What I love about this number is the sheer contrast of it all. Salieri's reaction to Mozart's "What did you think" was basically "Eh, I guess it's fine." but all the while he's had basically a braingasm resulting in a musical number with bisexual BDSM panic undertones.
This! It becomes a consistent theme with Salieri throughout the musical, all his songs include contrast: L'Assasymphonie and Le Bien qui fait Mal both put the idea of "admiration" against the idea of "jealousy" (they are very similar in structure too, with the lighting especially going from warm reds to a calmer blue as he seems to calm down during both songs) while Victime de ma Victoire and Vivre à en Crever both contrast his feelings and those of others (in Victime de ma Victoire, evryone tells him he should be happy but he realizes that, in the long term, he lost and can't help but despair about it while in Vivre à en Crever Mozart seems to have made peace with the idea he was going to die while Salieri struggles more). LBQFM is absolutely perfect for it, as it establishes this trend all while moving the story forward. Everything about its place in the musical is simply brilliant. On my first watch, I missed the BDSM "connotation" of the song entirely, the dancers, to me, being the perfect representation of Mozart music: you've got multiple groups, doing different things that, in their own, are great but together, all the group "harmonize" and find their place together on the stage. This is an interpretation that was also discussed by one of the main choreographer... Anyhow, I could spend literal HOURS discussing why the song in its context is an absolute masterpiece but it's not really the point, the point is that you're absolutely right and I'm happy to see people discuss it haha
Gosh, everyone is so head over heels with Salieri, but can we just appreciate the dancers for a minute? It is insane how talented they are and how smoothly everything goes
Только спустя три года я подумала "может это не фантазии Сальери, а суккубы? Может его искушают?" Ну да конечно Умные мысли преследовали его, но он был быстрее
АХАХАХ. Я недавно подумал: "хм...ну...тот факт, что после музыки Моцарта у Сальери в голове стоит стрипушник, где его лапают мужчины и женщины....интересненько" Думаю, эта мысль ещё хуже :")
Mais d'où vient l'émotion étrange Qui me fascine autant qu'elle me dérange? Je frissonne, poignardé par le beau C'est comme dans l'âme le couteau La blessure traverse mon cœur et j'ai la joie dans la douleur Je m'enivre de ce poison, à en perdre la raison C'est le bien qui fait mal, quand tu aimes, tout à fait normal Ta haine prends le plaisir, c'est si bon de souffrir Succombe au charme, donne tes larmes C'est le bien qui fait mal (qui fait mal) Quand tu aimes, tout à fait banal (le bien qui fait mal) Ta peine, les vrais délices passe par le supplice Baisse les armes, donne tes larmes Je ressens de violentes pulsions J'ai l'impression de glisser vers le fond Si j'ignore d'où vient ce fléau, j'adore l'avoir dans la peau Envouté par des idées folles, soudain, mes envies s'envolent Le désir devient ma prison, à en perdre la raison C'est le bien qui fait mal, quand tu aimes, tout à fait normal Ta haine prends le plaisir, c'est si bon de souffrir Succombe au charme, donne tes larmes C'est le bien qui fait mal (qui fait mal) Quand tu aimes, tout à fait banal (le bien qui fait mal) Ta peine, les vrais délices passe par le supplice Baisse les armes, donne tes larmes Je ressens de violentes pulsions J'ai l'impression de glisser vers le fond C'est le bien qui fait mal, quand tu aimes, tout à fait normal Ta haine prends le plaisir, c'est si bon de souffrir Succombe au charme, donne tes larmes C'est le bien qui fait mal (qui fait mal) Quand tu aimes, tout à fait banal (le bien qui fait mal) Ta peine, les vrais délices passe par le supplice Baisse les armes, donne tes larmes
C'est le bien qui fait mal quand tu aimes Tout à fait normal, ta haine Prend le plaisir, c'est si bon de souffrir Succombe au charme, donne tes larmes C'est le bien qui fait mal (Qui fait mal) Quand tu aimes Tout à fait banal (Ce bien qui fait mal) Ta peine Les vrais délices, passent par le supplice Baisse les armes, donne tes larmes
