Jean-Paul Brighelli, normalien, agrégé de lettres, a enseigné pendant 45 ans au collège, au lycée et en classes préparatoires. L’école à deux vitesse (l’Archipel).
Sur certains secteurs à Paris, ce sont les élèves favorisés des collèges défavorisés qui trustent les places dans les bons lycées. Et il y en a de plus en plus du fait de la carte scolaire du primaire au collège (que les familles n'essaient plus de contourner) et du fait que les parents savent maintenant qu'un collège défavorisé augmente encore plus les chances de leurs enfants d'accéder aux bons lycées puisqu'ils sont en concurrence avec des élèves moins bons qu'eux et puisque les bons élèves des bons collèges en sont écartés par le nouveau calcul Affenet. D'ailleurs les collèges de bonne réputation voient leurs effectifs à la baisse. C'est le principe du coucou pour les bobos parisiens qui sont les premiers bénéficiaires du déclassement social de leurs nouveaux camarades.
14:40 Moi j’ai connu une petite fille riche elle a raconté que des mensonges elle était pas très intelligent dans la tête ensuite j’ai connu des élèves des excellents élèves, Quand ils sont devenus adulte Je vais vous en citer quatre, le premier il a voulu se mettre au chômage vie il veut plus travailler, la deuxième elle a fini dans une boîte de strip-teaseuse elle a fait une grosse connerie durant sa vie et cette connerie là lui a coûté très cher, le troisième il est en dépression on agit psychiatrique pendant quelques années et le quatrième il est malheureux comme tout Et comment on le dira les mauvais élèves sen sortent mieux dans la vie active les bons élèves.
