Présentation par Stéphane de "La clé des champs" 🍇🍇🍇🍇🌱 La Pépinière de Stéphane ICI : monfiguier.com/ et ICI POUR LES VIGNES : lacledeschamps.kneo.me/shop/c...
Très très intéressant ! C'est marrant comme on retrouve un schéma récurent sur l'apparition de problèmes de masse qui débouchent sur des solutions industrielles...
C'est bizarre quand même que les vignes américaines aient pû à la fois développer le problème : oïdum, mildiou, et la solution : plants résistants, en quelques siècles même pas... Alors que c'était à la base des pieds européens, ça m'étonnerait que les colons se soient amusés à redomestiquer la vigne en amérique. Ils ont apporté leurs pieds avec eux. C'est dommage que, parallèlement aux greffes qui ont sauvé nos cépages, nous n'ayons pas travaillé à rendre nos cépages résistants par sélection, pour les émanciper des porte-greffes américains. La sélection constante des plantes devrait être ne préoccupation permanente des pépiniéristes et globalement des agriculteurs. Et le respect de la diversité des variétés, aussi, les laisser se spécialiser.
Phylloxéra première observation en France en 1861. 1878 pour le mildiou de la vigne. Et le phylloxéra désigne aussi bien une maladie que l'insecte pathogène.
Bonjour, désolé mais les vignerons bio font beaucoup plus de traitement que des vignerons en conventionnelle. Etant donné la couverture des produits utilisés par les bio qui se lessive plus facilement avec la pluie et necessite une attention tout a fait particulière à la moindre nouvelle pluie.
@@fabienjlc985quand tu seras du métier tu m'apprendras peut etre quelqu'e choses. en attendant on a des délais a respecter vis a vis des produits contrairement a certain traitement "bio" qui vont parfois apparaitre dans les analyses et donc dans le vin. A bon entendeur (je ne parle pas du plan "vie du sol" bien entendu où la les dégats sont démesurée des deux cotés)
@@beexite4291 Je ne suis pas viticulteur certes, mais justement je n'ai pas, moi, d'intérêt à enfumer les gens sur internet. Tous les tests en labo indépendants (Que choisir, générations futures, etc.) démontrent que la plupart des vins "conventionnels" contiennent tout un cocktail de produits toxiques (pesticides, herbicides, fongicides de synthèse) et que les vins bio n'en contiennent pas. En revanche il contiennent du cuivre et certains produits naturels acceptés par le cahier des charges bio, car non toxiques. Quand à la pollution des sols par le cuivre notamment, on est d'accord, le bio n'est pas la panacée. Le jour où il y aura une obligation de mettre sur l'étiquette du vin, comme pour n'importe quel autre produit alimentaire, la liste des produits chimiques qu'il contient les choses changeront peut être.
