La Menace des LOUPS 🐺 Face Au Pastoralisme Berger | Episode 1🐑🏔 | Vlog 

Magnifique reportage. Vivre avec ce prédateur naturel qu’est le loup et je pense qu’il a plus que sa place en montagne. ce beau métier de berger que nous évoque Greg avec ces paysages somptueux, la passion du naturel ! nous vivons pour la plupart en ville avec des paysages beaucoup moins éloquent et dépaysant . Nous sommes entourés du plus grand prédateur 😮qui est l’homme ! et vivre ce métier de berger, dans ces milieux encore préservés, au calme, sans pollution, dont le respect est omniprésent sans guerres,agressions, viol etc…et de loin une vie qui inspire le respect. Merci pour ce reportage 😊

Super ce jeune,il faut que la profession se glorifie de ces jeunes bergers passionnés.calme attentionné vigilant pour ces brebis et surtout ses chiens.mais je suis ok avec lui sur le loup il faut réguler !sinon nos bergers deviendront des alimenteurs de foin en parc ou bergerie beurk,courage à vous tous 👍👍

Un berger compétent et franc.. Une vérité que beaucoup ne veulent pas...

Un discours franc et honnête ! Merci pour ce reportage Seb

Merci pour ces quelques instants passés en compagnie d’un berger compétent et intelligent qui a une bonne vision d’un métier exigeant et passionnant.

Super cool tes vidéos ! J'adore continue comme ça !

Merci pour cette vidéo que je partage sur notre page

Vraiment intéressant ! Joli travail Seb

Ça fait plaisir de voir que les jeunes et très jeunes générations de bergers arrivent à prendre plus de hauteur vis à vis de la problématique du loup. Je suis allegtement exténué par le radicalisation et la tête de turc des plus anciens, qui prennent le problème avec cynisme et aigreur. On peut être emmerdé par le loup, ça peur nous faire chier sa présence, mais le fait est que sa place est tout aussi légitime que celle de l'Homme en montagne, qu'il n'a évident pas été réintroduit, mais à repris sa place légitime de super prédateur en France. Les anciens se sont trop penché sur la solution du conflit avec les écolo, et de l'éradication des loups, sans réfléchir à apprendre à vivre avec. Comme le dit Greg, apprendre à mieux éduquer ses chiens, à mieux choisir les lignées, à revoir ses plans pastoraux. La solution n'est ni dans l'anti-loup, ni dans l'anti-pastoralisme, la solution est de réfléchir la cohabitation entre le loup et l'Homme. Cela induit de protéger l'espèce, essentielle à notre biodiversité, pour des tas de raisons, mais aussi de protéger nos bergers et leurs bêtes, en autorisant les tirs en cas d'extrême nécessité. Malheureusement les tirs en cas d'extrême nécessité ne sont pas toujours respecté, avec des individus qui se font abattre alors qu'ils ne montraient pas d'hostilité apparente. Il faut apprendre à casser les à priori sur le loup, et à casser les clichés sur l'agriculture française, la concertation est la seule et unique solution. J'invite tous les gens qui crachent sur le loup sans le connaître, à se renseigner sérieusement sur lui, sur sa manière se vivre, sur son utilité pour la biodiversité. J'invite également tous ceux qui crachent sur le pastoralisme à rencontrer des bergers, à les écouter, et à dialoguer avec sagesse, à comprendre leur utilité pour notre patrimoine mais aussi pour l'équilibre de la biodiversite montagnarde. Parce que oui, les bergers, par le pastoralisme, permettent l'existence d'habitats de prairies, qui permettent l'existence d'un tas d'espèces faunistiques et floristiques incroyables. La montagne ce n'est pas que la forêt ou les falaises rocheuses, sans ces paysages dégagés, vous n'apprecieriez pas autant vos balades en montagne. Concernant le suivi GPS des loups. C'est évident en théorie et en pratique possible, puisque ça a été envisagé pour la problématique ours brun dans les Pyrénées. Ce qui bloque, c'est pas quelque chose de mystérieux ou un quelconque secret, c'est que si tous les bergers et éleveurs ont en temps réel la position de chaque loup, c'est une occasion pour certains de les traquer un par un pour les buter tout simplement. Ce serait une minorité de cinglés évidemment, mais la minorité serait suffisante pour porter préjudice à la stabilité des populations de loups. Si ce genre de chose c'est mis en place, c'est pour s'en servir d'alerte genre "Tiens, tels loups sont proches de mes bêtes, je me devoir ouvrir l'oeil", si tout le monde savait s'en tenir à cette utilité, ce serait une grande avancée dans la protection des troupeaux. Sauf que certains petits guignols se servirait de l'outil à des fins totalement infectes, soyons honnêtes.

Merci Seb un bon partage et je suis e d acord avec Greg

Comme en Italie, plein de berger, et autant de loup, et aucun, problème,,, et du loup,, aussi, en Ardèche,, is good, for life

Le jour ou un passionné du Loup ' le Lozérien Gérard Ménatory ' a obtenu de Mitterrand ' président de la république Française , en Septembre 1990 "la 'Protection 'du Loup , ( et 'passage des Loups d 'Italie en 1992) les deux ont commis une 'erreur ! du moins ' amené la pagaille ' entre les éleveurs ' dégâts aux 'ovins ' et les 'écologistes ' protecteurs ....

Une odeur de mort - Les nuits sans sommeil, les chiens aboyant toute la nuit, luttant contre les attaques de loups, un sentiment d’être violée, volée par le loup. - Marie et Michel racontent que leur troupeau a été mis à rude épreuve tout l’été. 70 brebis perdues en 7 semaines d’alpage. Perdues: Certaines sont retrouvées égorgées par le prédateur, d’autres grièvement blessées, ensanglantées et souffrantes, d’autres encore ne seront jamais retrouvées. Dans la panique d’une attaque, le troupeau de brebis se disperse et certaines tombent des falaises. Ce stress impacte aussi les brebis sauvées : un grand nombre d’avortements est observé. Marie explique qu’ils perdent leur troupeau actuel mais aussi leur troupeau futur à cause de la prédation. Les nuits sans sommeil, les chiens aboyant toute la nuit, luttant contre les attaques de loups, un sentiment d’être violée, volée par le loup. Cette bête lui tue ses brebis, qu’il ne mange même pas forcément. Il a tué un de ses chiens et même son chat. Elle nous raconte sa peur pour ces brebis. Elle se souvient de l’attaque qu’elle a subie, en plein jour alors qu’elle surveillait son troupeau, d’une odeur spéciale à ce moment précis : « une odeur de mort ». Elle sait qu’il est là, qu’il l’observe et qu’il attend le bon moment pour attaque. Elle nous raconte sa tristesse de voir ses bêtes souffrir et mourir, son sentiment d’impuissance, sa colère, sa fatigue. Marie et Michel ont tous les deux dû prendre un second travail pour survivre. Les pertes amenuisent leur production de lait, de viande et donc leurs revenus. Seules les brebis tuées sont remboursées au prix d’achat. La descendance perdue et les brebis qui dérochent ne sont pas prises en considération dans les aides de l’Etat. Et encore pour toucher cet argent, Marie explique qu’il faut attendre plus d’une année, batailler et crouler sous la paperasse. Si le pastoralisme existe aujourd’hui, ce savoir faire est aujourd’hui mis à rude épreuve par la prédation du loup, par un phénomène nommé ​surplus killing : le loup tue bien plus de bétail que nécessaire à sa survie. Au milieu d’un troupeau de moutons, le prédateur est stimulé de tous les côtés et tue ou blesse plus que nécessaire à sa consommation et à sa survie. C’est le “devoir” du berger de protéger son troupeau accompagné par ses chiens de protection. Toute responsabilité sur ses épaules, engendrant un fort sentiment paternaliste, l'attachement au troupeau est réel. Et face aux attaques, le berger se sent impuissant, démuni, en colère, triste. Pour lui, il a “failli” à sa mission. Prédateur quasi invisible et compétiteur écologique, le loup est une véritable menace pour l’Homme, tuant “son” bétail. Éradiqué en 1930 du territoire français, aujourd’hui, le retour de l’espèce lupus mets en danger le pastoralisme: savoir faire pourtant reconnu pour son utilité dans l’ouverture des milieux en déprise rurale. Le paysage des Cévennes notamment, façonné par le pastoralisme est classé au patrimoine de l’UNESCO. Beaucoup d’acteurs pratiquent la montagne. Tout d’abord, le berger et son troupeau, qui ont besoin d’être sur les pâturages. Le berger doit louer son alpage afin de “posséder un bout de montagne”. Les touristes ou les randonneurs estiment aussi avoir le droit de jouir de cet environnement magnifique, agacés parfois de croiser des patous “agressifs” sur leur chemin, ces chiens qui protège le troupeau du loup. Le prédateur décide aussi de son territoire, son domaine vital sur lequel il vit, chasse et qu’il défend avec sa meute. La montagne est aussi le terrain de recherche des naturalistes qui étudient le loup pour en apprendre plus sur sa présence, ses habitudes, son éthogramme précis. Tous ces acteurs s’estiment légitimes à “posséder” ce territoire qu’est la montagne: la “cohabitation”. L’écologie comportementale (l’étude des comportements animaux et leur évolution) ainsi que l’éthologie cognitive (l’étude des facultés cognitives des animaux et leur comportement incluant l’humain dans des milieux naturels ou expérimentaux) tentent de répondre à ses questions en étudiant l’éthogramme du loup. Des idées pour “duper” les loups ont étés émises. S. Ellis pense à diffuser des hurlements de “défenses territoriales” aux environs des troupeaux pour de faire croire à l’arrivée d’une nouvelle meute de loups. Un problème existe cependant car les loups risquent de se déplacer pour vérifier, rencontrer ou chasser cette “meute” et s’apercevoir de la supercherie. Un collier répulsif pour les animaux de troupeau a été développé par le projet ​Daphnis​. Il serait capable de détecter le stress aigu de l’animal lors de la prédation par une forte augmentation du rythme cardiaque et d’émettre un répulsif puissant, très irritant mais non létal et des phéromones d’alarme pour faire fuir le loup. Le but final est donc que le loup assimile cette expérience traumatisante à l’attaque de troupeaux et qu’il communique sur cette expérience avec sa meute afin de réduire de plus en plus les attaques de troupeaux. Landry, J.-M. (2017). ​Le loup​ (Delachaux et Niestlé). Delachaux et Niestlé. Morizot, B. (2016). ​Les diplomates​ (Wildproject). Wildproject.

Super reportage Seb,,,tu en as réalisé combien ??? Magnifique paysage 👍🥰💋❤

Bien pour ce reportage ! ce gars la il est dans le bon tempo ! les loups il faudra les réguler ! par contre ceux qui sont toujours contre tout ils entretiennent l insecurité et ça les arranges ! mais la finalité c est toujours la mort ,ou l abattoir ou la chasse !

Süper 💯💯💯💯💯..

"depuis qu'on a le berger d'Anatolie, on ne se fait quasiment plus attaquer". Evidement; avec ces chiens, le loup deviens une proie. Il préfères donc revenir au gibier sauvage, et même si tu peux perdre une brebis de temps en temps, la meute y laisse un loup ou deux. Comme le loup n'est pas stupide, il préfères rester au large que risquer sa peau pour une proie; de proie facile, la brebis défendue par le berger d'Anatolie deviens une proie extrêmement dangereuse.

Le choix de la race de chiens et le caractère de chacun....plus le dressage et le nombre de chien par groupe de brebis... Plus les associations de benevoles pour les veilles nocturnes...

Et oui le loup reprend son territoire...

Si vous voulez etre tranquille avec les loups optez pour les chiens de berger d’anatolie, Kangal ou Akbash pour protéger les brebis c’est dans leur gène ils sont prés à donner leur vie pour ca.

C est pas vrai beaucoup de problèmes et du braconnage ?

Faut du kangals !!!!

Le loup est une sale bête qui n a pas sa place en liberté, en parc ok mais pas en liberté, pour moi on régresse, aucun compromis avec cet animal

Le 12 y a que ça de vrai!