La Dame de pique (The Queen of spades) de Tchaïkovski, Philadelphia, Academy of Music, le 11 octobre 1983. Régine Crespin fait ses débuts dans le rôle de la Comtesse.
As often, Régine Crespin proposes something utterly orginal : not the horrible, frightening old witch we are used to, but a melancholic, almost endearing old lady who remembers her past. Despite the years, the timbre has remained beautiful, and she always had an impressive low register.
Ce sont bien sûr les dernières années de Crespin, et la voix est loin. Mais... quelle noblesse dans le phrasé, quelle beauté du timbre, quelle émotion. J'ai eu la chance de l'entendre en récital, dans Le Medium, La grande Duchesse, et Dialogue des Carmélites. Moments INOUBLIABLES
R. Crespin reste la meilleure dans rôle, dans lequel est elle venue in extremis à Paris en juin 1989 avec un entourage polonais improbable. C'était ses adieux. Tout le monde de savait, mais le public était rare, composé de touristes surtout. Elle a eu droits à des applaudissements polis, rien de plus. C'est une honte de l'avoir traitée ainsi l