Quant je commence a entendre que c'est une maladie, et qu'on peut la soigner, je suis désolé de lâcher la video. mon voisin qui est chirurgien-pâtissier semble mieux maitriser le sujet, (ça vaut bien un philosophe-psychiatrique-politicien )
Je suis agénésique. cad manque de corps calleux entre les deux hémisphères cérébraux. Selon les définitions scientifiques cette situation peut conduire à une forme de balance ou d'un coté il y aurait: la schizophrénie et de l'autre coté de la balance autisme ou épilepsie. Le coté hypersensible et hyperanalytique est complexe et pas toujours simple à gérer. Toutefois, il n'est pas impossible de réussir sa vie malgré l'autisme. J'ai eu une carrière d'éducateur en différentes structures d'accueil médicalisée bien passionnante et qui m'a permis de mieux comprendre l'autisme et l'épilepsie. Ce qui est dommage, c'est que j'ai du attendre 57 ans avant de me comprendre réellement. Je savais qu'il y avait un problème, mais quoi ? Personne ne m'a jamais expliqué. Société qui exclut souvent, trop souvent sans expliquer. Il n'est jamais trop tard pour bien faire et je rattrape le temps perdu. Constat aussi d'une société bien souvent plus psychiatrisante que la psychiatrie.
Ce qui est indentifiable, c'est qu'il ne faut pas attendre 57 ans pour constater la mort. Finalement, vous êtes atteint d'un syndrome qui n'est pas létal. Il y a un nombre incalculable de gens qui meurt de pathologies moindres.
Un ego ça se travaille avec intelligence. Je suis une asperger psychanalyste.Le point de vue du pathos est beaucoup plus aidant qu une simple acceptation d un cerveau différent. Les troubles pathologiques sont une diversité. Mais il y a clairement de grosses difficultés d adaptation.On parle d autisme avant de parler de sur douance qui la masque.Il y a clairement une déficience qu il serait idiot de renier.
On ne sait pas faire plusieurs choses à la fois.Le cerveau est si peu ergonomique qu un seul mode d expression simplifie les choses.Et oui il y a un gros défaut d adhésion d ou l éternelle répétion des choses pour stimuler la mémoire des premières amorces.
Dans le cerveau des autistes certaines connexions neuronales sont différentes des nôtres de ce fait le langage comme intention et le décodage des intentions d'autrui ne se fait pas. Le langage des autres qu'ils entendent est pris dans un jeu de sonorité,simplement.
!!! le cerveau n'est pas un ordinateur ni un organe comme les intestins ou l'estomac.. !!! ce ne sont pas que des flux et des connexions et sans en avoir l'air !!!!
@@vincentdulau6283 pardon est ce que vous avez trouvé une solution pour se améliorer ou tu dois juste adapter car j'ai un enfant aspé est je sais pas comment je peux le aider svp
@NANANANA nenenene L'autisme est un handicap, pas une maladie. Pourquoi? -Parce qu'on naît autiste et on l'est toute notre vie ( contrairement à la bipolarité ou la schizophrénie, par exemple, qui apparaissent bien plus tard, à l'adolescence, voire l'âge adulte ). -L'autisme ne se soigne pas, ni ne se traite et encore moins se guérit ( contrairement à la bipolarité qui a ses régulateurs d'humeur et la schizophrénie, ses médicaments pour faire moins de crises: des maladies qui se traitent, même si elles ne se guérissent pas ). -Les autistes n'ont pas leur place en hôpital psychiatrique ( idéalement, je pense que personne ne devrait y aller, mais c'est un autre débat ) -L'autisme est neuro-développemental ( une question de développement du cerveau, qui se joue au stade du foetus, dans le ventre de sa mère ). Pourquoi cette fausse croyance? Parce que, pendant longtemps, la psychanalyse pensait que l'autisme était une psychose à soigner. La France est le dernier pays à "faire de la résistance" sur sa vision erronée de l'autisme. Encore aujourd'hui, bien qu'on ait progressé sur le sujet, des autistes sont enfermés en hôpital psychiatrique, abrutis de médicaments, alors que ce n'est pas leur place. Rappelons nous, comme le dit Julie Dachez, que les personnes épileptiques étaient enfermées en HP au début du 20ème siècle aussi: aujourd'hui, on trouverait cela révoltant!
La confusion des gens ayant cette réflexion vient de ce que le terme "maladie" est du registre de la langue commune; le terme didactique étant pathologie ou trouble (disorder). Comme souvent, le mot usuel est chargé de connotations péjoratives au contraire du terme didactique. Pourtant, pathologie et maladie ont le même sens (dénotation)... Donc, dites seulement "Trouble mental" au lieu de "maladie". Ensuite, même si vous ne le dites pas précisément, supposons que vous considérez que l'autisme ne mérite pas d'être considéré comme un trouble, mais comme une condition neurologique. Sachez que c'est une nouvelle conception qui est certes très louable et que j'approuve entièrement mais qui n'est pas entrée dans le Manuel Diagnostic des Troubles Mentaux (DSM5) et que cette position est sujette à un débat qui est davantage philosophique que scientifique. Donc soyez plus précis et nuancé SVP. Et mentionnez à qui vous référez lorsqu'on vous assénez un énoncé contraire à la connaissance actuelle. Ce n'est que si on fait les distinctions correctement entre les différents concepts et sens qu'on peut se comprendre sans ambiguité et éviter de se taper sur la gueule pour des mots.
@@john-yn5tr Les gens enfermés dans les hopitaux le sont uniquement lorsqu'ils représentent un danger pour eux-même ou pour la société. Et habituellement les gens atteints de troubles mentaux sortent de l'hopital lorsqu'ils sont capables de fonctionner sans risque. Ce n'est pas une particularité de la France de considérer l'autisme comme pathologique, c'est la vision générale admise aujourd'hui et qui est héritée de l'histoire évidemment. C'est qu'au départ, Kanner avait identifié des cas lourds, vraiment pathologiques. Le diagnostic de spectre de l'autisme arrivé avec le DSM5 a élargi drastiquement la possibilité de "diagnostiquer" des cas légers à propos desquels nous sommes d'accord pour qu'on puisse en dire qu'ils ne ne sont pas nécessairement vraiment pathologiques. On peut en effet requérir un peu d'aide même sans être atteint d'une pathologie. La vieillesse par exemple est une telle condition. Il est même normal d'avoir des difficultés et des domaines plus faibles que d'autres. Donc oui, le spectre de l'autisme pourrait bientôt ne plus être considéré comme pathologique d'un bout à l'autre. Sauf que ce changement est en train de se faire et n'est pas encore la conception admise par le DSM. Il ne faut pas confondre nos propres opinions et la définition de la catégorie nosographique dont on parle.
Les terreurs nocturnes sont liées à des effets de chutes et à des peurs archaïques et pas symbolisés.(car pas de langage à visée de communication pour des raisons neurologiques).
L'autiste n'existe pas ! On parle de personne autiste si on les considère comme tel ; ce qui semble ne pas être le cas de cette femme aux connaissances incertaines.
