Honnêtement, donner de la violence physique a un enfant ca jamais donner rien de bon pi ca donnera jamais rien a part le rendre méfiant et lui faire perdre toute sa confiance en lui...j'en connais en masse ladessus.
''Bornée qui n'a pas voulu poursuivre la conversation'' dit-il après lui avoir coupé la parole sans cesse et en la ridiculisant. Le vieux Proulx ne fait que de la réaction, il n' a jamais fait dans l'argument.
Donc si on comprends bien la gentille dame, si son fils se fâche il ne frappera pas mais il va jaser ensuite il va enlever le cellulaire, le lunch, et le sac d'école de celui qui l'aura fâché ou frappé ? Et quest-ce que l'autre va faire ? Gilles Proulx a souvent provoqué pour gagner sa vie à la radio ou la Télé et il a bien réussi dans son métier.
C'est le discours rabâché des femmes et des faibles comme de quoi ''La violence ça ne résout rien''... ... Bha en fait la violence ça résout bien des problèmes. Est-ce la meilleure manière de les résoudre? Non, mais parfois ça fait le travail.
Tout à fait. De mémoire je me suis fait corriger une fois physiquement par mon père étant jeune quand j'ai piqué une crise et qu'il m'a amené 'solidement' dans ma chambre. 20 ans plus tard je m'en souviens encore, ça m'a apprit une bonne leçon, et je n'en ai pas été traumatisé pour autant.
Moi aussi étant enfant, j'ai goûté à la strap assez souvent merci mais maintenant j'ai 56 ans et j'ai une belle fille de 9 ans et JAMAIS j'ai levé la main sur elle et JAMAIS ça n'arrivera. Il y a d'autres conséquences qui peuvent être donnés sans être obligé de lever la main sur nos enfants. C'est ma conviction.
Les corrections aux enfants LOL. Back in 1950. La psychologie moderne, le constructivisme, dépasse largement les capacités instructives/éducatives du béhaviorisme. Mépriser les gens en ondes, c'est facile/lâche.
Oui, on le voit le résultat de toutes vos techniques modernes. Back in 1950 comme tu dis, le petit clergé catholique l'a vu venir aussi. 70 ans plus tard, on y est là avec ta société de traumatisés permanents, tous dysphoriques de genre, dans leur safe space de racisme imaginaire...
