Poste frontière d'Erez entre Israël et Gaza - Des chiens errants et un cimetière de voitures endommagées laissées à l'abandon depuis 90 jours, depuis le massacre du 7 octobre. Ce sabbat noir, pendant quelques heures, des centaines de terroristes du Hamas prennent le contrôle de la base militaire qui contrôle le terminal frontalier par lequel passaient au moins 15 000 travailleurs, commerçants et Palestiniens ayant besoin de soins médicaux dans les hôpitaux israéliens et palestiniens. Lors du massacre perpétré ici par le Hamas, des soldats ont été tués, d'autres ont été kidnappés dans la bande de Gaza et sont toujours retenus en otages. Selon l'armée israélienne, deux corps de ces soldats sont à Gaza. Trois mois plus tard, sous pression américaine, Israël envisage de rouvrir le passage pour l'acheminement de l'aide humanitaire à quelque 100 000 à 200 000 civils palestiniens qui se trouvent toujours dans le nord de la Bande de Gaza, qui est sous contrôle opérationnel de Tsahal. Par le passage d'Erez, l'aide à la population palestinienne non impliquée dans les combats éviterait d'être pillée et détournée par le Hamas, et affaiblirait ainsi l'organisation terroriste, car l'aide humanitaire, selon Israël, est également la ligne de vie du Hamas et donc prolonge la guerre.
Un graffiti sur du béton montre les Twin Towers. Pour Israël, le 7 octobre est pire (proportionnellement) que le 11 septembre 2001. 1 200 (pour la plupart) civils et soldats ont été massacrés et violés. 240 personnes ont été prises en otages dans la bande de Gaza. 133 y sont toujours retenus, et pas tous sont encore vivants...
7 сен 2024
