres bougres convaincus Du contraire sont des cocus À l'heure de l'oeuvre de chair Elle est souvent triste, peuchère! S'il n'entend le cœur qui bat Le corps non plus ne bronche pas J'entends aller bon train les commentaires De ceux qui font des châteaux à Cythère "C'est parce que tu n'es qu'un malhabile, un maladroit Qu'elle conserve toujours son sang-froid" Peut-être, mais si les assauts vous pèsent De ces petits m'as-tu-vu-quand-je-baise Mesdames, en vous laissant manger le plaisir sur le dos Chantez in petto Quatre-vingt-quinze fois sur cent La femme s'emmerde en baisant Qu'elle le taise ou le confesse C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses Les pauvres bougres convaincus Du contraire sont des cocus À l'heure de l'oeuvre de chair Elle est souvent triste, peuchère! S'il n'entend le cœur qui bat Le corps non plus ne bronche pas

🫠❤️

Je travaille actuellement avec un collègue qui vient de se rendre compte qu'il est cocu jusqu'à l'os... J'hésite à lui envoyer cette chanson. Une pensée en passant pour les andouilles citadines qui ayant tout plaqué pour s'installer à la campagne, ne trouve rien de mieux à faire que de se plaindre du chant du coq, à l'aube : pire que le chant du coq, il y a le chant du cocu, à toute heure de la journée.Et c'est pas beau à entendre.

😂

Oh non quand même pas, je dirais un bon 90!

C est dla peuf

Emanuelle Beart la canta...... diez veces mejor. ((((((()))))))

…on ressort les vieilles peaux communistes?

Et toujours ces publicités de merde…