Ah bah c'est malin, maintenant j'entends le sample de Mozinor ("j'aime BIEN j'aime BIEN j'aime BIEN j'aime BIEN") dans les syncopes toutes les 4 mesures. 😂
C'est tellement dans la tradition de la bonne musique de comédie française à la Cosma des années 80 et 90 !! Joyeux, léger et rafraîchissant, c'est génial !! Bravo !! Je vous laisse... je la réécoute du début 😉
En 2024, dans ce cas de figure très précis, je trouve que ce serait utile de déroger à l'usage et préciser "Cosma". Au premier coup d'œil j'avais compris Poutine, ça donnait un sens un peu particulier à ce compliment... 😅
@@pianohar J'entends bien, mais il me plaît de penser que certaines passions intemporelles comme la musique déroge à la règle de devoir argumenter toutes rethoriques . Désolé, mais quand on me dit Vladimir, je pense d'abord à Cosma dans le contexte, surtout sachant Étienne grand fan de l'homme, d'où mon commentaire. ☺️
Je verrais bien ça comme musique de film dans les années 70. On imagine Pierre Richard, Jean Rochefort ou Pierre Mondy dans une comédie sympathique. Dommage qu'avec Aya, ce serait plutôt un drame !
Le pauvre Étienne son envie folle de recevoir Vladimir Cosma se fait ressentir jusque dans ses compositions.. Non plus sérieusement, c'est magnifique, bravo !
C'est subtil, dynamique, plein de finesses harmoniques, on sent que les voix s'enchaînent entre elles, c'est bien du Étienne, bravo ! Rien n’est pire pour un musicien que de jouer des ritournelles simplistes et sans fin.
@@oilvierbarraille1828 Je ne suis pas musicienne, alors je ne peux pas juger de la qualité "technique" du morceau. Mais je le trouve très chouette, gai, mélodieux.
Je trouve qu’on sent très bien l’inspiration Cosma, la petite pompe sautillante et le thème filant et léger. Ça m’évoque le Placard par exemple. De mon point de vue de néophyte en tous cas, ça répondait bien au cahier des charges. 🤗 Maintenant je suis curieux de savoir ce que Martin Rappeneau fera de son côté. J’ai vu à l’instant que c’était lui qui était à la musique sur le projet en question, mais je n’ai vu aucun des films dont il a fait la BO pour le moment.
Quand on tombe au fond du trou du degré zéro de l'industrielle "musique" ça donne l'envie de taper du pied pour se propulser à l'air libre et respirer à fond l'oxygène d'une bonne petite composition des familles Aie aie aie, qui l'eut cru, finalement inspire en aspirant à de la musique tout simplement, simple, fraîche et populaire A tous ceux qui font référence aux musiques manga et jeux vidéos, sachez qu'ils se sont eux-mêmes inspirés de musiques occidentales 19 et 20e siècles et des merveilleuses bandes sons des films et comédies musicales, cf Cole Porter qui a écrit force chefs-d'œuvres sur lesquels dansaient Fred Astaire, les Nicolas Brother, Rita Hayworth, Judy Garland Cyd Charisse, Eleanor Powell etc.. . Rendons à Cesar etc... et cela prouve que les japonais ont du goût pourlaqualite Continue, tu nous régales, tu vas finir par créer une Yaka virtuelle du bon côté de la force, sympa, talentueuse, aimante et solaire pour remplacer son double maléfique, arrogant et sans âme 😊😊
C'est incroyable le niveau de trolling ! 😂 D'autant plus que c'est bien écrit et plaisant ! C'était peut-être la seule bonne raison d'avoir Aya pour chanter au JO ! Bravo et merci !!
C'est pas mal "involved" pour un pied de nez. 4 tonas en 2 pages, du majeur, du mineur et du re-majeur derrière avec des emprunts dans tous les sens... Le moins qu'on puisse dire c'est que tu lui fais voir du paysage, à Aya. 😂 PS : Merci pour la modération ! ❤
Edit : le troll auquel je réponds ici a été modéré donc j'ai viré ma moitié de la discussion, mais cette réponse est plutôt factuelle et informative alors je la garde. @@gerardmitouf5071Je réponds juste à ce truc factuellement faux, le reste de ton troll ne m'intéresse pas : Bach et Mozart n'improvisaient pas "parce qu'ils s'ennuyaient" (on parle de types qui composaient à tour de bras, l'idée qu'ils s'ennuient parce qu'ils ne trouvent rien d'intéressant à jouer est plutôt enfantine et prête à sourire), mais parce que c'était une pratique normale de la musique à la base. On attendait des musiciens (TOUS les musiciens) qu'ils improvisent, que ce soit sur un plain chant dans la musique d'église ou plus tard les cadences (au sens de *cadenza*, pas "IV-V-I"...) dans le classique. Ça a duré jusqu'à ce que les compositeurs (notamment Beethoven) se mettent à écrire leurs cadences, puis l'improvisation a disparu des conservatoires pour concentrer l'apprentissage classique sur le canon. L'improvisation n'est pas que l'essence du jazz mais une modalité inséparable de la musique. Il n'y a guère que la tradition classique qui en a divorcé. Quant à ce que moi, je joue, ça n'a aucune espèce de pertinence dans ce contexte : je joue ce que j'aime jouer, et c'est moi que ça regarde.
En vrai, j’aurais aimé que tu fasses quelque chose comme ça : ru-vid.com/video/%D0%B2%D0%B8%D0%B4%D0%B5%D0%BE-4VrGS2tSVns.htmlsi=nYe5kRdKVv4WxsTz Ce n’est pas forcément extraordinaire, ce n’est qu’un exemple mais je trouve que c’est un bon exercice pour l’ego. Le fait d’aimer et de donner du sien légitime aussi la critique.
Il aurait été intéressant de mettre la vue caméra et la partition en parallèle. Vous regardez jouer n'est pas l'essentiel mais fait parti du plaisir de ces vidéos.
Wouah …. Quel florilège harmonique sur une mélodie toute simple, gaie, joyeuse. En permanence sur le fil du rasoir, mais ça passe comme dans du beurre. Le problème, c’est que je visualise mal le rapport avec Aka. 😅 Tout ceci est d’un autre niveau, pour ne pas dire d’un autre monde.
@@Enthaable Il y a fort à parier que c'est plutôt Koji Kondo qui a eu les mêmes sources d'inspiration, mais je partage l'observation. L'ambiance générale du thème est assez proche de celle du Village Kokiri dans Ocarina of Time. Ce qui change, c'est qu'ici la musique module beaucoup pour restituer la même phrase dans des contextes variés, et c'est ce qui en fait plus une musique "de film" que de jeu vidéo : ici la musique "voyage" beaucoup donc on ne pourrait pas l'associer facilement à un lieu fixe comme le Village Kokiri : le choix ne serait pas très judicieux...
@@pianohar on peut dire qu'ils sont tout les deux bien inspiré. Ce morceau collerai parfaitement pour un film certes. Mais en l'écoutant, je m'imaginais bien lors d'une phase d'exploration du volcan et du village gorogon dans breath of the wild. Le zelda à la bande son inexistante.
@@Enthaable Argh, désolé je vais être pointilleux mais je peux pas te laisser dire que BOTW n'a pas de bande son... Le jeu est certes très souvent silencieux (tout comme les Souls, ou Shadow of the Colossus qui ne peut pas ne pas être une source d'inspiration pour BOTW), mais ce qui est commun aux 3 titres que je viens de citer, c'est que quand on y entend enfin de la musique, on entend de la p***** de bonne musique ! J'ai encore un souvenir extrêmement vivace de cet instant au bout de quelques heures de BOTW où l'on se retrouve à escalader les ruines du temple du temps. Ici, on a un piano qui fait son entrée, et il faut tendre un peu l'oreille pour reconnaître le chant du temps (ma référence absolue pour le son du mode dorien...), très ralenti et réharmonisé dans un style contemporain, en prenant bien soin de ne pas établir de centre tonal pour que la mélodie reste déracinée et éparpillée en petits fragments à peine reconnaissables, à l'image du bâtiment qu'on est en train de grimper. C'est une des émotions les plus complexes et les plus fortes de toute ma vie de gamer : entre la nostalgie, le bonheur d'entendre à nouveau cet air qui est gravé dans mes neurones depuis mes 15 ans, mais aussi la surprise de voir le thème tout déconstruit, et cette espèce de profonde tristesse à cause du contraste entre le souvenir de la grandeur du lieu, et la vision de ce qu'il est devenu après tout ce temps avec son âme qui y plane toujours, mais de façon fugace, presque complètement effacée... Tout ça concentré dans quelques notes de piano et beaucoup de silence, mais quelles notes ! La musique dans BOTW est rare, mais quand elle est là, elle est à couper le souffle. J'ai aussi une vidéo en préparation à propos du thème du domaine Zora et comment celui-ci a été sublimé pour les deux derniers Zelda, en ayant en plus deux orchestrations distinctes pour le jour et la nuit. La (double) version de BOTW introduit des modulations assez sexy (ou plutôt une modulation qui finit par arriver après avoir été "annoncée" et retardée pendant tout le bridge, ce qui la rend ultra-satisfaisante quand on arrive enfin sur la nouvelle tonique), qui n'étaient pas là dans Ocarina of Time ni Twilight Princess. Pour le coup je classe plutôt BOTW dans la pile des jeux dont la proposition musicale est vraiment audacieuse et ambitieuse... Comme à peu près tout ce qui a un rapport avec Koji Kondo.
@@pianoharoui pardon, j'aurai du dire que la Bo de breath of the wild ne me correspond pas. Certes il y existe quelque variation intéressante, mais l'âme de Kōji Kondō, n'ayant pas travaillé dessus, à disparu en même temp que lui. On ressent la même chose sur the binding of Isaac lorsque danny baranowsky a arrêter de travailler dessus. D'ailleurs en parlant de danny baranowsky et de zelda, je vous encourage à aller écouter la Bo de cadence of hyrule qui est fantastique selon moi.
😂 Je suis complètement d'accord avec vous. C'est trop compliqué pour la miss. Ce qu'elle nous pond c'est de la daube. Après faut faire attention à ne pas s'acharner. Jolie composition.
1) elle a rien demandé (Elle n'a pas demandé à être choisie) 2) en effet si on part sur 15 vidéo sur cette femme ça s'apparente à du harcèlement 3) c'est pas pour ça qu'elle ne fait pas de la musique médiocre, mais pour rendre les gens plus curieux, intelligents, on regarde ceux qui font des choses bien, on ne s'attarde pas sur les mauvais.
Évidemment ça dépend de ton niveau mais si on s'y prend lentement ça se joue surprenamment bien, c'est (sans surprise) très pianistique. Par contre j'admets que certaines positions d'accords me font découvrir des muscles dont j'ignorais l'existence dans mes mains, et les passages en sixte sont aussi pas mal sensibles au doigté. C'est bon pour la technique ! :)
Cela m'évoque, le comte de Djo Djo, en bicyclette, par son côté enjoué, la pedale franche, rejoignant son copain Jean mi la trogne , mais il y a un côté interrogatif pregnant dans cette musique, suspicieux, trouverai je , DjoDjo se pose la question: Jean mimi est il un homme ?