On ne pet commenter une oeuvre de cette grande performance !!! Un homme de cet ampleur ne pourra renaître son oeuvre restera vivante éternellement...je dis bien qu aucun chanteur ne peut ni pourra egal à lui peut !! Tu nous manques à louenes je sais que tu es entouré d anges et tu es bien repose ..
Alkah irahmek le lion de la. Kabylie. Avec. Mon Mari a cha que foys qu ‘ont. Voyageais. Nanres. Paris. P t bercées. Par les. Chansons de matous Malheureusement. Le 2juillet. Lui aussi. Il est mort. Aussi. Allah irahmou. Qu il rejoint. Les. Hommes. Comme maatoub. C était. Un brave homme. Qui. Aimait beaucoup. Sa kabylie. Ses racines.
@Fazia AA Paix à son âme, je sais que vous gardiez tjrs les bons souvenirs avec ton mari. Matoub représente beaucoup de choses pour les kabyles. c'est notre identité,notre culture et notre chemin a suivre.
Repose en paix prophète de la poésie de l'amour, de l'amitié,.... des malheurs des Kabyles spoliés par l'épée de momohtahane. Tu ne mourra pas, tu es toujours vivant dans la mémoire des braves kabyles. Puisse un jour tout les Kabyles deviendront des Lounès. Je dédie ces fleurs mon frère à titre posthume.💐🌹🍀🌼🌻🥀🌺
Wa xoroto, tina anda is yeqqar « ta3ravt d-awal rrebi dges tamusni, mači am tigad nniden, s yis ma tepded s-ifri, xas grirev aghli d muhemmed akdiselken…» tu l’aimes celle-là aussi ??? 😂😅
Ferhat est l'opposé de matoub. Matoub est foncièrement algérien. Il a toujours appelé à l'unité des algériens.la chanson djardjar issaoul ilaures (le djurdjura appelle les aurés).ça est preuve de son nationalisme algérien.
Traduction mélodique de : wissen ma d’aghriv ara mtegh (Est-ce que, exilé, je mourrai) - à 0.00 Je suis entré… Au marché d’épreuves, entré Acquérant peine et tourments Et chaque journée, d’eux, croquant Dans mon cœur, l’hiver restant Éclairs, tonnerre, nuages, vent Et d’épaisses ténèbres couvrant La mort ne m’a point cherché Mieux, si elle me demandait Tous mes travers seraient cachés Puisque le cran m’a quitté Est-ce que, exilé, je mourrai Ou un jour, je reviendrai A la terre où j’ai grandi Les amis avec qui j’ai joué Et dans la poussière, roulé Me reconnaîtraient-ils, ainsi ? Quant à la fille trompée A qui le mariage, j’ai promis A la fin, en exil, fuyant Les yeux lui feront face, comment ? L'exil m'avait envoûté J'ai piétiné mon courage Mon nom, amer, au village La meilleure des filles, laissée A la fontaine, insultée Y pensant avec regrets Ô oiseau, à l'imposte, pose-toi Dis-lui, sur le vil tel que moi Qu'elle cesse d'espérer Avec meilleur que moi, elle peut se marier Qu'elle choisisse un type instruit Un économe les gardant Pas comme moi, poche trouée Le temps court, vite passant La jeunesse, sa maladie Son remède, nul ne le détient Moi, mon temps est bien fini J'ai acheté le naphte, de ma main Sur mon visage, l'étalant Aucun ami ne m'est resté. N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
Traduction mélodique de : Rreth thili (Faites de l'ombre) - à 55.54 Ceux qui, des frères, élevez Le Coran, aimez Le soleil, en place, remettez Les cieux, ainsi, n’étaient pas Depuis, jadis, là Quand son Est était tout droit Russes, Américains, cela Le concerne, et ça A Dieu, plaignez-vous, de ses dégâts Ah, faites de l’ombre, et L’Algérien va s’abriter Dites-Lui : Ô Seigneur, c'est Vous Pourquoi, donc, c'est nous Que Vous mettez derniers Avec le prophète : Amis Tous, croyons, ainsi Des siècles, n'est-il pas assez Au bord du précipice, mis On risque de tomber La cause, nul ne la connaît. Ah, faites de l'ombre et L'Algérien va s'abriter Si on voit les incroyants Ils sont si brillants Des problèmes, ne connaissent pas Si, au moins, ils croyaient Dans la marche, étaient Attachés aux Tout-Premiers Même, noyés, se retrouvant A Dieu ne disant Cette différence, pourquoi ? Ah, faites de l’ombre, et L’Algérien va s’abriter Eux, incroyants, gagnant Nous qui croyons Par le temps, on est piégés Tout ce qui nous arrive, et Ce qui va nous arriver Ça vient de nous : exprès Tous Les Musulmans comptant Que quand ils mourront Au paradis, ils iront Ah, faites de l’ombre, et L’Algérien va s’abriter. N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.