Ce documentaire fait l'objet d'un projet universitaire dans le but de montrer une corrélation entre les habitudes de lecture chez les jeunes (15/25 ans) d'abords dans les années 60 puis de nos jours.
Moi j’appris le français en lissant, rien d’école. Et aussi l’allemand en lissant et l’anglais en chantant et le chinois aussi en chantant, le japonais dans une religion que je ne forme plus partie. Et ma langue maternelle et l’espagnol. Merci
Le visionnage de ce documentaire me fait songer à un parallèle littérature-télévision : il y a quelques décennies, la tv proposait de bons films, avec de vrais acteurs, sortis du conservatoire d'art dramatique et passés pat le théâtre. Aujourd'hui, ce sont des séries, jouées par des acteurs sans talent, se démenant dans un monde de sexe et de violence, souvent venues des U.S.A. Pour la littérature nous avions avant les grands classiques (Victor Hugo,Verlaine, Rimbaud). De nos jours, ce sont les sagas : Harry Potter, Le seigneur des anneaux, et autres fadaises comme ces nouveaux romans à la sauce neuneu où la mère de l'héroïne va consulter un psy parce que sa fille est tombée amoureuse de son poisson rouge. La société moderne périclite au lieu de se bonifier. C'est mon avis. Comprenne qui pourra (ou voudra).
@@luciemayoux6012 Le temps évolue, effectivement, mais dans le mauvais sens, puisqu'on pourrait appeler ça une régression. Ce que je voulais dire, chère Lucie, c'est que la société régresse, à l'inverse du bon vin qui mature dans un fut de bois d'essence la plus noble. Ce devrait être le contraire, ne trouvez-vous pas?
@@alchimusfifrelin8173 Je respecte votre point de vue mais je ne le partage pas. Je ne penses pas que nous nous régressions,je penses plutôt que l'on se modernise. On ne veut plus écrire comme Hugo,Balzac ou Zola.
C'est votre avis, je le trouve optimiste. Vous dites " On ne veut plus écrire comme Hugo, Balzac ou Zola. "on" ne veut plus, ou "on " ne peut plus ? Je pense que "on" ne peut plus tout simplement parce que les gens n'en sont plus capables, comme n'en sont plus capables les gens aptes à les lire (surtout les comprendre et les apprécier) à cause de l'effondrement de la culture et l'appauvrissement de la langue. Je n'arrive pas à lire les nouveaux auteurs, je trouve leur littérature pauvre, comme je m'ennuie en regardant un film très récent, et j'en reviens au contenu de mon message précédent : le parallèle cinéma -littérature. Je ne pense pas que cela soit prétentieux ou présomptueux de ma part, mais c'est ainsi.
Vieille rengaine du "c'était mieux avant", la vérité c'est que de la médiocrité il y en a toujours eu et que ça a toujours été plus vendeur que les quelques chefs d'oeuvres qui, avec la patine du temps, se sont imposés d'eux-mêmes comme des classiques.
je suis jeune, mes parents ne lisent pas et moi personnellement j'aimais pas lire enfant je préférais écrire et dessiner, ados au collège je lisais des mangas achetés à carrefour mais arrivé au lycée, les livres classiques imposés avec contrôles de lecture m'ont dégoûté de la lecture que je n'ai plus lu 1 livre après le lycée jusqu'en 2017 où je me suis remise à lire par envie et plaisir cette et non pas par obligation en trouvant mes genres de livre qui ne sont pas des classiques mais des thrillers et polars et romans contemporains, livres de témoignages, essais, bd et mangas et tout ça je ne les ai jamais lu au lycée et école! J'aime pas les classiques j'aurai préféré des livres plus diversifiés dans le genre et ça même en L car j'ai fait L, jamais on nous a proposé des classiques polar par ex ou classiques horreur etc, les classiques proposés je ne les ai pas du tout aimé, j'ai aimé aucun livre imposé à part un qui est roman contemporain haha et je lis en majorité sur papier mais il m'arrive aussi de lire en numérique
A 2:50 ils demandent aux jeunes (des années 60) s'ils préfèrent les livres ou les films. Sachez que les romans qui - souvent - plaisent au grand public puisent leur inspiration au cinéma et sont écrits en s'approchant de l'écriture scénaristique : beaucoup de dialogues, chapitres courts, cliffhangers... les romans de Musso ou de Bussi, deux *très* grands vendeurs, sont symptomatiques de cela, et c'est bien normal : les arts sont influencés par les autres arts, y compris ceux nés après l'invention de la littérature.
@@corentinsennegon4127 Je parlais de livres qui s'inspirent de l'univers créé par le cinéma, et qui adaptent l'art narratif cinématographique à l'écrit.
