L’autisme et le défi de la prise en charge | RTS 

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Ce reportage était très touchant, bon courage aux familles comme aux professionnels.

J’habite Boveresses à côté de Foyer du coup. Je croise souvent des personnes de Strada. C’est toujours un plaisir de leur envoyer un sourire, un regard, un bonjour! Sachez que vous nous apportez beaucoup! 🙌🏻🫶🏻

Merci pour ce documentaire, le handicap est un défi difficile à relever tant pour l'individu que pour la société. Une appréciation particulière va aux organisations et à ceux qui travaillent avec le handicap. 🙏🍀🌻

Je suis autiste mais légère et je fait des études et je fait de la dance clasique et c est vrais que l on n'est souvent dans notre bulle

Magnifique documentaire! Merci RTS !

Merci pour ce documentaire qui rend visible une large partie des différents spectres de l'autisme. Mais aussi les accompagnements, les structures qui oeuvrent tant bien que mal dans un période complexe.

C'est extraordinaire ce qui est proposé.

The people that take care of others that may have difficulties are true angels and I’m grateful to share this planet in the presence of good hearted people ❤

bravo aux professionnelles tres touchants

On pourrait commencer par utiliser le mot accompagnement au lieu de prise en charge.....

On vous aimes tel que vous êtes. ❤❤

C est un document tres intéressant et j espere que ceux qui jugent trop vite les personnes autistes regarderont ce documentaire et auront a l avenir plus de compréhension

Merci Temps présent pour ce beau reportage très touchant.

Les gens qui ont choisis de faire ce métier se sont formé pour ça face au cas difficile ils demissionnent. Imaginer être un parents avoir un enfant comme ça sans avoir été formé le prendre brutalement dans la vie et 24/24 sans pouvoir demissionner.

J'ai été dans un des établissements des Perce-Neige de mes sept ans jusqu'à mes quinze ans et demi. Je ne dirai pas lequel, mais je veux passer le coucou à tous les anciens des Perce-Neige qui se reconnaîtront. Je ne donnerai pas de nom, mais mes deux instituteurs préférés étaient également musiciens. Il n'y a qu'un seul des deux qui est encore en vie malheureusement. Plus tard j'ai l'intention de devenir moi-même enseignant dans la même école des Perce-Neige où j'ai été, connaissant très bien les lieux et étant en position de comprendre et d'aider les autres Autistes de relativement haut niveau. Je dois beaucoup aux Perce-Neige qui m'ont permis de ne pas finir interné pour le reste de ma vie. Mes parents ont tout fait pour que je n'entre pas à trois ans au Perce-Neige mais à sept ans. Dans la première classe où jai été, sous le toit de l'institution, il y avait au moins un élève non-verbal. J'aurais pu oublier le langage si on m'avait mis dans cette école et dans cette classe à seulement trois ans. J'étais capable de parler à trois ans, même si communiquer sur des choses personnelles comme mon ressenti ou mes journées à l'école m'étaient impossible à cette époque. Je ne pense pas avoir eu une enfance malheureuse. L'école m'a permis d'être mieux préparé à la vie dans un environnement "normal". Si j'avais été directement dans une école primaire "normale", je ne m'en serais probablement pas aussi bien sorti. Je n'aurais peut-être jamais pris conscience de ce que mon père a toujours appelé des "difficultés". J'ai de très bons souvenirs des Perce Neige. Je ne regrette plus ma scolarité depuis que j'ai réussi à avoir deux diplômes de l'enseignement supérieur, un du niveau gymnase et un autre de niveau universitaire. Avec du recul, la seule chose qui était négative c'était d'avoir été dans une école primaire alors que j'avais l'âge d'être au collège. J'ai été deux ans de suite dans une classe aménagée à l'école primaire du Landeron. La première année, dans ma classe, j'étais l'un des seuls à avoir l'âge d'aller à l'école secondaire. L'avant-dernière année, on était tous dans une petite salle aménagée au collège qui était en face. J'avais 14 ans, deux autres avaient exactement le même âge au jour près, 12 ans, un avait 11 ans et le plus jeune avait 10 ans. On est revenu dans la salle de classe précédente l'année suivante, la dernière année où j'étais aux Perce-Neige. Trois années de suite, entre 2009 et 2011, ma classe et moi allions à des camps de ski organisés par l'école primaire. En parallèle de ces camps de ski on devait aussi faire de la gymnastique et de l'exercice physique dans la salle de sport du collège. La première moitié de ma scolarité aux Perce-Neige était dans les classes du site principal. J'ai eu neuf enseignants et enseignantes différents, sept en excluant les remplaçants qui étaient là pendant plusieurs jours ou semaines. C'était vers la fin de cette première moitié, pendant ma transition entre le site principal et la classe annexe au Landeron, que j'ai pris conscience de pourquoi j'étais là, dans cette école. Au début je le rejetais, surtout quand le moment où j'ai appris ce qu'était l'Autisme, c'était devant un épisode de Dr House avec un autiste non-verbal, et je me suis dit "mais ça ne me ressemble pas ça". Ma première impression était que les Autistes étaient non-verbaux. C'est uniquement après la fin de l'épisode que ma mère m'a appris qu'il existait plusieurs type d'Autisme. Même si tout cela est loin dans le temps maintenant, je m'en souviens comme si c'était hier, ou plutôt comme s'il ne s'était écoulé que quelques mois depuis mon départ. J'ai hâte de pouvoir retourner dans cette institution avec un rôle différent cette fois-ci. Je pense que j'ai fait vivre l'école et que si on m'a gardé aussi longtemps, c'est qu'on avait besoin d'un des meilleurs exemples de toute l'école pour la représenter. J'ai eu un impact important sur l'image de mon institution. Avec du recul, j'ai l'impression d'en avoir été le héros ou porte-parole. Aujourd'hui quand je parle à des gens, ma prosodie n'a rien d'inhabituel. En fait elle ne l'a jamais vraiment été. Mais la difficulté de parler de choses simples, ou comme on dit: "parler du temps et de la météo", ou quelque chose du genre. Même si socialement parlant je suis moins suspectiple d'avoir des comportements très inappropriées, ma différence ressort encore, mais sous la forme de conversations autour de domaines ou d'intérêts spécifiques. Je ne nommerai que par deux lettres (trois pour les élèves ayant des prénoms similaires et quatre pour plusieurs élèves ayant le même prénom) tous les autres élèves majeurs de mon école, ainsi que celles de tous mes enseignants et enseignantes majeurs: Les élèves: Ad Ag Al An As Au Be Br Db Gl Gu Jss Jsu Ld Le Lobg Lobt Lu Md Mx Ol Pn Re Ro Sa St Th Les enseignant(e)s: Em Fd Ga Iv Mc Mn Nd Ph Zh Pour celles et ceux qui se reconnaîtront (sauf une personne qui n'est malheureusement plus de ce monde), ne dites rien, mais appréciez juste mon commentaire si vous trouvez ce dernier intéressant

Et si on cessait de vouloir les prendre en charge et que l’on acceptait de vivre avec eux de manière solidaire?

700 a 1000 CHF de moins sur Vaud que dans les autres cantons romands ? Fribourg on en parle? C'est pas mieux! S'il faut aller bosser à Genève dans des institutions géantes, non merci ! Ça serait bien de mieux reconnaître nos métiers ESSENTIELS dans notre société

C'est fou comme ça vient toujours des usagers la violence dans ces institutions et l'ultime tabou on le fait sauter quand ?? La violence institutionnelle, le mal être des professionnels pressés comme des citrons au nom de la rentabité (oui oui dans le social aussi), l'entre soi, les magouilles... la maltraitance.... mais chuuuuut ... faut pas salir la vitrine 🤡

Peut-on enfin se poser la question des causes cette multiplication exponentielle des cas d'autisme ?

C'est bien, par contre ce sont des adultes aussi comme les autres avec leurs différences, il faut les respecter et ils nous le rendront. (amour)😊

Et oui, 《c'est le droit à la différence....》 belle chute....

Un univers 'fragile' ...pas l'univers auquel nous sommes contraint qui est dure. La question quand même qui je ne sais pas si les recherches en ce sens sont faites..quelles 'mutations' dans notre espèce donne lieu à 'de plus en plus'. Ce n'est pas anodin.

Il faut rechercher sérieusement les causes de l'autisme

La vache! ça ne plaisante pas dans ce centre, c'est digne d'un entraînement militaire. Le pauvre Tom est à peine arrivé qu'il doit participer à un atelier alors qu'il est en panique totale. Et le responsables n'en a rien à cirer car le programme c'est le programme. Pas étonnant qu'il se soit pris une baffe. J'en ai une crise d'angoisse rien qu'à visionner ce reportage 😳.

Faut ranger les infos dans les armoires (je crois). Trop de stimulations dans le background. Et a titre perso, je ne vois pas la propreté de la pièce. Je ne suis pas diagnostiquée, mais je vois sur quoi je bloque.

🤝🤝🤝🤝🤝❣