La semaine verte | Optimiser le bleuet sauvage 

Ce n'est pas nécessairement possible, les plants sont quand même présents dans le champs et ont besoins de pouvoir continuer à exister l'autre année auss

@@Antoinedionsexo oui, il s'agirait probablement d'en déplacer quelques uns ailleurs si les cultivateurs étendent leurs terres puisqu'il s'agit d'une tendance actuellement avec les subventions pour la conversion. Le modèle de forêt nourricière en permaculture offre de belles avenues d'avant-garde dont il sera intéressant de s'inspirer...

Dans cette région, ce n'est pas toutes les plantes qui sont en mesure d'apporter des rendements agricoles suffisant à cause du climat. De plus, les pH des sols où poussent les bleuets inhibe la croissance de plusieurs plantes. Finalement, la majorité de ces bleuetières sont situées en terres publiques et l'augmentation de leur superficie affecterait la superficie forestière totale de la région, ce qui impacte directement la récolte forestière qui est également très importante pour l'économie du Lac St-Jean. Un point qui serait une piste intéressante d'innovation dans ce domaine serait d'utiliser des engrais provenant de sources naturelles à la place d'engrais chimiques comme du BRF ( Bois raméal fragmenté) ou d'autres matières fertilisantes provenant des industries agricoles ou de transformation. Qu'en pensez vous?

@@choinire Je me demande si l'agriculture sous couvert forestier pourrait être intéressante. Ajouter des conifères qui se plaisent en sols acides et qui produisent de l'ozone. Il pourrait être intéressant d'essayer d'augmenter l'ensoleillement par l'aménagement sylvicole bordant les champs.

@@retineshilares2497 les bleuets sauvages produisent beaucoup moins quand ils sont à l'ombre des arbres ou de d'autres plantes. Inclure quelques arbres au milieu des parcelles implique aussi des entretiens supplémentaires.