Le 21 novembre est célébré le centenaire de la disparition de l’empereur d’Autriche François-Joseph. Franck Ferrand revient aujourd’hui sur cette figure passionnante, en compagnie de son invité, l’historien Jean Sévillia.
Pas comme son épouse Elizabeth d Autriche dite Sissi morte assassinée à Genève au cours d un de ses nombreux voyages François Joseph est mort de sa belle mort à un âge très raisonnable 86 ans en 1916 pendant la 1ere guerre mondiale
Longévité qu'il a payée de 37 tribulations, dont la dernière lui a coûté, à titre posthume, son empire. J'y inclus son bardache de reuf qu'il a fait enfermé à perpète pour éviter que ses frasques n'éclaboussassent sur son règne et son héritier drogué et dépressif, suicidé avec la phryné qui lui vidait les burnes, après avoir refilé à son épouse une chtouille qui l'avait rendue stérile. C'était donc clairement une moche mort, au moins symboliquement !
Ca fait plaisir qu'on parle de François-Joseph, pour une fois. D'habitude, il n'y en a que pour sa femme, qui n'a rien apporté au Monde. Je trouve cette capsule pile au moment où je voulais un exposé sur cet empereur malconnu et méconnu. Merci ! .
PASSIONNANT même si on connait (un peu et de loin via Sissy-Romy lol) l'histoire. Bravo le conteur, très très bon boulot. Un français impeccable dont certains profs devraient bien s'inspirer pour apprendre aux nouveaux venus et pas qu'eux d'aillurs que cette langue est variée donc RICHE.
Parce que les profs ne connaissent pas le langage soutenu??? J'en suis fort marrie! Soyez magnanime et absolvez-nous de cette importunité qui provoque moult embarras à vos si scrupuleux enfonçons.
@@lokkiedarmay7471 1 mot sur 2 de votre message ne serait même pas connu des 90% de bacheliers, cf. ludique dont on a fait un foin. Certes mes études universitaires de Droit datent (50 ans) mais tu fais quoi, tu vas où, je sais pas, convenez que l'utilisation des différents modes a carrément disparu. Sauf en anglais par exemple What do you do? Where do you go? I don't know. Instruire est-ce bien la noble mission de l'école? Et qui transmet le savoir?
@@lokkiedarmay7471 pas nécessairement lorsque vous parlez à un proche dont vous partagez le quotidien aux USA, mind you. Si vous avez pris votre retraite récemment, vous êtes bien placée pour constater la tenue des élèves en 80-85 et celle de 2020. Les livres scolaires témoignent de toute fqço,.
Si on en croit les films de la série "Sissi" (ou "Sisi" ! Version historique !), c'était le "Grand Amour" entre Elisabeth et François-Joseph. Pour ce que j'en sais, c'était loin d'être vrai, en tous cas pour Elisabeth ! Il est probable que François-Joseph était follement amoureux de sa femme. Mais celle-ci était en butte aux "tracasseries" de sa belle-mère, l'Archiduchesse Sophie, qui, apparemment voulait régner par fils interposé. Si ce dernier avait eu le courage de "mettre sa mère" à sa place, (après tout, il était l'Empereur tout de même ! ) les choses se seraient peut-être mieux passées avec Elisabeth. Mais il semble qu'il ait toujours été "aux ordres" de sa mère. Son comportement avec son frère Maximilien fut tout sauf fraternel. Il a exigé de son frère (Maximilien) qu'il renonce à tous ses droits à la succession d'Autriche, pour l'autoriser à accepter la "Couronne Impériale" du Mexique, "cadeau" empoisonné s'il en fut ! Bref, Elisabeth était surtout intéressée par l'aspect de sa "petite personne" : elle martyrisait littéralement son corps à coups de "régimes" et d'exercices physiques. De plus, elle était presque toujours soit "en voyage", soit "à l'étranger". Et à partir de, je crois, +/- 50 ans (peut-être plus tôt même ?) elle cachait continuellement son visage derrière son éventail. Comment espérait-elle rendre son mari heureux avec un tel comportement
Elle n'a jamais espéré rendre qui que ce soit heureux, même pas elle. Elle était très lucide sur elle, ses proches, et la situation future de l'Autriche et avait deviné que les Balkans serait un problème bientôt. Son peu de confiance dans ce devenir l'a incitée à placer ses écrits en Suisse. Elle avait également "vu" sa moert : "mon âme s'echappera d'une petite blessure dans mon coeur". Exactement ce qui est arrivé.
C'est drôle parce que vous dites que "l'empire austro-hongrois était une mosaïque de peuples qui n'ont pas grand chose à voir entre eux".... et aujourd'hui on voudrait nous faire croire que de Londres à Kiev, nous sommes un seul peuple de gens " qui "conduisent les mêmes voitures"!!! C'est une belle hypocrisie
