L'élégance du hérisson de Muriel Barbery 

Je suis choquée par tant de bêtise humaine. Muriel Barbery met en valeur notre belle langue française comme je l'ai peu vu dans la littérature de notre temps. Grâce à ce livre, j'ai pu rire, rêver, aimer, pleurer. La littérature est un art qui suscite un florilège d'émotions. Un grand merci à l'auteur pour tous ses mots si justes, ces émotions si bien traduites en mots. Merci également d'avoir pu retranscrire tant de sentiments profondément encrés en moi depuis toujours. Merci de nous magnifier comme vous le faites. Votre livre est devenu l'ouvrage que j'aime le plus au monde. Continuez d'écrire, ne vous arrêtez surtout pas sur ces commentaires indignes de votre talent. Ecrivez pour ceux qui ont l'intelligence et la sensibilité suffisantes pour partager votre monde, notre monde.

Je pense qu'on peut aussi bien se reconnaître chez les deux personnages, qui sont à leur manière les même. La peur du regard des autres, le renfermement de la concierge illustre notre volonté de préserver une image sociale, en miroir celle des habitants de l'immeuble. Paloma est fragile car elle n'est pas encore arrivée à se trouver cette image et ne parvient à se cacher que physiquement. Je ne vois aucune rebellion d'ordre politique, juste une société en malaise d'apparences.

Je suis tout à fait d'accord avec Dadoonino. On ne se retrouve pas dans la concièrge. La seule personne dans laquelle on est capable de se retrouver c'est en aucun doute Paloma. Autant les enfants, que les adolescents et les adultes. Puisque c'est une enfant qui aime les mangas, comme beaucoup. Elle semble faire une crise d'adolescence avancée (qu'on retrouve dans son envie de se suicider) et puis elle est adulte, pleine de maturité. Barbéry à d réfléchir à tout ça, moi perso j'adore!

d'accord en général avec ce qui s'est dit.... sauf sur une chose : autant Irène Frain me laisse indifférebte, autant je lui reconnais un seul succès : Devi. pour le reste, comme d'habitude, elle déraille.. jalouse peut-être de n'avoir pas écrit ce chef d'oeuvre ?... et félicitations à Mme Balasko : avec le peu de temps que dure le film, elle y fait passer le principal. ma fille de 12 ans a été subjuguée et lu le livre...

I read the book in russian💜💜💜

Hum. Je n'avais pas énormément d'estime pour Irène Frain, ni comme écrivain, ni comme femme, et cette vidéo serait plutôt de nature à renforcer mes convictions... quel tissu de clichés! Comment peut-elle imaginer que Barbéry, dont l'écriture et l'intrigue sont entièrement maîtrisées, n'ait pas réfléchi à ce thème de la solitude qui est au coeur de son livre et à ses échos aujourd'hui? Elle la prend pour une conne ou quoi?

Je trouve le commentaire juste condescendant. A se demander si cette certaine Irène Frain n'est pas directement issue du livre dont elle parle. Peut-être que ce roman a plu aussi pour son humour et sa dérision par exemple... allez savoir.

Toute cette prétention et cette analyse consensuelle et minable comme la plupart de ses bouquins d'ailleurs.Derrière ce discours élitiste elle pète plus haut que son cul, comme d'hab... Si encore y avait que ça... Mais la pauvreté de ses analyses purement littéraires fait peur, ça me rappelle ses déclarations quant à Robbe-Grillet dont elle est groupie. C'est juste une (vieille) midinette qui peut être jalouse parfois, ne vous y trompez pas...

Je suis en train de traduire son bouquin de m.... C'est en le traduisant que je me rends compte à quel point c'est pédant et prétentieux. Tellement prétentieux d'ailleurs que certains phrases ne signifient plus rien. Elle use et abuse de mots creux pour démontrer toute l'étendue de son vocabulaire. C'est dégueulasse, c'est pas de la littérature, c'est du livre de gare plein de mots compliqués. Bref, à jeter.