Agma lounas ak yrham rabi themouthet mazalik thedret southek it baazik dhima a l'eternites tu est notre reper merci notre grand a chaque chansons je decouvre ta valleure incroiyable meme tan jeune age je regrette a ceux qui ne comprand pas le kabyle ce MR Matoud et une ecole de modestie d'umanism sincireter de verite de courage et surtout de l'inteligence il depasse. San age de louin exet
Paix à ton âme Lounes tu n'es pas mort mon frère et tu resteras éternellement dans tous les coeurs de ceux qui connaissent ta valeur. Des Hommes comme toi sont très très très rares. Saches qu'on te doit beaucoup.
Il ne s'agit pas d'un seul album • Début → 50:03 Tissirt n nndama (1987) : Album complet • 50:04 → La fin Les deux compères (1986) : Album incomplet (il manque 5 chansons)
Cet album ne s'intitule pas Les deux compères. Les Deux Compères, c'était l'album de l'été 1986, après l'album de l'hiver intitulé Arra-s Tili. Quant à cet album, il a été édité durant l'année 1987.
Traduction d’une partie de : Tissirt n n’dama (Rumination) - à 37.57 Complètement décharné Déchirures de trahison Et depuis que je suis né Le brouillard m’enveloppant Loque, des rivières, traversant Appris toutes malédictions Qui n’as qu’un seul œil qui voit En hutte, avec ne dors pas Ô celui pointé du doigt Tiens tes pans et sauve-toi Parmi ceux que tu connais Que la misère à rencontrer Cherche ceux que tu ne connais pas Parmi eux, tu vas manger Ils vont t’élever, glorifier En valeur, tu monteras Là où tout le monde te connaît Tel quel, tu es estimé Où on ne te connaît pas Comme habillé, tu vaux, là L’homme sur qui tu ne comptes pas Fais-le passer devant toi S’il t’invite à un repas Dos au mur, tu t’assoiras Que pouvons-nous évoquer Que les aînés n’aient pas dit Le meilleur exemple est là Celui d’Ahmed Oumeri Par courage, témérité Il combattit l’oppresseur Quand il tomba sur le plat Un Kabyle fut le tireur. Je te conseille, ô galant Affine ta marche, réfléchis Une rivière à traverser Va là où il y a un gué Le rire jaune : trahison Appelant la malédiction La ronce te donne au ravin Sur le ventre, marche l’humain Et il souffle comme un serpent Le Seigneur, seul, le régit De tes affaires, occupe-toi En prenant une bonne voie Penche-toi sur tes enfants Regarde s’ils ne manquent de rien Ta poche, ne la desserre pas Ouvre seulement un peu ta main Et différencie les gens Qui s’approche de ta dignité Ton fusil, tu peux charger C’est le plomb qui va jouer. N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.